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Colette Braekman: fayote, barbouilleuse et cajoleuse de la République Démocratique du Congo


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 Par Freddy Mulongo

 Le ridicule ne tue pas dit-on. Colette Braeckman , journaliste indépendante ? Colette Braeckman n’a aucun crédit au près des populations congolaises encore moins au sein de sa diaspora. Elle est discréditée par ses torchons louangeurs au pouvoir de Joseph Kabila, alors que rien ne marche ! Depuis quand est-elle devenue une journaliste indépendante ? Elle qui vient à Kinshasa, escorter par les motards de la République, qui écrit ses reportages dans une Mercedes noire aux vitres fumées de la République, qui recueille ses infos auprès de sbires de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR), qui contre espèces sonnantes et trébuchantes, est conseillère occulte de Joseph Kabila… De quelle indépendance, veut-elle parler Colette Braeckman ? Toute seule, elle s’est autoproclamée spécialiste de la République démocratique en Belgique.

Colette Braeckman, l’autoproclamée spécialiste de la République Démocratique du Congo.

Colette Braeckman n’a pas plus de légitimité que les Congolais nés de 450 tribus du Congo, qu’ils soient à l’intérieur du Congo ou dans la diaspora congolaise, ils sont plus de légitimité que la barbouilleuse du Soir. Elle ne connait pas mieux le Congo, que les Congolais eux-mêmes. La Belgique est un pays qui se déchire entre . Au lieu de balayer devant sa porte, elle se cancane en soutenant un régime odieux mis en place par un réseau des maffieux. Colette Braeckman par intimidation voudrait-elle que les Congolais et Congolaises se taisent face aux réalités calamiteuses dont elle ne veut pas voir ! Se couvrant du manteau de Noé, la gribouilleuse veut se passer pour une victime alors c’est elle par par ses écrits encenseurs au pouvoir de Joseph Kabila qui provoquent la révolte dans la Communauté congolaise. Ce n’est pas parce qu’on a fait le journalisme dans une école provinciale de Tournai en Belgique qu’on doit dire que les Congolais ne comprennent pas le français. Se croyant encore dans les années 80-90, où elle seule pouvait parler et écrire, elle se retrouve avec des centaines de Congolais, grâce à l’internet, qui lui répondent illico. La dinosaure du Soir est épassée par les événements, au lieu de s’amender, la cajoleuse du joséphisme voudrait se passer pour une journaliste indépendante alors que tout le monde sait qu’elle est à la mangeoire du Palais de la Nation. Elle pourfendait les dinosaures de Mobutu son ennemi juré. N’est-ce pas les mêmes dinosaures:Léon Kengo wa Dondo, Mokolo wa Pombo, Seti Yale, Tambwe Mwamba et autres mobutistes notoires et patentés qui écument le pouvoir de Joseph Kabila, qu’elle encense aujourd’hui nuit et jour. Avec une indignation aussi sélective de Colette Braeckman sur les malheurs voulus et imposés aux Congolais, une amnésie qui encourage l’imposture, la dictature et la barbarie au Congo, l’écrivassière du Soir devra faire profil. Colette Breackman n’a jamais aimé Etienne Tshisekedi, ni Patrice Emery Lumumba, ni Pierre Mulele et autres. Tous les Congolais qui d’une manière ou d’une autre-malgré leurs faiblesses humaines-se sont levés et ont proposés une voie alternative à ce que eux considérés comme la dictature, n’ont jamais eu l’assentiment de la gendelettre du Soir. Comme disent les Français, on connait la chanson: “Colette Braeckman joue à la victimisation pour cacher ses turpitudes à l’égard du régime de Joseph Kabila”.

Manger à tous les râtelier finit par donner la constipation. Les Congolais savent pour qui elle roule, d’où elle tire ses sources. On n’en a déjà vu d’autres !

Sim Kilosho Kabale de l’ Université Kenyatta Nairobi au Kenya, dans sa thèse: Les métaphores francophones à travers les portraits des présidents africains dans Jeune Afrique L’intelligent (1990- 2000)

Des métaphores «Totémiques» met en exergue les écrits de Sennen Andriamirado, décédé le 15 juillet 1997 qui fut Journaliste et grand reporter, au groupe Jeune Afrique. Ses accointances avec feu Mobutu Sese Seko, le poussait à écrire des articles pompeux sur le maréchal.

Sim Kilosho Kabale cite Jeune Afrique: Mobutu, le «Léopard zaïrois»

Les rédacteurs et les lecteurs des journaux francophones identifient facilement certains présidents par les noms de leurs totems. La fidélité à ce « pacte de lecture » amène les rédacteurs de J. A. I. à se ressourcer régulièrement dans l’imagerie populaire afin de portraiturer certains présidents ou parler d’eux. Ainsi, dans plusieurs numéros de J. A. I, le feu maréchal zaïrois Mobutu passe pour « le léopard zaïrois» ou un « léopard » tout court. Pendant que mourait le Zaïre, Mobutu était confronté aux difficultés politiques et économiques très graves. D’une part, la maison blanche et le capitole ne voulaient plus entendre de lui. D’autre part, les opposants politiques et le peuple zaïrois souhaitaient sa démission immédiate. Mais comme on s’y attendait, le « père de la nation» et le « guide suprême» ne céda à une quelconque pression. Par contre, il prit des mesures draconiennes à l’égard des ses opposants. Il déclara la guerre à Etienne Tshisekedi et aux Occidentaux.14 Sennen Andriamirado écrit à ce sujet : « Politiquement, cependant, les dernières décisions de Mobutu sont lourdes de conséquences. Le léopard ressort ses griffes et semble s’apprêter à frapper.15 » Les ténors de l’opposition Nguza Karl I Bond et Tshisekedi, quant à eux, estimaient que « le léopard était sur le point de mordre la poussière et de perdre le contrôle de la situation16. » Un autre fait remarquable surgit quand Mobutu nomma Tshisekedi au poste de Premier ministre et proposa des élections anticipées. Sans citer le nom du président, Jeune Afrique relate : « Le « léopard » lui-même a repris du poil de la bête. Sûr de lui, il a proposé des élections anticipées, avant même l’échéance des dixhuit ou vingt-quatre mois de la période de transition17. » Finalement, l’amplification de la métaphore « léopard » se lit dans un numéro de Jeune Afrique paru après la mort de Mobutu. Sous la rubrique Vous et Nous du n° 1942 du 31 mars au 6 avril 1998, un correspondant de ce magazine relate ce qui suit : « C’était, il y a presque un an, celui qu’on qualifiait d’ « incontournable », de « seul garant de l’intégrité territoriale du Zaïre » venait de tomber (…) Mobutu Sese Seko, le « guide », le « pacificateur », « le léopard », le « président fondateur », l’ « aigle de Kawele » quittait ce monde. » De tous ces exemples, il ressort que le nom « léopard » ne réfère pas au panthère d’Afrique, mais plutôt il désigne le feu maréchal zaïrois qui, d’ailleurs, portait une toque confectionnée en peau de cet animal.

Tous les attributs et épithètes employés pour qualifier Mobutu dépeignent soit, d’un côté, son dynamisme sur le plan politique, soit de l’autre, son asthénie.

11 J. A. I. n° 2080, op. cit., p. 10

12 J. A. n° 1647, op. cit.

13 J. A. I. n° 2059, p.20.

14 J. A. n° 1668-1669 du 24 décembre 1992 : 28

15 J. A. n° 1668-1669, op. cit., p.

16 J. A. n° 1582 du 24 au 30 avril 1991

17 J. A. n° 1659 du 22 au 28 octobre 1992, p.21