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Source:PFBC
Le forum ICCF (International Conservation Caucus Foundation) et les partenaires des États-Unis associés au Partenariat pour les Forêts du Bassin du Congo (PFBC) ont organisé un évènement de haut niveau pour le lancement de la version anglaise du rapport PFBC sur l’«Etat des Forêts 2008» du bassin du Congo, le jeudi 14 janvier 2010 au Bâtiment H-137 du Capitole des États-Unis d’Amérique. L’Ambassadeur Faida M. Mitifu de la République Démocratique du Congo, le Président Jonathan Lash de l’Institut Mondial des Ressources, et le directeur John Flynn de l’USAID Programme régional pour l’environnement en Afrique centrale (CARPE) ont parlé à l’évènement et présenté le rapport. Le personnel du congrès, les fonctionnaires du gouvernement des États-Unis, les représentants des gouvernements africains ainsi que les leaders des organisations non-gouvernementales de conservation actifs dans l’implémentation du CBFP/CARPE étaient également présents. Le maître des cérémonies de l’événement était Dr. James Deutsch, directeur exécutif du programme africain de la Société pour la conservation de la faune sauvage (WCS).
L’«Etat des Forêts 2008» fait le point sur les progrès réalisés avec l’aide des Etats-Unis et d’autres partenaires du PFBC par les communautés et les gouvernements de l’Afrique centrale, vers la conservation du deuxième plus grand et plus intact forêt tropicale dense humide dans la région du bassin fluvial. Les forêts du bassin du Congo sont habitées par l’assemblage le plus diversifié d’animaux, comprenant des gorilles, des éléphants de forêt, des buffles de forêt, des bongos et des okapis, chimpanzé, bonobo et plus de 70 millions de personnes qui dépendent de ces forêts pour leurs subsistances. Les Etats-Unis ont investi plus de $100 millions à travers le Programme régional pour l’environnement en Afrique centrale. Les rapports sur l’«Etat des Forêts» (2005-2008) montre bien comment ce programme et d’autres investissements ralentissent le taux de déforestation et la perte de la biodiversité favorisant ainsi le développement durable tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre dans le bassin du Congo aussi bien que dans les douze paysages PFBC de conservation.
Présentant une évaluation du succès et les réalisations du PFBC, John Flynn, directeur de l’USAID – CARPE a noté dans son intervention que ce rapport représente un accomplissement significatif pour le PFBC, qui inclut maintenant plus de 50 gouvernements et partenaires non gouvernementaux, et en quoi les Etats-Unis ont investi plus de $120 millions depuis 2002. Comme prochaine étape, l’USAID et le département d’État passeront en revue nos programmes du PFBC en 2010, en vue de la préparation du plan de travail de la «phase III» du bureau USAID/CARPE. Cette revue aidera également à guider l’engagement des États-Unis dans la région avec le Canada, qui s’est engagé en novembre 2009 pour assumer la Facilitation du PFBC à l’issue du mandat de l’Allemagne en tant que Facilitateur á la fin de cette année.
Jonathan Lash, président de l’Institut Mondial des Ressources, un partenaire pour l’implémentation du CARPE, a fait observer que toute conservation au sujet de l’écosystème, climat, et du bien-être humain implique les grands bassins du monde et, c’est pourquoi la gestion durable des forêts du bassin du Congo est essentielle pour l’équilibre à l’échelle locale, nationale, régionale et globale. Il a souligné en principe que maintenir la capacité de ces forêts et d’autres encore à fournir aux être vivants les services de l’écosystème qu’ils ont besoin pour la santé, sécurité, et subsistance est fondé sur trois piliers: Le premier, est le bon management. Le management du «terrain» et des institutions doit pouvoir être utilisé à différente échelle: locale, nationale, et internationale et à travers un horizon long. Le second, une bonne incitation/motivation. Les incitations économiques et normatives doivent s’aligner avec le suivi de la forêt. Ces incitations devraient soutenir la bonne gestion. Le troisième, est la bonne information. Les données sur l’ «État des forêts» et comment ils devraient être gérées doivent être disponibles, précis, et facilement utilisables. En fait, l’information soutient les deux autres piliers. Sans bonne information, il est difficile de définir de bonnes incitations et de mettre en application la bonne gestion de forêt. Le rapport sur l’ «État des forêts» en Afrique centrale apporte une contribution importante à ces piliers: (1) A un niveau plus fondamental, il fournit des informations au sujet de la condition, des tendances, et les menaces sur les forêts du bassin du Congo dans une mesure qui soit publiquement accessible, facile à être utilisée, et à jour. Il sert de plate-forme standard pour les mesures, le suivi et la collecte des données, facilitant de ce fait les comparaisons tout le long des paysages et des pays, et suivant les progrès dans le temps. Il fournit des données sur les incitations pour la gestion durable des forêts. Je suis heureux que le rapport de cette année couvre ses incitations naissantes telles que des paiements pour des services d’écosystème et la REDD. (3) Il soulève la nécessité de coordonner la gestion des forêts d’Afrique centrale par les pays, soulignant le rôle important de la COMIFAC au niveau de tout le bassin du Congo dans une approche de gestion durable du capital des ressources plutôt que juste une approche pays par pays.
Paya de Marcken du Fonds mondiale pour la nature (WWF) et un de plus de 100 scientifiques, du milieux politique et des experts techniques en matière de l’Afrique centrale qui a contribué au document a présenté le rapport et décrit comment il est subdivisé en trois parties: (1) Les synthèses régionales et nationales documentant les conditions générales des écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale et les défis et progrès clés vers un ralentissement du taux de déforestation et la perte de la biodiversité dans le bassin du Congo. (2) Les chapitres transversaux sur les services environnementaux offerts par la forêt avec un point spécial sur les stocks de carbones, les ressources en eau, et le bois énergie. (3) Les chapitres avec des informations détaillées sur les 12 paysages du PFBC.
Son excellence, Dr. Faida Mitifu, Ambassadeur de la République Démocratique du Congo (RDC) intervenant en tant que représentante du gouvernement de RDC, et par extension pour l’occasion des gouvernements des autres États du bassin du Congo, qui sont les forces motrices pour la conservation des forêts et du développement dans la région, et finalement les responsable des réalisations documentées dans le rapport «État des Forêts 2008». Elle a montré l’importance de la conservation des forêts pour la RDC, comment les partenariats avec des entités telles que le gouvernement des États Unies, PFBC et USAID’s programme CARPE, sont entrain de soutenir la RDC pour l’implémentation des objectifs de conservation de la biodiversité et en améliorant les conditions de vies des citoyens de la RDC, et comment ce rapport sur «l’État des Forêts 2008» est l’un des outils aidant à démontrer cette contribution dans la région.
Le forum ICCF (International Conservation Caucus Foundation) et les membres du comité consultatif de l’ICCF sont fiers d’accueillir le lancement de la version anglaise de l’«État des Forêts 2008»; la dernière publication profondément substantive du Partenariat pour les Forêts du Bassin du Congo (PFBC) résultant de l’effort de collaboration de plus de 100 personnes représentant une diversité des institutions et des administrations des forêt des pays de l’Afrique centrale.
Les forêts du bassin du Congo: Les chapitres de l’État des Forêts 2008 est disponible en téléchargements à travers le site de l’OFAC, qui est référencé par: http://www.cbfp.org/bassincongo.html et http://carpe.umd.edu/resources/sof Ces pages incluent également l’accès à la version antérieure 2006 de « État des Forêts » aussi bien que la version 2005 sur les forêts du bassin du Congo : Une évaluation préliminaire.
Par ailleurs, si vous désirez plus d’information sur cet article, bien vouloir contacter: Mr. Tim, Resch de l’USAID Bureau pour l’Afrique: tresch@usaid.gov