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  • Sincérité  de Moise Katumbi et Apport des parlementaires debout – UDPS au mandat de Felix Tshisekedi

    Sincérité de Moise Katumbi et Apport des parlementaires debout – UDPS au mandat de Felix Tshisekedi

    Du premier mandat du President Felix Tshisekedi
    Sincérité de Moise Katumbi et Apport des parlementaires debout – UDPS au mandat de Felix Tshisekedi

    C’était il y a deux ans et demi, le président Félix Tshisekedi avait prêté serment comme président de la République démocratique du Congo. L’on avait assisté et pris des images d’accolades avec son prédécesseur Joseph Kabila avec lequel il avait formé une coalition. Cette expérience politique aura duré deux ans à peine, car aujourd’hui cette coalition dite mariage FCC- CACH n’existe plus, l’on a vu naitre un nouveau regroupement dit Union Sacrée de la Nation, que l’on se refuse d’appeler plateforme politique mais la vision du chef de l’état.
    Depuis l’on l’a vu sur la Piste de la lutte contre la corruption qui s’est érige en mode de gestion en RDC.
    Aussi le débat sur la toile en RDC est animé par un débat public passionne sur l’idée de la loi dit Noel Tshiani basée sur la protection des fonctions souveraines et la consécration de l’irrévocabilité de la nationalité congolaise d’origine.

    1. Tous les observateurs de la politique Congolais ont constaté l’exercice de la dissolution du mariage que d’acun appalait maruage cntre nature entre le FCC et CACH. D’une manière et avec trop peu de dégâts Felix Tshisekedi y a met fin. Que dire de la nouvelle alliance avec LAMUKA aile KATUMBI/BEMBA. Vont-ils partager le bilan du demi manda ? car Les Katumbistes disent que le bilan de cette mandature du president ne les concerne pas, raison pour laquell ils sont entrain d’afuter les armer pour afrinter les elections de 2023. Votre analyse. Qu’est-ce qu’est devenu l’alliance UDPS/UNC pour dire du CACH ?

    2. Que dites-vous de la contribution des parlemenaires debiut de l’UDPS dans leurs communications mediatiques, aident-ils le président dans la vulgarisation de ses actions, ou bien ils ont un objectif propre à eux ?

  • Du projet de loi Tshiani :Diaspora s’invite dans ce Debat public-Emery (UDPS) Vs Aggee (Activiste)

    Du projet de loi Tshiani :Diaspora s’invite dans ce Debat public-Emery (UDPS) Vs Aggee (Activiste)

    Debat Public sur la loi Tshiani : Verrouillage des fonctions de souveraineté ou tactique d’exclusion?
    Le microcosme politique congolais est toujours dominé par le débat sur une proposition de loi TSHIANI visant à renforcer les fonctions de souveraineté.
    Dr Noël Tshiani est une personnalité publique qui exprime assez régulièrement ses opinions sur la situation politique et générale de la RDC. Ses différentes positions sont du reste assumées. C’est un éminent économiste qui a œuvré dans la haute finance internationale. Son identité et son parcours sont vérifiables.

    C’est un homme courageux qui ose repousser ses limites. Ainsi après avoir été candidat malheureux aux élections présidentielles de 2018, l’homme n’a pas disparu des radars. Il est resté présent sur la scène politique, menant débat après débat, etc.

    Ce qui nous intéresse aujourd’hui est la question qu’il inscrit dans le débat public à savoir son initiative législative sur la nationalité congolaise. Cependant une précision s’impose, à ce stade des débats. En effet, il est à noter qu’une initiative de loi émanant du gouvernement s’appelle projet de loi tandis que celle émanant d’un parlementaire est appelée proposition de loi. Dans le cas d’espèce, on ne peut parler de projet de loi TSHIANI car Mr Noël TSHIANI ne fait pas partie de l’exécutif congolais.
    Le microcosme politique congolais est toujours dominé par le débat sur une proposition de loi TSHIANI visant à renforcer les fonctions de souveraineté.

    Depuis un peu plus de vingt ans, le personnel politique congolais élude ce débat périlleux. Beaucoup de politiques congolais se sont défilés face à leur responsabilité dans ce débat difficile. Ce débat touche à un combat que les vrais Congolais mènent depuis de très longues années. Il se trouve aujourd’hui qu’un politique congolais prend le taureau par les cornes et relance ce débat pour résoudre cette question de nationalité congolaise. C’est à son honneur. Il a le mérite d’inscrire à l’agenda politique cette délicate et difficile question. Cela est à saluer. De ce point de vue, je salue le courage de Mr Noël TSHIANI.

  • Les deux leaders ivoiriens Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo reprennent contact en territoire belge

    Les deux leaders ivoiriens Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo reprennent contact en territoire belge

    -Cela faisait neuf ans que les deux responsables politiques ne s’étaient pas rencontrés. La visite du chef du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié à Laurent Gbagbo, l’ancien président ivoirien acquitté en janvier 2019 par la Cour pénale internationale (CPI) et en semi-liberté à Bruxelles, était annoncée depuis plusieurs semaines.

    Elle a finalement eu lieu le 29 juillet 2019 de “11 à 13h”, précise le communiqué conjoint publié par le PDCI et l’aile du Front populaire ivoirien (FPI) restée fidèle à Laurent Gbagbo.

    Les deux hommes politiques s’étaient rencontrés pour la dernière fois en 2010, quelques mois avant la présidentielle d’octobre. Cette dernière avait débouché sur une crise post-électorale qui s’est soldée par plus de 3 000 morts. Des événements pour lesquels Laurent Gbagbo a été jugé à la CPI.

    Bédié et Gbagbo attendent une réforme de la commission électorale

    La plupart des journaux ivoiriens ont titré sur ce nouvel entretien, désormais historique, durant lequel les méthodes du pouvoir actuel ont été largement critiquées. Laurent Gbagbo et Henri Konan Bédié ont “déploré les atteintes portées aux acquis démocratiques et à l’Etat de droit en Côte d’Ivoire”.

    Ils ont réclamé “la libération de tous les prisonniers politiques, civils et militaires, et le retour en sécurité de tous les exilés“. Quant au prochain scrutin de 2020, les anciens dirigeants ivoiriens “ont appelé le gouvernement à procéder à une réforme profonde de la Commission électorale Indépendante (CEI)”.

    Après avoir exprimé “leur compassion et leur solidarité au peuple de Côte d’Ivoire pour les traumatismes et les nombreux préjudices subis” au cours de la crise de 2010, Laurent Gbagbo et Henri Konan Bédié ont “convenu de l’urgente nécessité d’œuvrer pour le retour d’une paix définitive et durable en Côte d’Ivoire”.

    De cette rencontre, le FPI veut retenir cette phrase du chef du PDCI publiée sur sa page Facebook : “Je souhaite vivement un retour rapide en Côte d’Ivoire de mon jeune frère Laurent Gbagbo pour participer activement au processus de réconciliation nationale.

    Toute la classe politique ivoirienne est aujourd’hui tournée vers la présidentielle de 2020 et les tractations se multiplient. Le PDCI, dont son chef a annoncé qu’il voulait faire alliance avec Laurent Gbagbo, se trouve une fois encore au cœur du jeu politique.

    Soutien d’Alassane Ouattara, l’actuel président ivoirien, contre Laurent Gbagbo pour la présidentielle de 2010, Henri Konan Bédié se tourne désormais vers ce dernier. Le leader du PDCI a coupé les ponts avec son ancien allié. Principal point de discorde : son parti souhaitait présenter un candidat en 2020.

    Le projet de la réconciliation nationale

    La scène politique ivoirienne est coutumière de ces alliances de circonstance depuis la mort du premier chef d’Etat ivoirien, Felix Houphouët-Boigny, entre Henri Konan Bédié, Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo. Depuis la tentative de coup d’Etat de septembre 2002, celui qui fut l’ancien porte-parole des rebelles, Guillaume Soro évolue dans le sillage du trio. Il affirme se réjouir de ces “retrouvailles fraternelles”.  

    D’une alliance politique avec le FPI, il n’en serait pourtant pas encore question. Selon une proche de Laurent Gbagbo, la juriste Habiba Traoré interrogée par RFI, la question “n’a absolument pas été abordée” par les deux hommes. “Ce n’était absolument pas l’objet de la rencontre. C’était la rencontre de deux frères qui ont pu être en désaccord mais qui, aujourd’hui, ont décidé – et on considère d’ailleurs que c’est un grand pas vers la réconciliation – (…)”  de “se voir, se parler… “

    Avec France Info

  • Gouvernement de coalition en RDC: la répartition des postes se précise

    Gouvernement de coalition en RDC: la répartition des postes se précise

    – Les choses se précisent pour la formation du premier gouvernement de l’après-Kabila, l’équipe que devra diriger Sylvestre Ilunga Ilunkamba. Un gouvernement de 65 membres au total. Les principaux négociateurs de la coalition FCC-Cach ont livré les conclusions des discussions tard dans la nuit, avant de les remettre au Premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba.

    À la tête des équipes de négociateurs, Jean-Marc Kabund pour le Cach et Néhémie Mwilanya pour le FCC. Avec, à leur gauche, le Premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba.

    Cette cérémonie, empreinte de convivialité, n’a duré que quelques minutes, et selon l’accord signé, les soixante-cinq membres de l’équipe gouvernementale devront provenir exclusivement des deux plateformes : le FCC de Joseph Kabila et le Cach de Félix-Antoine Tshisekedi et Vital Kamerhe. Les deux forces politiques ont convenu, en effet, de gouverner ensemble dans une coalition.

    Programme commun de gouvernement

    Quarante-deux postes sont réservés à la famille politique de l’ex-chef de l’État qui revendique la majorité au Parlement. Les vingt-trois postes restants sont attribués au Cach qui, pour sa part, a remporté l’élection présidentielle du 30 décembre 2018.

    Si un programme commun de gouvernement a été annoncé et un comité de suivi pour la mise en œuvre de l’accord a été signé, rien n’a par contre été révélé sur l’attribution des différents portefeuilles aux deux forces de cette coalition qui se dit « déterminée d’éradiquer la pauvreté, indigne d’un pays comme la RDC ».

    Avec RFI