Tag: kyungu

  • Vers 6 heures du matin, la milice Bakata Katanga a tente un coup de force à Lubumbashi, mais elle etait etouffee dans un bain de sang

    Vers 6 heures du matin, la milice Bakata Katanga a tente un coup de force à Lubumbashi, mais elle etait etouffee dans un bain de sang

    -Ce samedi 28 mars 2020, les habitants du quartier Golf Malela, à Lubumbashi, et de la commune de Kikula, à Likasi, ont été réveillés par des coups de feu.

    Depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines, les hommes du mouvement Kata Katanga (en faveur de l’indépendance du Katanga) de Gedeon Kyungu faisaient planer la menace d’une attaque sur la ville de Lubumbashi.

    Gabriel Kyungu (ancien gouverneur de la province du Katanga) et Jean-Claude Muyambo, avocat et ancien bâtonnier de Lubumbashi, ont plusieurs fois mis en garde les autorités de la capitale de la province  du Haut Katanga contre le risque que faisaient courir ces hommes pour la paix de la ville et de la province. La résidence de Gedeon Kyungu avait été placée sous surrveillance.

    Une surveillance qui n’a pas suffi à empêcher, ce samedi 28 mars au petit matin, les hommes de la milice kata Katanga de tenter un coup de force à Lubumbashi. Plusieurs dizaines de jeunes gens, la plupart sans arme, ont commencé à marcher dans le quartier Golf Malela où se trouve la résidence de Gedeon Kyungu, considéré comme un proche de l’ancien président Joseph Kabila. Les forces de l’ordre sont rapidement intervenues, des échanges nourris de coups de feu ont été entendus peu après 6 heures du matin.

    Les forces de l’ordre ont rapidement pris le dessus sur ces miliciens du mouvement Kata Katanga. « De nombreux corps étaient allongés par terre », explique un témoin.

    Des témoignages sont aussi arrivés de Likasi. Ici aussi, les Kata Katanga ont tenté une opération qui a tourné au fiasco. La milice a attaqué le centre de détention de la commune de Kikula (une des quatre communes de Likasi) pour libérer les détenus. Ici aussi, l’armée est rapidement intervenue et les hommes de cette milice, le plus souvent désarmés, n’ont pas fait le poids face aux militaires. Différents témoignages font état d’au moins 15 morts à Likasi dans les rangs des assaillants. Un policier, qui se trouvait de faction au centre de détention, a également été tué.

  • Gédéon Kyungu encerclé pour éviter une attaque à Lubumbashi

    Gédéon Kyungu encerclé pour éviter une attaque à Lubumbashi

    -La résidence du bandit Gédéon Kyungu, membre du PPRD (parti de Joseph Kabila), a été encerclée lundi sur ordre du gouverneur de la province. Il s’agissait de l’empêcher de mener à bien un projet de nouvelle attaque contre Lubumbashi, la capitale du cuivre au Katanga.

    Lubumbashi est le théâtre, depuis la fin 2019, d’une recrudescence du grand banditisme, alors que ce dernier avait régréssé après la visite dans la ville du président Felix Tshisekedi. Ces violences font, logiquement, monter la tension dans la capitale du cuivre.
    Déstabiliser le Katanga
    Alors que la tension monte, depuis quelques mois, entre le président Tshisekedi – devenu chef de l’Etat en raison d’un accord avec Kabila et en l’absence de preuves de sa « victoire » électorale – et celui qui l’a fait roi – irrité de l’interpellation de plusieurs de ses proches – des politiciens katangais dénoncent à mots feutrés, des tentatives de susciter des affrontements entre Katangais et Kasaïens. Les deux alliés locaux de Félix Tshisekedi – Gabriel Kyungu (parti UNAFEC) et Jean-Claude Muyambo (SOCODE) – viennent de mettre en garde ceux qui attisent « l’incitation à la tribalisation au Katanga », y voyant, selon les mots de Me Muyambo, « une machination qui vise à déstabiliser le pouvoir du président Félix Tshisekedi ».
    Selon Le Phare, qui cite les deux politiciens katangais, le sanguinaire bandit Gédéon, rallié depuis 2016 au camp Kabila, avait l’intention de profiter d’une marche des jeunes à Lubumbashi pour organiser une nouvelle attaque de la capitale katangaise lundi soir ou ce mardi. Il faut se rappeler que plusieurs attaques des « Bakata Katanga » (sécessionnistes katangais liés à Gédéon) dans cette ville ont été perpétrée après que des miliciens se soient infiltrés peu à peu dans la ville. Des attaques de ce type ont encore été observées le 11 juillet dernier, une autre en septembre et une troisième le 11 octobre, date anniversaire de la reddition de Gédéon.
    Selon Le Phare, Gabriel Kyungu, ex-gouverneur du Grand Katanga, a donc alerté le gouverneur du Haut-Katanga (entité issue du découpage de la province en 2015) il y a quelques jours et ce dernier « s’est aussitôt organisé pour faire encercler la résidence de Gédéon Kyungu (NDLR: pas parent avec Gabriel Kyungu) afin de le neutraliser ». En outre, les manifestations publiques ont été interdites jusqu’à nouvel ordre.
    La terreur du Nord-Katanga
    Gédéon s’était fait connaître par la terreur qu’il faisait régner, avec ses hommes – largement issus des milices créées par le défunt Laurent Kabila qui, ne les finançant pas, les « força » à se payer sur la population –  dans « le triangle de Mitwaba » (Nord-Katanga) au début des années 2000. Il s’était rendu aux Casques bleus en 2006 et, livré à la justice congolaise, avait été condamné à mort en 2009 – avant de s’évader en 2011 de la prison de la Kasapa dans des circonstances largement jugées suspectes.
    Après de nouveaux ravages au Katanga – et l’adoption d’un discours sécessionniste – le bandit Gédéon avait « déposé les armes » le 11 octobre 2016, lors d’une cérémonie festive; il portait alors un T-shirt à l’effigie de Joseph Kabila. Selon Le Phare, il adhèrera à son parti PPRD en 2017. En tout cas, selon les informations de La Libre Afrique.be, à partir de mars 2017, les hommes de Gédéon ont été utilisés par le régime Kabila comme supplétifs pour combattre la rébellion « Kamina Nsapu » au Kasaï, qui avait entraîné une meurtrière répression.
    Ses crimes
    Depuis fin 2016, Gédéon vivait dans une villa du quartier Golf de Lubumbashi, logé et nourri aux frais de l’Etat. Cette sinécure a-t-elle pris fin avec le changement de Président?
    En raison des accusations de crimes qui pèsent contre lui (notamment des actes de cannibalisme, visant à terroriser les villageois), il fait l’objet de sanctions de l’Union européenne depuis mai 2017 et de l’Onu depuis février 2018.
    Avec la L.A
  • Vote de la levée d’immunité de Gabriel Kyungu Wa Kumwanza

    Vote de la levée d’immunité de Gabriel Kyungu Wa Kumwanza

    -L’assemblée provinciale du Haut-Katanga, dans le sud-est de la République démocratique du Congo, a voté mardi la levée d’immunité de Gabriel Kyungu Wa Kumwanza, dirigeant d’un parti d’opposition accusé d’outrage envers le président Joseph Kabila.

    Sur les 30 membres de l’assemblée, 22 étaient présents: 12 ont voté pour la levée de l’immunité, 10 contre, a-t-on appris de sources concordantes.

    La justice avait demandé cette levée d’immunité afin de pouvoir poursuivre le président de l’Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec), accusé d’avoir insulté le chef de l’État dans un enregistrement jamais rendu public et dont M. Kyungu Wa Kumwanza conteste l’existence.

    “Nous fustigeons la manière de procéder dans cette levée d’immunité de M. Gabriel Kyungu, parce qu’il n’a jamais été entendu. On lui reproche d’avoir outragé le chef de l’État mais ce prétendu enregistrement sonore n’a jamais été présenté à l’assemblée provinciale”, a déclaré à l’AFP l’un de ses avocats, Me Sonvil Mukendi.

    “M. Kyungu n’a jamais reconnu avoir fait de telles déclarations, ce qui met en doute l’authenticité de cet enregistrement et devant le tribunal nous exigerons aussi la vidéo parce qu’avec les avancées technologiques tout le monde peut imiter la voix de tout le monde”, a-t-il ajouté.

    Figure politique de la région et proche de l’opposant en exil Moïse Katumbi, Gabriel Kyungu Wa Kumwanza a notamment occupé les postes de gouverneur de la province du Grand Katanga (qui sera divisée en quatre provinces en 2015) dans les années 1990 et de président de l’assemblée provinciale entre 2011 et juillet 2016.

    Il est également le coordinateur régional dans le sud-est du “Rassemblement”, la plateforme d’opposition à M. Kabila dirigée par l’opposant historique Étienne Tshisekedi.

    Son parti, l’Unafec, est membre du G7, groupe de sept partis passés de la majorité à l’opposition au président Joseph Kabila en septembre 2015. Fin mars, le G7 avait demandé à M. Katumbi de se présenter à la présidentielle qui devait se tenir avant la fin de l’année.

    L’élection a depuis été reportée sine die et le président Joseph Kabila, dont le mandat s’est achevé le 20 décembre, entend rester au pouvoir en attendant qu’un successeur soit désigné.

    Avec AFP

  • Reve ou realite:E.Tshisekedi et G. Kyungu,poignée de mains a Bruxelles

    Reve ou realite:E.Tshisekedi et G. Kyungu,poignée de mains a Bruxelles

    Tshisekedi-Kyungu 1-En politique on ne dit jamais «jamais»! Fâchés depuis 1992, Étienne Tshisekedi et Gabriel Kyungu viennent de se revoir ce lundi 6 juin à Bruxelles. Des retrouvailles intervenues 26 ans après. Les deux monstres politiques étaient d’abord des amis, car membre du très fermé et courageux club des «13 parlementaires». Club qui avait le premier fait vaciller la dictature de Mobutu. La première charge d’envergure contre le président Mobutu dont ils avaient dénoncé les dérives dictatoriales au début des années 80, c’est aussi eux. Mais les intérêts politiques avaient poussé les deux personnalités à emprunter des chemins différents. Étienne Tshisekedi restant ferme dans son opposition à Mobutu alors que Kyungu s’était finalement réconcilié avec lui contre son ex compagnon. Avec les Kabila, père et fils, Kyungu s’en est accommodé aussi jusqu’à travailler étroitement avec Joseph Kabila avant de le lâcher pour suivre Moïse Katumbi. Tshisekedi lui, imperturbable, est resté dans l’Opposition. De Mobutu aux Kabila, l’homme n’a pas bougé. Toujours opposant. D’où le surnom tantôt moqueur tantôt respectueux «d’opposant historique». Aujourd’hui, à l’heure de la méga recomposition des forces politiques en RDC, Étienne Tshisekedi et Gabriel Kyungu se rapprochent. Il a fallu beaucoup de dépassement au patron de l’Udps pour le faire. C’est ça être aussi un homme d’État. Faire fi de ses états d’âme au nom de l’intérêt général. Tshisekedi pouvait s’enfermer ou se recroqueviller s’il s’était mis en tête toutes les «trahisons» de Kyungu. Et le prix fort que sa communauté d’origine paya. Une page douloureuse de l’histoire à vite refermer. Tshisekedi dont les yeux sont rivés vers l’avenir a donc adressé une invitation à l’ancien président de l’assemblée provinciale du Katanga. Invitation au Conclave de Bruxelles que l’ex gouverneur du Katanga a accepté. Ainsi, débutent les grandes manœuvres qui fait trembler la Kabilie. Une union des forces de l’Opposition sera redoutable pour le pouvoir. Ses marges de manœuvre pour intimider, réprimer et manipuler seront extrêmement réduites. Et pour ça Kinshasa ne veut pas d’une alliance de l’Opposition qui ruinerait ses chances d’en conclure une avec «le sphinx».

  • Requinqué par les résolutions du congrès du parti Unafec : Kyungu prêt au combat

    Requinqué par les résolutions du congrès du parti Unafec : Kyungu prêt au combat

    Antoine Kyungu-Pour les congressistes, le parti dirigé par « Baba wa Katanga » est un et indivisible. Plus rien ne sera comme avant à l’Union nationale des fédéralistes du Congo, (UNAFEC) où l’autorité morale, Antoine-Gabriel Kyungu wa Kumwanza, est décidé à se battre bec et ongles pour faire respecter les couleurs et la marque de sa formation politique. Cette ferme résolution, Kyungu l’a prise devant la base de l’UNAFEC qui, lors du Congrès extraordinaire organisé à Lubumbashi du 29 au 31 octobre, lui a renouvelé, à l’unanimité, sa confiance pour continuer la conduite des actions du parti après avoir rejeté sa lettre de démission. Pour défendre le label UNAFEC, Kyungu dit ne reculer devant rien, même pas la mort. Il n’y aura pas deux UNAFEC du vivant de ” Baba wa Katanga “.

    Kyungu a expliqué à ses militants réunis en congrès que ” des complots ont été montés pour déséquilibrer nos partis avec des menaces sur la vie de certains responsables. Voulant à tout prix déstabiliser les partis politiques prônant le respect de la Constitution et des valeurs fondamentales dans notre pays, les tenants du statu quo créent des frondes au sein des partis du G7 en violation flagrante de la loi portant organisation des partis politiques interdisant tout doublon de parti politique en RDC ”

    Il est malheureux, constate Kyungu, qu’au sein de l’UNAFEC, certains membres ont quitté délibérément le parti. Mais curieusement, ils se sont tapé le luxe, sans qualité, ni droit d’utiliser les instruments du parti en violation manifeste de la Constitution, de la loi 04/002 du 15 mars 2015 portant organisation et fonctionnement des partis politiques en Rd Congo ainsi que les statuts et règlement du parti.

    Le charismatique leader de l’UNAFEC rappelle que la loi 04/002 du 15 mars 2004 en son article 7 dispose qu’” aucun parti politique ne peut adopter la dénomination, le sigle, les symboles et les autres signes distinctifs d’un autre parti politique déjà enregistré par l’autorité publique compétente sous peine de sanctions prévues par la présente loi “.

    Le président de la Commission juridique de la Convention, le député Lama Mukalay, a rappelé qu’en date du 10 juillet de cette année, la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe, siégeant en matière de contentieux électoral a rendu sous RCE 024, l’Arrêt qui dispose in fine à son troisième feuillet ce qui suit :
    ” Sans qu’il soit nécessaire d’examiner les moyens des parties, la Cour relève d’office, car d’ordre public celui de l’irrecevabilité tiré du défaut de qualité dans le chef de Monsieur Omba Sakatolo”.
    ” En effet, elle observe qu’il existe jusqu’aujourd’hui un seul parti politique, UNAFEC dont le Président est monsieur Antoine-Gabriel Kyungu-wA-Kumwanza et ce, eu égard aux pièces du dossier ”
    ” Au terme de l’article 29 alinéa 6 des statuts de l’UNAFEC, la même Cour rappelle que le pouvoir d’ester en justice appartient au président national qui l’exerce ou par celui qui le remplace en cas d’absence ou d’empêchement ”
    ” La même Cour ajoute in fine que le Sieur Sakatolo, secrétaire général n’a pas qualité et ne peut pas agir au nom de l’UNAFEC ou engager l’UNAFEC. ” Et donc, c’est sans qualité que monsieur Omba Sakatolo a agi dans cette cause, cette requête sera déclarée irrecevable ”

    Pour le président Kyungu, Sakatolo et consorts, ayant quitté délibérément le parti, ne doivent ni parler, moins encore, engager l’UNAFEC en toutes circonstances. A ce même sujet, une des résolutions du Congrès, très applaudie par l’assistance, considère que ” tous les frondeurs se sont auto exclus du parti et qu’une action judiciaire soit entamée contre eux pour usage abusif des insignes du parti.”

    L’UNAFEC est une et indivisible 

    Commentant cette disposition, Kyungu a demandé aux jeunes d’interpeller tous ceux qui vont se présenter avec les insignes du parti. Parce que ” notre Constitution ne permet pas de doublon des partis politiques. Ceux qui useront sans qualité de ces insignes ne s’en prendront qu’à eux-mêmes. En France Sarkozy a créé son parti et l’a baptisé le Républicain “, a indiqué le leader de l’UNAFEC. ” Il y a de noms de A à Z, insiste-t-il, chercher quel nom donner à votre parti politique, exemple Hippopotame, Zèbre, Phacochère, Crocodile… au lieu d’utiliser celui de l’UNAFEC “, déplore celui que la jeunesse du parti compare à Nelson Mandela.

    Pour le label UNAFEC, Kyungu est prêt à tous les sacrifices : “ pour ça nous allons mourir. Ce sera du tic au tac. Nous ne prônons pas la violence. Mais nous refusons le désordre. Les lois de ce pays, c’est nous qui les avons votées. Si ce n’est plus une République démocratique, qu’on nous le dise pour savoir à quoi nous en tenir… Nous UNAFEC nous nous engageons à défendre nos couleurs et notre marque… “, avertit-il.

    Le Congrès, s’appuyant sur les textes légaux, demande à l’UNAFEC d’écrire au président de l’Assemblée nationale pour obtenir l’invalidation des mandats des frondeurs députés nationaux. Il demande également aux instances du parti d’adresser une ” lettre ouverte au pouvoir dans laquelle l’UNAFEC dénonce la création camouflée des doublons dans tous les partis politiques soutenant l’alternance et le respect de la Constitution. ”

    Pour éviter les cas de récidive dans l’avenir, l’UNAFEC fera signer les actes d’engagement reprenant certaines conditions à observer par tous les candidats éligibles à tous les niveaux ainsi qu’à tous ceux qui pourront bénéficier d’un mandat public au nom du parti.

    Didier Kebongo
    Lubumbashi, 2/11/2015 (Forum des As)

  • RDC : Gabriel Kyungu encerclé

    RDC : Gabriel Kyungu encerclé

    Kyungu wa Kumwanza parle du vole d’argent de l’etat, mais veut la nomination pour aller voler comme eux.-La basilique de Lubumbashi a été encerclée par des hommes armés en uniforme alors que le président de l’assemblée provinciale Kyungu wa Kumwanza assistait à la messe avant un point de presse annoncé.

    Des nombreux fidèles étaient également bloqués dans cette paroisse de l’église catholique désormais interdite d’accès par les soldats en faction.

    Gabriel Kyungu par ailleurs président de l’union nationale des fédéralistes (Unafec) du Congo devrait s’adresser à la presse à la fin de la messe.

    Selon un correspondant de la BBC, les paroissiens ont cédé à une panique générale à l’arrivée des soldats autour de la basilique.

    L’Unafec fait partie du G7, le goupe des 7 partis politiques de la majorité présidentielle qui ont appelé le président Kabila à respecter la constitution et à ne pas se présenter pour un troisième mandat en 2016.

    Les ministres faisant partie de ce G7 avaient été démis de leurs fonctions par le pouvoir de Kinshasa.

    Les cadres de la majorité présidentielle signataires de la lettre ouverte du 14 septembre dernier au président Kabila réclamaient notamment des élections dans les délais constitutionnels afin de parvenir à l’alternance démocratique en 2016.

    Le porte-parole du gouvernement Lambert Mende, par ailleurs membre du bureau de la majorité présidentielle, a conclu à une “auto exclusion” des signataires de la lettre ouverte, précisant que leur départ de la majorité entraine celui de leurs formations politiques sauf expression d’un point de vue contraire des instances de ces partis.

    BBC