Tag: Pascal Mukuna

  • Le plaingnant contre le Rais arrêté et incarcéré et pour raison d’une sextape

    Le plaingnant contre le Rais arrêté et incarcéré et pour raison d’une sextape

    L’”évêque” d’une église congolaise du réveil, Pascal Mukuna, auteur d’une plainte contre l’ex-président Joseph Kabila Kabange pour mégestion, a été arrêté sous l’accusation de viol et transféré jeudi matin à la prison centrale de Makala à Kinshasa, rapportent des médias locaux.

    Le pasteur Mukuna dirige à la fois l’Eglise Assemblée chrétienne de Kinshasa (ACK) et préside l’Eveil patriotique, une plateforme citoyenne qui affirme vouloir poursuivre en justice les principaux auteurs de la mégestion des finances publiques en République démocratique du Congo (RDC). Il a déposé le 7 mai dernier une plainte devant la Cour constitutionnelle contre M. Kabila, pour 18 ans de mégestion du pays et pour dix cas d’assassinat et de massacre commis sous son régime (2001-2019).

    Mais ce leader religieux est lui-même visé par une plainte pour “viol, rétention illicite et menaces de mort” déposée par la veuve de l’un de ses anciens collaborateurs, Mamie Tshibola Mufuta, une ancienne fidèle de son église. Elle lui reproche de conserver illicitement des documents liées à des biens immobiliers de son défunt mari.

    Une “sextape” montrant l’”évêque” en plein ébat sexuel circule depuis deux semaines sur les réseaux sociaux.

    Il a été placé mercredi sous mandat d’arrêt provisoire par le parquet général près la cour d’appel de la Gombe et transféré jeudi à la prison centrale de Makala – de son vrai nom Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK) -, selon plusieurs journaux et sites d’informations, ainsi que la radio onusienne Okapi.

    M. Kabila a dirigé la RDC depuis l’assassinat de son père, Laurent-Désiré Kabila, alias “Mzee” (le “vieux sage” en swahili), le 16 janvier 2001, dans des circonstances encore mal établies, et l’investiture de l’actuel chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le 24 janvier 2019. M. Tshisekedi avait été proclamé vainqueur de l’élection présidentielle contestée du 30 décembre 2018.

    lavdc avc afp

  • Une contre-plainte a la plainte de Pascal Mukuna

    Une contre-plainte a la plainte de Pascal Mukuna

    “Eveil Patiotique” est une plateforme de la société civile dirigee par l’Eveque Pascal Mukuna. Cette plate forme a depose un plainte contre l’ex-président Joseph Kabila pour dix cas d’assassinat et massacre et donc une liste non exhaustive. Cette plainte a engendre une contr-attaques contre Pascal Mukuna, évêque de l’ église du révei ACK et Presidnet de l’Eveil Paatriotique. L’une d’entre elles, une plainte pour viol, suscite des interrogations.

    Le 7 mai, plainte avait été déposée contre Joseph Kabila par le président d’Eveil Patriotique, Pascal Mukuna, appuyé par son vice-président, Jean-Claude Katende qui, par ailleurs, dirige l’Asadho (Association africaine des droits de l’Homme) ont depose un planaite contre l’Ex President JKK. Il faut rappeller qu’une vidéo de relations sexuelles dans un véhicule entre un homme ayant un visage ressemblant à celui de l’évêque Mukuna et une femme dont le visage n’apparaît pas avait été largement diffusée sur les réseaux sociaux à Kinshasa.
    Peu apres la presse de Kinshasa diffusait la copie d’une plainte contre Pascal Mukuna, d’une certaine femme repondant au nom de Mamie Tshibola qui accuse M. Mukuna de viol, « rétention de documents » et menaces de mort. Dans cette plainte, Mamie Tshibola se présente comme « la veuve de M. Kantshia Milongo, ancien collaborateur » de l’eveque Mukuna. A la mort de son mari, accuse-t-elle, Pascal Mukuna s’est « arrogé le pouvoir de partager les biens de feu mon mari sans tenir compte de mes droits de veuve » et a gardé les documents de propriété, proposant de les rendre à Mamie Tshibola en échange de services charnels. « Son avocat m’avait convaincue d’accepter cette offre », écrit la plaignante en toutes lettres. Elle explique ensuite que s’étant rendue dans le bureau de l’évêque évangélique, ce dernier l’a « contrainte d’avoir des relations sexuelles avec lui » sous la menace d’ »une arme ».
    Dès samedi, le ministre des Droits de l’Homme, Andre Lite  membre du FCC parti de Lambert Mende  entrait à son tour dans la danse même si ce n’était pas du pas le plus léger. Selon Actualité.cd, il a insisté auprès des institutions judiciaires pour que la plainte de Mamie Tshibola soit traitée avec « diligence » parce que « la présumée victime est une femme. Les femmes, en matière de droits de l’Homme, sont rangées dans la catégorie des personnes vulnérables », même s’il envisage que « M. Mukuna, qui est présumé coupable » puisse être blanchi.
    Là-dessus est venue se greffer une jeune sœur de Mamie Tshibola qui, elle aussi, dans des émissions de cyber-médias, accuse Pascal Mukuna de l’avoir violée.
    Mais là ne s’arrêtent pas les rebondissements. En effet, l’agence de presse APA dévoilait lundi matin que la fille aînée du défunt dont l’héritage était attendu par Mamie Tshibola, a, à son tour, réagi à l’affaire. Julienne Kapinga Nkatshia a nié connaître Mamie Tshibola. La famille n’a jamais entendu son nom du vivant du père décédé, dit-elle, ni même aux funérailles de ce dernier. Et de produire, à l’appui de ses dires, l’acte de mariage du défunt avec sa mère, qui n’est pas Mamie Tshibola.
    La jeune fille a aussi produit le livret de propriété de la parcelle sur laquelle Mamie Tshibola a des revendications au nom de son fils mineur. Julienne Kapinga Nkatshia exige un test ADN de ce dernier, assurant que s’il est réellement le fils de feu Nkatshia, il sera intégré à la liste des héritiers. Selon APA, le défunt ne possédait qu’une seule parcelle et avait confié à Pascal Mukuna le livret de propriété lorsqu’il était tombé malade; après son décès, son supérieur avait rendu le document de propriété à la famille.
    LAVDC avec la L.A