Category: Afrique

  • Des attaques au Delta du Niger

    Des attaques au Delta du Niger

    Les Vengeurs du Delta du Niger, une milice active dans la zone méridionale du Nigeria, déclare avoir fait exploser des équipements pétroliers, dont des pipelines.

    Une source sécuritaire a confirmé les attaques au site Internet du journal nigérian Vanguard, indiquant qu’elles ont eu lieu ces derniers jours.

    Elle ajoute que des explosions ont visé des installations pétrolières, dimanche matin, dans la ville de Warri, dans l’Etat du Delta.

    “Selon des enquêtes préliminaires menées par nos agents, les équipements ont été dynamités, comme ce fut le cas lors de précédentes attaques”, a précisé la même source.

    Les Vengeurs du Delta du Niger ont commis de nombreuses attaques dans le sud du Nigeria.

    Ils réclament une équitable répartition des ressources pétrolières.

    A cause de leurs attaques sur les équipements des compagnies pétrolières, la production de pétrole a fortement baissé au Nigeria, avant de repartir récemment vers ses niveaux les plus élevés, selon les autorités nigérianes.

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  • Un tracteur “made in” Nigeria

    Un tracteur “made in” Nigeria

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    La conception et la fabrication de l’engin agricole ont eu lieu au Nigeria, grâce à la créativité de Timothy Addigi Terfa, un ingénieur formé en Grande-Bretagne.

    Le traceur est baptisé ”Ijodo”, qui signifie ”labourer” dans la langue maternelle de l’inventeur.

    Ce dernier affirme avoir mis au point ce véhicule pour pallier le manque criant de tracteurs dans son pays, qui condamne les agriculteurs nigérians à travailler à la main.

    Timothy Addigi Terfa annonce que ses tracteurs seront vendus à 3.500 dollars l’unité, environ 1 750 000 francs CFA.

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  • Benjamin Netanyahu en visite en Afrique

    Benjamin Netanyahu en visite en Afrique

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    Selon de sources concordantes, le chef du gouvernement israélien doit se rendre en Ouganda, au Kenya, en Ethiopie et au Rwanda.

    Il s’agit de la première visite d’un Premier ministre israélien en Afrique depuis celle effectuée en 1994 à Casablanca par son prédécesseur Yitzhak Rabin.

    Le chef du gouvernement israélien compte profiter de sa tournée africaine pour trouver de nouveaux partenaires commerciaux.

    Sa visite va aussi marquer le 40e anniversaire de la mort de son frère dans une opération commando en Ouganda.

    Il est également prévu l’ouverture des bureaux de l’Agence israélienne pour le développement international dans les quatre pays que le Premier ministre visitera.

    Cette agence partage avec les pays en voie de développement les technologies et le savoir-faire israéliens.

    “Revenir en Afrique par la grande porte”

    En février, Benjamin Netanyahu avait annoncé avoir accepté l’invitation de dirigeants africains à se rendre sur le continent pour le 40e anniversaire de l’opération menée le 4 juillet 1976 par des commandos israéliens pour libérer les passagers d’un vol Tel-Aviv/Paris détourné à Entebbe.

    Son frère avait péri dans cette opération.

    “Cela fait partie d’un effort majeur de notre part pour revenir en Afrique par la grande porte. Cette visite est importante pour les entreprises israéliennes et pour Israël, pour les pays d’Afrique aussi”, a déclaré dimanche M. Netanyahu, en conseil des ministres.

    Selon le cabinet de M. Netanyahu, 11,7 millions d’euros seront consacrés au “renforcement des relations économiques et bilatérales avec les pays africains”.

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  • Des combats en RDC

    Des combats en RDC

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    Des sources locales font état d’une dizaine de morts dans des combats survenus entre l’armée congolaise et des miliciens Maï-Maï, dans la zone de Lukweti, dans le territoire de Masisi.

    Selon des membres de la société civile locale, ces affrontements ont fait six morts du côté de l’armée, dont un officier.

    Les mêmes sources rapportent qu’il y a eu huit morts du côté des miliciens.

    Un porte-parole de l’armée congolaise confirme qu’il y a eu un accrochage entre l’armée loyaliste et une coalition de rebelles, dans le territoire de Masisi.

    Il n’a pas voulu donner de détails sur le bilan des combats.

    Des dizaines de groupes armés

    L’armée affirme avoir repoussé une attaque samedi matin, aux alentours du village d’Eringeti, dans la zone de Beni, dans l’est du pays.

    Selon un porte-parole de l’armée, quatre miliciens ont été tués et sept autres capturés lors de cette attaque.

    Dans l’est de la RDC pullulent des dizaines de groupes armés, qui se disputent le contrôle de cette zone riche en ressources naturelles.

    L’armée a neutralisé certaines de ces milices, d’autres résistent encore.

    C’est le cas des Maï-Maï, des FDLR et des ADF-Nalu, qui sont accusés d’avoir massacré à l’arme blanche plus de mille personnes, dans la zone de Beni.

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  • Zika touche la Guinée-Bissau

    Zika touche la Guinée-Bissau

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    La Guinée-Bissau devient le deuxième pays africain à être touché par le virus Zika, après son voisin le Cap-Vert.

    Les trois cas ont été enregistrés dans l’archipel des Bijagos, qui est situé dans l’Atlantique, au large de Bissau, selon Domingos Malu, le ministre bissau-guinéen de la Santé.

    Le gouvernement bissau-guinéen a annoncé la création d’une commission de lutte contre le Zika.

    Le virus Zika provoque des symptômes bénins, qui passent souvent inaperçus.

    Il se propage surtout par des piqûres de moustiques infectés. Il peut aussi se transmettre sexuellement ou de la mère au fœtus.

    L’épidémie de Zika actuellement plusieurs pays d’Amérique du Sud, le Brésil surtout.

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  • Mauritanie : des anti-esclavagistes arrêtés

    Mauritanie : des anti-esclavagistes arrêtés

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    Parmi les personnes arrêtées figurent des militants de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (IRA), un mouvement anti-esclavagiste.

    L’IRA a protesté, dans un communiqué, contre l’arrestation de ses militants.

    Amadou Tidjane Diop, l’un des vice-présidents de ce mouvement, fait partie des personnes arrêtées, selon le communiqué.

    Les arrestations ont eu lieu après des heurts dans un bidonville de Nouakchott, la capitale mauritanienne.

    Les violences opposaient des policiers à des manifestants, que les autorités accusent d’occuper illégalement des terrains privés.

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  • Sénégal : retrait des enfants de la rue

    Sénégal : retrait des enfants de la rue

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    Les autorités sénégalaises ont promis des peines d’amende et de prison à ceux qui font mendier les enfants dans les villes du Sénégal.

    Loïc Tregui, un responsable du Village Pilote, une association qui travaille à la réinsertion des talibés depuis 23 ans, au Sénégal, a fait part de son scepticisme, après l’annonce de cette décision.

    “Ce n’est pas avec un effet d’annonce que les choses vont changer. Mais c’est bien que l’Etat ait fermement décidé de changer les choses. Des peines de prison, des représailles c’est bien, mais il y a beaucoup de dialogue et de prévention à mener”, a-t-il dit dans un entretien à BBC Afrique.

    Sensibilisation

    “Il y a une problématique profonde, qui fait que les enfants se retrouvent dans la rue. (…) Prendre ces enfants et les retourner dans les familles, cela ne se fait pas en un claquement de doigts. Il y a de la sensibilisation à faire auprès des familles”, a averti Loïc Tregui.

    Selon lui, les maîtres coraniques, dont certains font mendier les enfants “talibés”, doivent être associés à l’initiative du gouvernement.

    Certains maîtres coraniques ont entrepris des réformes sans recevoir des financements de l’Etat, selon M. Tregui.

    Environ 50 000 enfants errent dans les rues de Dakar, la capitale sénégalaise, selon des statistiques officielles.

    Tradition

    Ce phénomène touche les autres villes du pays, mais dans une moindre mesure.

    C’est une tradition sénégalaise d’envoyer les enfants à l’école coranique.

    Mais ces enfants sont souvent envoyés mendier dans les rues par leurs maîtres.

    La mendicité est encore pratiquée au Sénégal, malgré son interdiction, depuis plusieurs années, par les autorités du pays.

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  • L’Onu condamne les tuéries de Wau

    L’Onu condamne les tuéries de Wau

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    Dans une déclaration publiée vendredi soir, le Conseil de sécurité s’est dit préoccupé par les affrontements qui ont eu lieu le 24 juin dernier à Wau, au Soudan du Sud.

    Ces violences ont causé le déplacement d’environ 70.000 personnes, dont 12.000 ont trouvé refuge à proximité d’une base de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS).

    Les membres du Conseil de sécurité ont appelé tous les acteurs armés à cesser immédiatement les hostilités et à garantir l’accès humanitaire aux civils dans le besoin, y compris à une école où 9000 civils se seraient abrités.

    L’Onu a salué la création par le gouvernement d’unité nationale de transition d’une commission d’enquête, et a exhorté le gouvernement à enquêter rapidement sur l’attaque.

    Le Conseil de sécurité a exprimé sa vive préoccupation face à la poursuite des violences dans tout le pays.

    Il a également invité les parties signataires de l’Accord de paix à accélérer sa mise en œuvre afin de rétablir la paix dans le pays.

    Les 15 membres du Conseil de sécurité ont rappelé que les attaques contre des civils sont susceptibles de constituer des crimes de guerre. Selon eux, les personnes impliquées seront soumises à des sanctions.

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  • RCA : les casques bleus de nouveau visés

    RCA : les casques bleus de nouveau visés

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    Les Nations unies ont annoncé vendredi l’ouverture d’une enquête sur deux nouveaux cas d’agressions sexuelles présumées de mineurs par des Casques bleus en Centrafrique (MINUSCA).

    Les accusations datent de mai et les agressions présumées se seraient produites dans la région centrale de Kemo, a précisé le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric.

    Des abus similaires, impliquant des soldats de la MINUSCA, ont déjà eu lieu en Centrafrique.

    Une enquête de l’ONU a identifié, en janvier dernier, sept cas présumés d’abus sexuels mettant en cause des Casques bleus.

    Elle visait des soldats de la République du Congo et de la République démocratique du Congo (RDC).

    Les contingents incriminés avaient été confinés dans leurs casernes. À la fin de ce même mois, Anthony Banbury, un officiel de l’ONU a accusé dix casques bleus de ces cinq pays d’avoir abusé en 2014 et 2015 de mineurs en Centrafrique.

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