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De: Kimpele Kwebe <kwebe@hotmail. com>
Date: Lundi 14 Septembre 2009, 12h30
Mon cher Ramazani,
Une chose est d’être “mobutiste” comme je le confesse et le proclame volontiers. Mais autre chose est de défendre le “mobutisme”, plaidoirie que je ne me hasarderais jamais à prononcer.
En effet, Mobutu a commis de nombreux crimes de sang que je ne lui pardonne pas et que, du reste, la plupart de nos compatriotes ignorent. Il se fait qu’on lui prête de nombreux crimes qu’il n’a jamais commis comme par exemple le ” massacre des étudiants” sur le campus universitaire de Lubumbashi, dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 mai 1990. Dans la foulée, Mobutu s’est rendu coupable pendant les 32 ans de son régime, de crimes économiques qui crient “vengeance au ciel”. Mais surtout, je n’ai aucune raison de défendre le mobutisme parce que Mobutu n’était pas congolais !!
Oui, mon cher Ramazani. Mobutu n’était pas congolais ni par son père ni par sa mère . Mama Yemo n’a jamais été sa mère biologique, mais simplement sa “mère adoptive”. Les parents de Mobutu étaient tous deux de nationalité togolaise. Son père exerçait la profession de cheminot. Il a été engagé par la société française qui a construit le chemin de fer Brazzaville- Océan. Donnez-vous la peine de poser la question à quelques Togolais instruits et d’un certain âge, ils vous en apprendront des choses sur notre fameux Maréchal zaïrois!! Vous voulez que je continue sur lui et que je vous en dise un peu plus ? Alors voici:
D’autre part, Mobutu n’est pas né à Lisala, mais à Brazzavile, rue Paul kamba, à Poto-Poto Brazzaville. Il a vu le jour en 1928 et non pas le 14 octobre 1930. Sa mère naturelle est morte alors qu’il était âgé de quelques jours à peine et que son père se trouvait au boulot, entre la ville de Brazzavile et la côte atlantique, occupé à poser des rails. Du fait que ses parents étaent originaires du Togo, une ancienne colonie française, ils étaient donc ipso facto fançais. Mobutu, déjà orphelin à l’âge de quelques jours, fut donc présenté à “son compatriote” , le curé français de Brazzaville pour trouver une solution immédiate au bébé qui manquait déjà de lait.
Il se fait que le prêtre français affecté à Brazzaville avait un domestique du nom de Gbemani Alberic, mari d’une certaine Marie -Madeleine Yemo, qui venait d’accouccher et qui pouvait donc donner le sein au petit bébé a perdu sa mère. Mama Yemo se retrouva ainsi avec deux enfants, ce qui la fit appeler ” mama mapasa” par ses copines de l’époque qui se moquaient d’elle gentiment. Nous sommes en 1928.
Une épidémie de variole décima les enfants à Brazzavile quelques mois après la naissance de Mobutu. Tous en furent atteints, même Mobutu, et même l’enfant biologique de Mama Yemo qui partageait ses seins avec le nouveau venu. Mais l’enfant naturel de mama Yemo succomba à la maladie. Pas Mobutu. Cet incident provoqua la colère de Gbemani Alberic, le mari de mama Yemo, tous deux des Ngbandis à qui la coutume interdit d’adopter un enfant ayant perdu sa mère en très bas âge. Mais mama Yemo ne voulut rien entendre. De disputes en scènes de ménage, le coupe se déchira pendant plusieurs années, à cause de la présence du petit Mobutu dans la famille, jusqu’au jour où mama Yemo décida de divorcer, de traverser le fleuve et d’aller vivre avec tous ses enfants, Mobutu y compris, à Léopoldville.
Ayant appris le départ de la mère nourricière de son enfant, le père biologique de Mobutu, le Togolais donc, résolut de la suivre de l’autre côté du fleuve. Après de longues et fastidieuses démarches administratives pour obtenir sa mutation du chemin de fer Brazzaville- Océan vers la société ferroviaire Matadi-Léopoldville, il débarqua enfin sur la rive gauche et se mit à la recherche de son fiston. Mais ayant appris la présence du père de l’enfant à Léopoldville, mama Yemo décida de fuire à Lisala, sa ville natale avec tous ses enfants à bord d’un bateau de l’OTRACO, Office des transports congolais.
Quand le père naturel de Mobutu retrouva enfin l’adresse où résidaient mama Yemo et son gosse, ce fut pour apprendre la nouvelle de la fuite de la mère adoptive. Impossible pour un Togolais, en ce temps-là, d’abandonner son travail pendant des années et de se rendre loin, là-bas à Lisala, une ville totalement inconnue de lui, en plein milieu de la forêt équatoriale. Découragé, désespéré, il renonça à poursuivre mama Yemo. Il mourut quelques années plus tard et fut enterré à l’ancien cimetière, aujourd’hui désaffecté de la commune de Kasa-Vubu, en face de la boulangerie mama Poto à Kinshasa.
Mobutu n’a jamais pu retrouver la tombe de son père puisque Mama Yemo, absente de Léopoldville depuis des années, n’a jamais su où l’homme fut inhumé.
J’arrête ici la vraie biographie de Mobutu. Je me suis efforcé de vous la fournir pour prouver que je n’ai aucune raison de prendre la défense du “mobutsime”, comme l’affirme de manière erronée M. Jean Kadima Schipa. Mobutu n’était pas congolais. Par contre, Mobutu était un muntu. Et c’est exactement et uniquement sur ce point que je suis “mobutiste”. Mobutu a été le premier et le seul homme politique congolais à prononcer le nom “Bantous”, en octobre 1972, dans son discours dit du haut de la tribune des Nations Unies à New York. Je lui en suis très reconnaissant, surtout maintenant. Il se fait, en effet, que la guerre qui fait rage au Congo oppose les Bantous congolais aux tutsis rwandais. C’est grâce à Mobutu que j’ai acquis la conscience d’être un Muntu. Et c’est grâce à cette conscience que j’ai réussi à comprendre les vrais enjeux du conflit qui ensanglante notre peuple depuis l’entrée de l’AFDL à Kinshasa. Voilà pourquoi j’ose affirmer que je suis “mobutiste”. Ni plus, ni moins.
Dans mes interventions et au cours des quelques pauvres e-mails que j’écris de temps en temps, je n’ai pas une seule fois défendu le mobutisme parce que pour moi, depuis le 17 mai 1997, Mobutu est mort politiquement et que depuis septembre 1997, il est en outre mort physiquement. Je veux bien, mon cher frère, débattre de la question de Mobutu, de sa IIe République, de ses mérites, de ses démérites, des bienfaits allégués et des méfaits supposés qu’on lui prête. Mais ce n’est pas le moment. Nous sommes en guerre, ndugu wangu, nous sommes en guerre contre les pires ennemis que les Bantous congolais ( n’en déplaise à ce cher Monsieur Guy de Boeck qui semble nier la spécificité de notre identité ethnique), ont jamais affrontés dans leur existence. Les crimes que commettent les Tutsis contre les Bantous congolais dépassent en barbarie, en horreur et en cruauté tout ce que l’humanité a connu dans son histoire. D’ailleurs, les actes ignobles des Tutsis contre les Bantous congolais portent la signature ethnique.
En effet, lorsque, dans de nombreux villages du nord Kivu, des centaines de jeunes gens congolais appartenant à des ethnies bantoues comme les Nianga, les Tembo, les Havu, les Bafuliro, les Nande, les Barega, etc. sont précipités, vivants, dans des fosses septiques au fond desquelles ils meurent littéralement noyés dans des excréments humains, comment qualifiez-vous de telles abominations ? Dites-moi, mon cher Ramazani, dans quelle autre guerre, de quel autre pays, à quel siècle de telles horreurs ont déjà été signalées ? Jamais !! Nulle autre part !! C’est la première fois, dans l’histoire de l’être humain sur cette planète, que des hommes infligent à d’autres hommes un traitement aussi infâmant !! Je ne vous parle même pas des mutilations sexuelles infligées à nos soeurs, à nos mères et à nos filles dans le Kivu; ni des actes de sodomie que subissent désormais les hommes dans cette partie de la République !!
Les Bantous congolais sont engagés dans une guerre qui vise leur propre extermination depuis le mois de septembre 1997 et il y a des internautes qui cherchent à m’en distraire ? Plus de 6 millions de mes frères et soeurs congolais ont déjà été exterminés et Jean Kadima Schipa voudrait que je parle de Mobutu ? Que vient chercher l’ex Maréchal zaïrois, né de parents togolais, dans la guerre qui l’a justement fait partir du pouvoir et donc, dont il fut victime comme nous aujourd’hui, 12 ans après ?
J’ignore la véritable identité ethnique de ce Monsieur Jean Kadima Schipa et je veux bien croire, comme vous l’affirmez dans votre message, que c’est en réalité un Tutsi qui se dissimule derrière une appellation à consonance muntu. C’est d’ailleurs l’astuce à laquelle les membres de cette ethnie recourent de plus en plus souvent. Ils savent qu’en utilisant un nom muntu, ils seront plus difficiles à démasquer par nous. Mais ils se trompent… Ils se trompent lourdement. Nous disposons d’une méthode scientifique infaillible, capable de débusquer tous les Tutsis vivant sur la planète terre et même dans le système solaire !!
Pour en revenir à ma polémique avec M. Jean Kadima Schipa ( à dire vrai, le débat ne le regardait pas du tout, il s’est permis d’intervenir de manière quelque peu cavalière dans une discussion qui me mettait aux prises avec M. Serge Gontcho), mes opinions politiques ne sont pas en cause dans la guerre qui fait rage au Congo et dont les journaux ne parlent pas, y compris les organes de presse paraissant ainsi que les radios et les télévisions émettant sur place en République démocratique du Congo. Une guerre silencieuse !! Omona wapi ? C’est pourquoi, un stratège militaire américain l’a qualifiée de “guerre de basse intensité” parce qu’elle cause d’énormes pertes en vies humaines mais sans faire beaucoup de bruit…
Mon cher Ramazani, je répète, dans cette guerre, mes opinions politiques ne comptent pas, pas plus que les vôtres, ni celles de Ngbanda, des militants de l’UDPS; pas même celles des sympathisants du PPRD dès lors qu’ils sont tous des frères bantous comme vous et moi et qu’ils ont pris conscience du caractère éminemment ethnique de la tragédie qui décime le peuple congolais. C’est, en effet, un conflit d’essence ethnique , exactement de même nature que celui qui oppose au Rwanda, de manière chronique, les mêmes Tutsis aux Hutus.
Toute personne, quels que soient son sexe, sa profession, son ethnie et sa nationalité qui cite aujourd’hui le nom de Mobutu, de Tshisekedi, de Malu Malumba, de Boboliko Lokonga, de Laurent-Désiré Kabila, de Joseph Kasa-Vubu, ou de n’importe quel autre politicien muntu attire sur elle les pires soupçons car, cette personne tente de nous distraire en nous désorientant, en nous aiguillant sur une fausse piste, en nous montrant un mauvais coupable, en nous désignant un faux ennemi. Passés maîtres dans la manipulation, la désinformation et l’intoxication à l’échelle mondiale, les lobbies tutsis distillent depuis plus de 12 ans un discours fallacieux pour nous empêcher de qualifier de manière pertinente l’agresseur tutsi, le danger qu’il représente pour nous et la guerre qu’il nous mène.
Je ne suis pas membre de l’APARECO de M. Honoré Ngbanda. Mais “terminator” est un Muntu et à ce titre, lui et moi sommes confrontés au même ennemi tutsi. Nous devons donc lutter côte à côte. Malheureusement, M. Jean Kadima Schipa fait semblant de ne pas comprendre un raisonnement aussi élémentaire. C’est la raison pour laquelle je me suis permis de lui demander quel était son âge mental. Au cas où il accuserait un âge mental supérieur à la moyenne, alors, pas de doute, M. Jean Kadima Schipa devrait attirer sur sa personne les soupçons légitimes d’être Tutsi.
Mon cher Ramazani, vous avez parfaitement raison: il ne faut pas éprouver le moindre sentiment de peur, de honte, de gêne et de timidité d’affirmer votre appartenance aux Bantous. En Belgique, les Wallons sont fiers d’être wallons. Même chose pour les Flamands. En Angleterre, les Ecossais ne cachent pas leur identité ethnique qui se voit notamment par le port du kilt ( la fameuse jupe que mettent les hommes écossais, semble-t-il, sans caleçon en dessous !!). Même constat pour les Irlandais, les Gallois, etc. Mais ce n’est pas tout. En Espagne, les Catalans sont fiers de l’être. Ils ont même fondé le FC Barcelone, l’un des clubs de football les plus titrés au monde. En France, nous avons les Corses, les Bretons, les Auvergnats, etc. qui proclament haut et fort leur identité. Pourquoi nous empêche-t-on, nous autres Bantous congolais, d’en faire de même ? Pourquoi le terme “muntu” a-t-il complètement disparu du vocabulaire congolais, que ce soit du lexique politique ou du glossaire médiatique depuis 1997 ? Jean Kadima Schipa peut-il répondre à cette question ? A la place, on entend désormais parler de “rwandophones” , de “Tutsis, de “Banyamulengue” , de “Banya-Uvira” , de “Banya-machin” , etc. Mais d’où viennent les membres de cette ethnie et surtout, où ont-ils trouvé les “terres vacantes” au Congo pour s’y installer et revendiquer une identité ethnique nationale ? Depuis le 15 février 1885, année de la clôture de la Conférence de Berlin, toutes les terres au Congo sont occupées par des ethnies et des tribus bantoues, pygmées et soudano-nilotiques. L’occupation territoriale du Congo est basée sur la particularité que les membres de toutes les ethnies, de toutes les tribus et même de chaque clan possèdent leur propre terre et leur propre espace vital où ils vivent seuls.
Par conséquent, il ne peut pas y avoir de “minorités ethniques ” au Congo puisque chaque ethnie congolaise possède ses terres et qu’elle s’y est installée seule, depuis des millénaires. Il existe beaucoup d’espace au Congo. Pour quelles raisons deux ethnies se disputeraient- elles le même bout de territoire, à moins d’être une éthnie étrangère, arrivée tardivement au Congo comme c’est le cas avec les Tutsis rwandais ?
Au demeurant, tous ceux qui utilisent l’argument ou l’expression “minorités ethniques “au Congo sont, soit de de sombres abrutis, soit de tristes ignorants, soit des Tutsis, soit leurs complices… Historiquement et du point de vue de l’occupation foncière, c’est en effet une absurdité. Qu’il puisse exister des étrangers sur les terres de nos ethnies ne fait aucun doute. Au Congo vivent des Libanais, des Ouest-africains, des Grecs, des Tutsis originaires du Rwanda, etc. Mais, ils doivent rester des étrangers venus trouver refuge, asile ou chercher fortune chez nous. Point barre. Mais, en aucun cas, ils ne peuvent revendiquer un millimètre carré de nos terres ni confisquer le pouvoir politique chez nous comme c’est le cas actuellement . Heureusement, l’heure de la reddition des comptes par les Tutsis ne devrait plus tarder à sonner à l’horloge de l’Histoire.
Je répète , mon cher Ramazani: nous autres Bantous Congolais sommes confrontés à la guerre la plus atroce, la plus sale, la plus traitresse et la plus meurtrière de notre histoire tourmentée. Notre ennemi est le Tutsi, en particulier celui du Rwanda. Face à ce conflit, toutes autres considérations doivent s’effacer; toutes les oppositions, notamment politiques, doivent être tues et mises de côté, au moins provisoirement.
Dès lors, toutes les contributions, tous les bras, tous les soldats bantous doivent être les bienvenus pour vaincre notre ennemi commun. Et s’il y a des comptes à règler entre nous bantous, si M. Dieudonné Kwebe-Kimpele, si M. Honoré Ngbanda, si tout autre muntu, homme ou femme ayant servi sous la II République de Mobutu , en mal ou en bien, doit être traîné devant le tribunal de l’opinion publique ou être présenté à des juges d’une cour d’assises, ce sera après la guerre.. Pas maintenant.
Nos ennemis et leurs complices ( je soupçonne fortement M. Jean Kadima Schipa d’être au minimum un comparse, un collaborateur actif et un compère des Tutsis), multiplient les manoeuvres de diversion, de distraction et de division dans nos rangs, y compris à travers les différents sites de discussion. Il faut faire preuve de beaucoup de vigilance lorsqu’on s’y connecte. Des loups tutsis ont revêtu des peaux de mouton bantou, ont envahi l’Internet, pilonnent jour et nuit les sites et les forums d’échanges ( le mot ne prend pas la forme “fora” au pluriel comme j’ai cru le lire dans un e-mail envoyé par un Internaute congolais). Je n’éprouve d’ailleurs aucun mal à les repérer. Mais comme je n’ai pas de temps à perdre , je refuse de les démasquer systématiquement en engageant une polémique avec chacun d’eux, sauf cas exceptionnel et épisodiquement.
Merci pour votre contribution
fraternellement vôtre
Mobutu est mort et c’est fini avec lui. Lui et sa clique avaient effacé de notre esprit le sentiment de la patrie. Aujourd’hui le Congo est trahi. Kabila n’a aucun pouvoir mais il a l’argent sale et il en sait s’en servir. La Classe politique est constituée de sales bandes`des prostitués politiques et escrocs comme André Kimbuta et consorts. Les chinois sont là pour nous distraire avec les projets des 5 chantiers avec routes de qualités mediocres (2 centimètres d’épaisseurs construites sur des réseaux bien appropriés afin de facilité la fuite lorsque ça va barder. Les libanais ont de leurs part acheté toute la classe politique et donnent régie. Les congolais sont réduits en esclaves, mendiants sur leur propre territoire. Pendant que les chinois exercant des professions pour des milliers de dollars,les congolais se suffisent qu’avec des miettes franc congolais. Et tous ces traitres que l’on qualifie de Kuluna en cravates se frottent. Nous pouvons combattre ce système à partir de l’étranger, si nous sommes bien organiser et arrivons à définir les buts à atteindre.Et voilà maintenant que Kabila veut changer la constitution afin de s’accaparer du pouvoir pour toujours. Son épouse éparpille l’argent à des fins corruptives. Ne lui donnons pas la chance. Cette fois-ci il faut combattre et informer la population à voter NON-à Kabila et sa Mafia.
Salutations patriotiques.
trop de distraction, combattons kanambe, felix tshisekedi veut faire alliance avec l occupation, parlez en aussi, ; si vous vous complaisez a des distractions pareille c est peine perdure. Mobutu est un criminel comme ngwanda et kengo et les autres, mais en ce moment reformer un contre poids et combattez le regime kanambe et sortez le pays de l occupation , cessons de nous distraire, Stoppez la traitrise de Felix Tshisekedi et les betises qui se font au sein de l UDPS
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