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Par Diosso Olivier
L’expression orale et écrite dans les établissements d’enseignement supérieur et universitaire de la RDC pose problème dans le chef des étudiants. Ceux-ci s’expriment mal en français et éprouvent des difficultés, notamment à appliquer correctement les règles grammaticales, la syntaxe des modes et des temps ainsi que la conjugaison et la concordance des temps.
Soucieux de combler les lacunes, parfois graves et inimaginables, constatées chez les étudiants, le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU), Mashako Mamba, a initié, le projet Services pour l’éducation, les savoirs et l’appui à la maîtrise et à l’usage du français (Sesam).
Projet devant servir également à la formation des formateurs dans les instituts supérieurs pédagogiques pour doter les élèves du cycle secondaire de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (EPSP) d’une base solide en expression orale et écrite.
Il a, d’ailleurs, procédé, le mardi 12 janvier, à la visite des locaux de l’Institut supérieur pédagogique, ISP/Gombe où va fonctionner ce projet, fruit de la coopération française au développement et le gouvernement congolais. Le Sesam, dont la durée est trois ans, concerne aussi l’EPSP et la coopération internationale et régionale.
Aussi, des conditions de pérennisation de ce projet doivent-elles être créées pour asseoir les mécanismes de standards internationaux, a indiqué le ministre de l’ESU. Pour qui un travail en synergie entre les différents services est nécessaire pour disposer de «compétences pédagogiques en vue d’améliorer la qualité de l’enseignement à tous les niveaux en RDC».
Pour sa part, le coordonnateur du projet, Alain Canonne, a tracé les grandes lignes de Sesam «qui vise à créer des synergies entre les principaux acteurs de l’éducation (enseignants, pédagogues, cadres de l’administration, acteurs culturels) sur l’ensemble du territoire national. Cela afin de favoriser une meilleure maîtrise et un meilleur usage du français non seulement par les étudiants mais aussi par d’autres Congolais. Pour ce faire, les ISP, Alliances franco-congolaises et autres centres d’apprentissage de la langue française seront dotés de matériel informatique, a-t-il fait savoir.
Avant de proposer, pour l’accès aux sources numériques, «un fonds d’ouvrages y relatif et des dictionnaires pour renforcer la pédagogie et la didactique».
Que pensez vous de la réalisation des 5 chantiers?
C’est une question que beaucoups de congolais se posent?
Quant à moi, je dirai que c’est un processus de developpement initié par le président Joseph KABILA pour un changement positif de notre pays. Ce processus est pour l’intérêt des congolais et non de Kabila. Et je tiens aussi à montrer au peuple congolais que pour qu’il aie changement dans notre pays il faut aussi que la personne qui remplacera le président Kabila doit aussi continuer avec cette même idée de transformation, et nous tous nous devonbs participer à ce processus pour le developpement de notre pays.
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