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-La publication du calendrier global comprenait 23 contraintes à sa réalisation, le fait d’avoir attendu plus de 3 mois la promulgation de certaines lois fait que “tout le monde doit savoir qu’il y aura des conséquences sur le calendrier”, a dit à TOP CONGO FM, le rapporteur de la Commission Électorale Nationale Independante.
Pour Emery Kalamba, les écueils restant sont tout aussi nombreux, “il y a le problème des nouveaux majeurs, il y a la loi d’engagement, il y a aussi des options à lever, faut-il coupler ou non certaines élections?”
Il faut que la classe politique réévalue tout le processus.
“Je n’appelle pas cela dialogue, appelez cela comme vous voulez car si je dis dialogue on me dira que comme Kabila a dit dialogue, lui de la CENI n’est pas indépendant car il a dit aussi dialogue. Le terme Concertations a aussi été utilisé, quel est l’autre terme pour désigner les gens qui parlent d’hommes à hommes”, s’interroge ironiquement Emery Kalamba, qui note que la tripartite CENI-Majorité-Opposition ne peut pas prendre de décisions aussi importantes.
“Nos échanges de la CENI portent sur des aspects techniques”.
La CENI n’a pas la latitude de décider des implications financières ou temporaires qui modifieraient le calendrier, souligne le rapporteur.
Selon Emery Kalamba, la solution est que les grandes décisions soient prises dans un cercle élargi à ceux qui ont les moyens de la décision “car les conséquences des décisions prises nous conduiront à d’autres réactions”.
Sous entendus, au glissement tant décrié par l’opposition mais inévitable au regard de la tournure des événements:
Le glissement est déjà là?
L’article 70 de la Constitution, alinéa 2, stipule qu’à “la fin de son mandat, le Président de la Republique reste en fonction jusqu’à l’installation effective du nouveau président élu”.
A décembre 2016, vu les difficultés rencontrées jusqu’aujourd’hui dans l’organisation des scrutins, tout porte à croire que l’élection présidentielle n’aura pas eu lieu.