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-Théodoro Obiang Nguema le président de la Guinée Équatoriale vient d’ouvrir la boite de pandore. Interrogé le 15 avril 2012, par Rfi au cours de l’émission Le débat africain, le président de la République de Guinée équatoriale a dénoncé le Fameux compte d’opérations ouvert au trésor français et où vont finir 50% des réserves de change de tous les pays de la Zone CFA.
Ces avoirs versés dans le compte d’opérations en principe devraient être propriété des pays de la Zone CFA, mais ces pays dans en réalité, n’ont jamais eu accès ni au capital, ni aux intérêts produits par leurs avoirs.
Ces réserves (en ce qui concerne les pays membres de la BEAC) s’élèvent à plus de 7 000 milliards de francs Cfa et la Guinée équatoriale détient la majorité de ces avoirs. 50% de ce pactole est versé dans un compte d’opérations ouvert au Trésor français et le reste est placé dans des banques internationales, notamment françaises. «J’avais eu une discussion avec le président Chirac, parce que j’avais placé nos avoirs dans une banque américaine. On m’a accusé d’avoir violé les règles de la Cémac. J’étais obligé d’apporter tout notre argent au Trésor. J’avais demandé des intérêts (…)», raconte le président équato-guinéen. Pour lui, la France reçoit d’énormes bénéfices sur les fonds des pays de la Cémac. «La France est un pays membre de la Cémac. Oui. La protection de notre monnaie est garantie par la France. La France a également des bénéfices», déclare-t-il.
Ainsi donc, le trésor français (et donc l’état français) fait office de banque sans donner la possibilité aux états membres de la zone CFA ni d’avoir accès à leurs avoirs, ni d’avoir accès aux intérêts produits par ceux-ci. Certains intellectuels comme le Professeur Nicolas Agbohou dans son livre LE CFA ET L’EURO CONTRE L’AFRIQUE dénoncent le fait que la France prête aux pays africains membres de la zone CFA leur propre argent à des intérêts faramineux. Le Professeur Agbohou continue en disant que ces pays de la zone CFA sont les seuls au monde à se voir prêter leur propre argent et devoir le rembourser avec des intérêts.
Le président équato-guinéen dénonce l’exploitation abusive des pays africains par la France.
Ces avoirs versés dans le compte d’opérations en principe devraient être propriété des pays de la Zone CFA, mais ces pays dans en réalité, n’ont jamais eu accès ni au capital, ni aux intérêts produits par leurs avoirs.
Ces réserves (en ce qui concerne les pays membres de la BEAC) s’élèvent à plus de 7 000 milliards de francs Cfa et la Guinée équatoriale détient la majorité de ces avoirs. 50% de ce pactole est versé dans un compte d’opérations ouvert au Trésor français et le reste est placé dans des banques internationales, notamment françaises. «J’avais eu une discussion avec le président Chirac, parce que j’avais placé nos avoirs dans une banque américaine. On m’a accusé d’avoir violé les règles de la Cémac. J’étais obligé d’apporter tout notre argent au Trésor. J’avais demandé des intérêts (…)», raconte le président équato-guinéen. Pour lui, la France reçoit d’énormes bénéfices sur les fonds des pays de la Cémac. «La France est un pays membre de la Cémac. Oui. La protection de notre monnaie est garantie par la France. La France a également des bénéfices», déclare-t-il.
Ainsi donc, le trésor français (et donc l’état français) fait office de banque sans donner la possibilité aux états membres de la zone CFA ni d’avoir accès à leurs avoirs, ni d’avoir accès aux intérêts produits par ceux-ci. Certains intellectuels comme le Professeur Nicolas Agbohou dans son livre LE CFA ET L’EURO CONTRE L’AFRIQUE dénoncent le fait que la France prête aux pays africains membres de la zone CFA leur propre argent à des intérêts faramineux. Le Professeur Agbohou continue en disant que ces pays de la zone CFA sont les seuls au monde à se voir prêter leur propre argent et devoir le rembourser avec des intérêts.
Ces avoirs versés dans le compte d’opérations en principe devraient être propriété des pays de la Zone CFA, mais ces pays dans en réalité, n’ont jamais eu accès ni au capital, ni aux intérêts produits par leurs avoirs.
Ces réserves (en ce qui concerne les pays membres de la BEAC) s’élèvent à plus de 7 000 milliards de francs Cfa et la Guinée équatoriale détient la majorité de ces avoirs. 50% de ce pactole est versé dans un compte d’opérations ouvert au Trésor français et le reste est placé dans des banques internationales, notamment françaises. «J’avais eu une discussion avec le président Chirac, parce que j’avais placé nos avoirs dans une banque américaine. On m’a accusé d’avoir violé les règles de la Cémac. J’étais obligé d’apporter tout notre argent au Trésor. J’avais demandé des intérêts (…)», raconte le président équato-guinéen. Pour lui, la France reçoit d’énormes bénéfices sur les fonds des pays de la Cémac. «La France est un pays membre de la Cémac. Oui. La protection de notre monnaie est garantie par la France. La France a également des bénéfices», déclare-t-il.
Ainsi donc, le trésor français (et donc l’état français) fait office de banque sans donner la possibilité aux états membres de la zone CFA ni d’avoir accès à leurs avoirs, ni d’avoir accès aux intérêts produits par ceux-ci. Certains intellectuels comme le Professeur Nicolas Agbohou dans son livre LE CFA ET L’EURO CONTRE L’AFRIQUE dénoncent le fait que la France prête aux pays africains membres de la zone CFA leur propre argent à des intérêts faramineux. Le Professeur Agbohou continue en disant que ces pays de la zone CFA sont les seuls au monde à se voir prêter leur propre argent et devoir le rembourser avec des intérêts.
Ces avoirs versés dans le compte d’opérations en principe devraient être propriété des pays de la Zone CFA, mais ces pays dans en réalité, n’ont jamais eu accès ni au capital, ni aux intérêts produits par leurs avoirs.
Ces réserves (en ce qui concerne les pays membres de la BEAC) s’élèvent à plus de 7 000 milliards de francs Cfa et la Guinée équatoriale détient la majorité de ces avoirs. 50% de ce pactole est versé dans un compte d’opérations ouvert au Trésor français et le reste est placé dans des banques internationales, notamment françaises. «J’avais eu une discussion avec le président Chirac, parce que j’avais placé nos avoirs dans une banque américaine. On m’a accusé d’avoir violé les règles de la Cémac. J’étais obligé d’apporter tout notre argent au Trésor. J’avais demandé des intérêts (…)», raconte le président équato-guinéen. Pour lui, la France reçoit d’énormes bénéfices sur les fonds des pays de la Cémac. «La France est un pays membre de la Cémac. Oui. La protection de notre monnaie est garantie par la France. La France a également des bénéfices», déclare-t-il.
Ainsi donc, le trésor français (et donc l’état français) fait office de banque sans donner la possibilité aux états membres de la zone CFA ni d’avoir accès à leurs avoirs, ni d’avoir accès aux intérêts produits par ceux-ci. Certains intellectuels comme le Professeur Nicolas Agbohou dans son livre LE CFA ET L’EURO CONTRE L’AFRIQUE dénoncent le fait que la France prête aux pays africains membres de la zone CFA leur propre argent à des intérêts faramineux. Le Professeur Agbohou continue en disant que ces pays de la zone CFA sont les seuls au monde à se voir prêter leur propre argent et devoir le rembourser avec des intérêts.
Que tout ces Pays se conserte et que chaque pays fonde sont propre monaie. Ils ont eu les indépandences Politique, qu’ils araches aussi ces des économiques.
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