Skip to content

Makolo Digital Tele- LAVDCONGO

800 manifestants réclament le départ du président congolais Joseph Kabila


Warning: Trying to access array offset on value of type bool in /home/lavdcne1/public_html/wp-content/plugins/sitespeaker-widget/sitespeaker.php on line 13

Par La Libre Belgique

Le cortège des manifestants est parti vers 16 heures de la porte de Namur pour passer devant la place du Luxembourg et rejoindre le rond-point Schuman.
Les manifestants congolais étaient environ 800, samedi après-midi, selon la police de la zone Bruxelles-Ixelles, pour réclamer le départ du président de la RDC, Joseph Kabila. “L’événement s’est déroulé de manière exemplaire”, a-t-on appris des services de sécurité qui ont encadré de manière sérieuse la manifestation. Le mouvement s’est disloqué petit-à-petit, vers 18h, samedi, aux alentours du rond-point Schuman. Le cortège de sympathisants aux partis d’opposition en République Démocratique du Congo, avait démarré de la Porte de Namur. Ce n’est que vers 16h que le cortège des manifestants, qui avait démarré de la porte de Namur, passait devant la place du Luxembourg pour rejoindre le rond-point Schuman. Les manifestants étaient encadrés par un solide cordon de sécurité policier. Une autopompe, quatre camionnettes et une trentaine d’agents, dont certains à cheval, fermaient le cortège.Les Congolais de Belgique souhaitent, par leur action de samedi, exprimer avant tout leur soutien à leurs concitoyens, qui eux, manifesteront dimanche au Congo, “le jour du 21e anniversaire de l’avènement du multipartisme dans notre pays”, a déclaré à Belga un manifestant, membre d’un parti d’opposition au Congo et de soutien à Etienne Tshisekedi. “Nous demandons le départ du pouvoir de Joseph Kabila”, a déclaré à Belga un ancien militaire de l’armée congolaise. “Il faut que les Européens acceptent qu’il quitte la présidence”.Les militants présents ont également accusé l’armée congolaise d’être impliquée dans certains massacres de populations.

“Depuis l’arrivée au pouvoir de Joseph Kabila en 2001, l’Etat congolais est un modèle de non-gouvernance. Il n’y a aucun leaderschip”, a-t-on encore pu entendre.