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Des pistes de solution pour mettre fin à la guerre des minerais en RDC


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-La République démocratique du Congo (RDC), qui est un géant minier par excellence et l’une des fournisseurs très importants de matières minérales au monde,

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-La République démocratique du Congo (RDC), qui est un géant minier par excellence et l’une des fournisseurs très importants de matières minérales au monde, notamment le fameux coltan (colombo-tantalite), est particulièrement nantie par une diversité d’espèces minérales réparties dans toutes ses provinces. Sans cette fourniture notable, certains secteurs industriels importants du monde occidental s’en trouveraient certainement affaiblis.
Mais, au lieu que ces richesses minérales contribuent au développement de ce pays et au bien-être de sa population, elles sont plutôt devenues une malédiction et une source de tous les maux dont souffre actuellement la RDC, confrontée à une guerre essentiellement économique depuis une quinzaine années.

Le coltan est au cœur de ces conflits meurtriers qui ont déjà fait plus de cinq millions de morts, de milliers de femmes et d’enfants violés et des centaines de milliers de déplacés internes.

Le tantale (métal extrait du coltan), indispensable à l’industrie aéronautique, aérospatiale et de défense (réacteurs, missiles, satellites etc.), sert également à la fabrication des gadgets électroniques de petite taille, tels que les téléphones mobiles, les ordinateurs portables et les consoles de jeux.

Bien que certains pays, tels l’Australie et le Brésil, fournissent une quantité de coltan sur le marché mondial, la demande des produits dérivés, notamment les téléphones mobiles et les ordinateurs portables, fait en sorte que les pays producteurs de ces produits en ont encore et encore besoin. Les spécialistes de ce minerai estiment que la RDC regorgerait d’une plus importante réserve mondiale de cet « or gris » qui contiendrait l’un des taux les plus élevés de tantale au monde.

En fait, il est difficile d’avoir les données fiables de la filière du coltan congolais, étant donné que l’exploitation et la commercialisation de ce minerai est pour la plupart frauduleuse. Du coup, le coltan est devenu un matériau stratégique pour certains pays occidentaux qui dépendent des réserves extérieures et exercent un contrôle sur la filière de cette ressource extrêmement précieuse pour leur système de défense et de haute technologie.

Rapports de l’ONU sur l’exploitation illégale de minéraux congolais

Aux fins de se procurer le coltan, certains commerçants s’appuient sur les groupes politico-militaires qui opèrent dans la région du Kivu pour évacuer le produit via le Rwanda et l’Ouganda.

Depuis 2001, les rapports d’experts des Nations Unies n’ont cessé de dénoncer l’exploitation illégale des minéraux congolais, notamment le coltan, par les pays voisins à l’Est du Congo et par certaines multinationales qui participent à l’extraction de ce minerai en finançant indirectement la guerre par les taxes payées aux groupes armés qui contrôlent cette région.

Selon ces mêmes rapports, l’exploitation minière illégale à l’Est du Congo a pour effet d’encourager le maintien des bras armés de certains pays voisins qui perpétuent l’instabilité en RDC tout en continuant le pillage de ses ressources minérales et ainsi avoir l’accès aux ressources financières énormes.

Elle a également permis d’enrichir individuellement certains chefs militaires et civils, aussi bien étrangers que congolais, qui ont mis en place des réseaux illégaux d’exploitation et de commercialisation des minéraux.

Mais, malgré l’indignation des Nations Unies, des organisations internationales de défense des droits de la personne et de la société civile tant nationale qu’internationale face à la tragédie congolaise, les tireurs de ficelles, aussi bien en amont qu’en aval, n’ont jamais bronché. Malgré le déploiement de la plus importante Mission des Nations Unies pour le maintien de la paix, l’extraction illégale du coltan continue son petit bonhomme de chemin avec son lot de victimes collatérales.  Au point de conclure que la course au coltan congolais se fait sans éthique et humanité.

La loi américaine sur les « minéraux de conflits »

En juillet 2010, l’administration Obama a promulgué la loi « mammouth » de plus de 848 pages « Dodd–Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act » dans laquelle tout un chapitre (Titre XV : Dispositions diverses) a été consacré essentiellement à la question de « minéraux de conflits » en provenance de la RDC.

Cette loi américaine a établi le lien direct entre « groupes armés, exploitation de minéraux » et « violation des droits de la personne en RDC ». Comme pour dire que les Etats-Unis sont conscients que l’exploitation et la commercialisation de minéraux en provenance de la RDC aident directement ou indirectement à financer les conflits à l’Est de ce pays.

Ainsi pour mettre fin à cette pratique, la Loi voulait rendre transparent le commerce de minéraux congolais, en obligeant toute personne ou entreprise, qui commercialise cette matière, de mentionner à la « Securities and Exchange Commission », – instance de régulation –, l’origine de minéraux afin de décourager la commercialisation de « minéraux de sang ».

Patrick Martineau, chercheur au Groupe de recherche sur les activités minières en Afrique (GRAMA) de l’université de Québec à Montréal (UQÀM), a mené en 2003 une enquête « la route commerciale du coltan congolais ». Il note que la filière du coltan en provenance de la RDC fait partie d’une dynamique extrêmement complexe et articulée par toute une série d’acteurs intervenant à différents niveaux où politique, milice, mafia et finance semblent parfois se confondre.

Mettre fin à la « guerre de minérais congolais » par les minerais

La RDC n’a pas une armée républicaine capable de mettre fin aux différents groupes armés qui sévissent à l’Est de son territoire.
En effet, depuis la rébellion de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) qui a chassé le président Mobutu du pouvoir en 1997, l’armée congolaise n’a gagné aucune guerre.

Avec le MLC (Mouvement de libération du Congo) et le RCD (Rassemblement congolais pour la démocratie), le gouvernement congolais a fini par signer un accord avec les rebelles pour la formation du gouvernement de « 1+4 ».

Avec le CNDP (Congrès national pour la défense du peuple) de Laurent Nkunda, c’était le fameux Accord de paix du 23 mars 2009 qui intégrait les insurgés dans les instances politiques et militaires du pays.

Maintenant avec les négociations de Kampala avec le M23, on finira probablement par la réintégration des insurgés d’hier à nouveau dans les instances politiques et militaires de la RDC.

Pour mettre fin définitivement à la « guerre de minerais congolais » qui sème la mort et la désolation et qui a déjà fait des millions de victimes innocentes, la RDC doit utiliser ces mêmes minerais pour acheter la paix. Pour ce faire, la diplomatie congolaise devrait comprendre quatre choses.

Primo. Le coltan est un enjeu stratégique pour certaines puissances mondiales qui n’en ont pas assez et dépendent des réserves extérieures pour leur système de défense.

Secundo. La RDC a certes des amis, mais n’a pas des alliés fidèles qui puissent plaider sa cause et s’opposer énergiquement lorsque ses intérêts sont bradés.

Tertio. De toutes les façons, la RDC n’a pas le contrôle ni de l’exploitation ni de la commercialisation du coltan et ne tire aucun bénéfice à l’exportation de ce minerai.

Quarto. Aussi bien les multinationales, qui exploitent et commercialisent ce minerai, que les pays qui se le procurent pour le besoin de leurs industries aéronautiques et aérospatiales, ont une conscience chargée pour toutes ces victimes collatérales.

Une fois que la diplomatie congolaise aura compris ces quatre postulats, elle devra entreprendre une démarche sincère en amont – pas en aval (ce sont des simples exécutants) – pour, d’une part, garantir l’approvisionnement de cette ressource précieuse aux pays acheteurs; d’autre part, conclure des ententes avec les multinationales pour une extraction industrielles de ce minerai.

Cela permettrait non seulement à tous de se donner bonne conscience, mais également de retirer tant soit peu les dividendes de cette exploitation. En faisant cela, la RDC peut réussir à renverser les alliances dans cette région des Grands Lacs où elle devrait idéalement avoir le leadership.

En diplomatie, les vestes se retournent, les alliances se font et se défont lorsque les intérêts des Etats se recoupent, se chevauchent, se juxtaposent, s’imbriquent, ou lorsque les intérêts des Etats se contredisent, se concurrencent, ou encore lorsqu’il n’y a plus d’intérêts du tout.

Les amateurs de l’histoire se rappelleront des « Traités de Versailles » de mai 1756 et mai 1757 qui furent une révolution diplomatique majeure. Ces deux Traités avaient provoqué le renversement des alliances diplomatiques de longue date créées lors de la guerre de succession d’Autriche, puis modifiées à la veille de la guerre de Sept Ans.

Ainsi, l’alliance entre la France et la Prusse contre la Grande-Bretagne et l’Autriche est devenue l’alliance de la France et de l’Autriche contre la Grande-Bretagne et la Prusse.

Du temps de Mobutu, surtout pendant la période de la « guerre froide », la RDC avait des alliés sur qui elle pouvait compter. Les Etats-Unis étaient l’un des grands alliés pendant une longue période et peuvent encore le devenir, mais cela a un prix.

Au lieu de passer inutilement le temps à Kampala pour négocier les postes dans l’appareil gouvernemental avec le M23, qui ne pourra pas arrêter définitivement la guerre dans cette partie de la RDC Congo, et consacrer une fois de plus l’impunité comme système de gestion des conflits dans ce pays, il vaut mieux payer le prix pour rétablir les alliances d’autrefois avec les puissants de ce monde.  Ceux-ci sont capables de dire un mot aux responsables des bras armés en RDC pour retirer Laurent Nkunda dans le champ de bataille et demander au M23 de se retirer de la ville de Goma.

Écrit par Isidore Kwandja Ngembo notamment le fameux coltan (colombo-tantalite), est particulièrement nantie par une diversité d’espèces minérales réparties dans toutes ses provinces. Sans cette fourniture notable, certains secteurs industriels importants du monde occidental s’en trouveraient certainement affaiblis.
Mais, au lieu que ces richesses minérales contribuent au développement de ce pays et au bien-être de sa population, elles sont plutôt devenues une malédiction et une source de tous les maux dont souffre actuellement la RDC, confrontée à une guerre essentiellement économique depuis une quinzaine années.

Le coltan est au cœur de ces conflits meurtriers qui ont déjà fait plus de cinq millions de morts, de milliers de femmes et d’enfants violés et des centaines de milliers de déplacés internes.

Le tantale (métal extrait du coltan), indispensable à l’industrie aéronautique, aérospatiale et de défense (réacteurs, missiles, satellites etc.), sert également à la fabrication des gadgets électroniques de petite taille, tels que les téléphones mobiles, les ordinateurs portables et les consoles de jeux.

Bien que certains pays, tels l’Australie et le Brésil, fournissent une quantité de coltan sur le marché mondial, la demande des produits dérivés, notamment les téléphones mobiles et les ordinateurs portables, fait en sorte que les pays producteurs de ces produits en ont encore et encore besoin. Les spécialistes de ce minerai estiment que la RDC regorgerait d’une plus importante réserve mondiale de cet « or gris » qui contiendrait l’un des taux les plus élevés de tantale au monde.

En fait, il est difficile d’avoir les données fiables de la filière du coltan congolais, étant donné que l’exploitation et la commercialisation de ce minerai est pour la plupart frauduleuse. Du coup, le coltan est devenu un matériau stratégique pour certains pays occidentaux qui dépendent des réserves extérieures et exercent un contrôle sur la filière de cette ressource extrêmement précieuse pour leur système de défense et de haute technologie.

Rapports de l’ONU sur l’exploitation illégale de minéraux congolais

Aux fins de se procurer le coltan, certains commerçants s’appuient sur les groupes politico-militaires qui opèrent dans la région du Kivu pour évacuer le produit via le Rwanda et l’Ouganda.

Depuis 2001, les rapports d’experts des Nations Unies n’ont cessé de dénoncer l’exploitation illégale des minéraux congolais, notamment le coltan, par les pays voisins à l’Est du Congo et par certaines multinationales qui participent à l’extraction de ce minerai en finançant indirectement la guerre par les taxes payées aux groupes armés qui contrôlent cette région.

Selon ces mêmes rapports, l’exploitation minière illégale à l’Est du Congo a pour effet d’encourager le maintien des bras armés de certains pays voisins qui perpétuent l’instabilité en RDC tout en continuant le pillage de ses ressources minérales et ainsi avoir l’accès aux ressources financières énormes.

Elle a également permis d’enrichir individuellement certains chefs militaires et civils, aussi bien étrangers que congolais, qui ont mis en place des réseaux illégaux d’exploitation et de commercialisation des minéraux.

Mais, malgré l’indignation des Nations Unies, des organisations internationales de défense des droits de la personne et de la société civile tant nationale qu’internationale face à la tragédie congolaise, les tireurs de ficelles, aussi bien en amont qu’en aval, n’ont jamais bronché. Malgré le déploiement de la plus importante Mission des Nations Unies pour le maintien de la paix, l’extraction illégale du coltan continue son petit bonhomme de chemin avec son lot de victimes collatérales.  Au point de conclure que la course au coltan congolais se fait sans éthique et humanité.

La loi américaine sur les « minéraux de conflits »

En juillet 2010, l’administration Obama a promulgué la loi « mammouth » de plus de 848 pages « Dodd–Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act » dans laquelle tout un chapitre (Titre XV : Dispositions diverses) a été consacré essentiellement à la question de « minéraux de conflits » en provenance de la RDC.

Cette loi américaine a établi le lien direct entre « groupes armés, exploitation de minéraux » et « violation des droits de la personne en RDC ». Comme pour dire que les Etats-Unis sont conscients que l’exploitation et la commercialisation de minéraux en provenance de la RDC aident directement ou indirectement à financer les conflits à l’Est de ce pays.

Ainsi pour mettre fin à cette pratique, la Loi voulait rendre transparent le commerce de minéraux congolais, en obligeant toute personne ou entreprise, qui commercialise cette matière, de mentionner à la « Securities and Exchange Commission », – instance de régulation –, l’origine de minéraux afin de décourager la commercialisation de « minéraux de sang ».

Patrick Martineau, chercheur au Groupe de recherche sur les activités minières en Afrique (GRAMA) de l’université de Québec à Montréal (UQÀM), a mené en 2003 une enquête « la route commerciale du coltan congolais ». Il note que la filière du coltan en provenance de la RDC fait partie d’une dynamique extrêmement complexe et articulée par toute une série d’acteurs intervenant à différents niveaux où politique, milice, mafia et finance semblent parfois se confondre.

Mettre fin à la « guerre de minérais congolais » par les minerais

La RDC n’a pas une armée républicaine capable de mettre fin aux différents groupes armés qui sévissent à l’Est de son territoire.
En effet, depuis la rébellion de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) qui a chassé le président Mobutu du pouvoir en 1997, l’armée congolaise n’a gagné aucune guerre.

Avec le MLC (Mouvement de libération du Congo) et le RCD (Rassemblement congolais pour la démocratie), le gouvernement congolais a fini par signer un accord avec les rebelles pour la formation du gouvernement de « 1+4 ».

Avec le CNDP (Congrès national pour la défense du peuple) de Laurent Nkunda, c’était le fameux Accord de paix du 23 mars 2009 qui intégrait les insurgés dans les instances politiques et militaires du pays.

Maintenant avec les négociations de Kampala avec le M23, on finira probablement par la réintégration des insurgés d’hier à nouveau dans les instances politiques et militaires de la RDC.

Pour mettre fin définitivement à la « guerre de minerais congolais » qui sème la mort et la désolation et qui a déjà fait des millions de victimes innocentes, la RDC doit utiliser ces mêmes minerais pour acheter la paix. Pour ce faire, la diplomatie congolaise devrait comprendre quatre choses.

Primo. Le coltan est un enjeu stratégique pour certaines puissances mondiales qui n’en ont pas assez et dépendent des réserves extérieures pour leur système de défense.

Secundo. La RDC a certes des amis, mais n’a pas des alliés fidèles qui puissent plaider sa cause et s’opposer énergiquement lorsque ses intérêts sont bradés.

Tertio. De toutes les façons, la RDC n’a pas le contrôle ni de l’exploitation ni de la commercialisation du coltan et ne tire aucun bénéfice à l’exportation de ce minerai.

Quarto. Aussi bien les multinationales, qui exploitent et commercialisent ce minerai, que les pays qui se le procurent pour le besoin de leurs industries aéronautiques et aérospatiales, ont une conscience chargée pour toutes ces victimes collatérales.

Une fois que la diplomatie congolaise aura compris ces quatre postulats, elle devra entreprendre une démarche sincère en amont – pas en aval (ce sont des simples exécutants) – pour, d’une part, garantir l’approvisionnement de cette ressource précieuse aux pays acheteurs; d’autre part, conclure des ententes avec les multinationales pour une extraction industrielles de ce minerai.

Cela permettrait non seulement à tous de se donner bonne conscience, mais également de retirer tant soit peu les dividendes de cette exploitation. En faisant cela, la RDC peut réussir à renverser les alliances dans cette région des Grands Lacs où elle devrait idéalement avoir le leadership.

En diplomatie, les vestes se retournent, les alliances se font et se défont lorsque les intérêts des Etats se recoupent, se chevauchent, se juxtaposent, s’imbriquent, ou lorsque les intérêts des Etats se contredisent, se concurrencent, ou encore lorsqu’il n’y a plus d’intérêts du tout.

Les amateurs de l’histoire se rappelleront des « Traités de Versailles » de mai 1756 et mai 1757 qui furent une révolution diplomatique majeure. Ces deux Traités avaient provoqué le renversement des alliances diplomatiques de longue date créées lors de la guerre de succession d’Autriche, puis modifiées à la veille de la guerre de Sept Ans.

Ainsi, l’alliance entre la France et la Prusse contre la Grande-Bretagne et l’Autriche est devenue l’alliance de la France et de l’Autriche contre la Grande-Bretagne et la Prusse.

Du temps de Mobutu, surtout pendant la période de la « guerre froide », la RDC avait des alliés sur qui elle pouvait compter. Les Etats-Unis étaient l’un des grands alliés pendant une longue période et peuvent encore le devenir, mais cela a un prix.

Au lieu de passer inutilement le temps à Kampala pour négocier les postes dans l’appareil gouvernemental avec le M23, qui ne pourra pas arrêter définitivement la guerre dans cette partie de la RDC Congo, et consacrer une fois de plus l’impunité comme système de gestion des conflits dans ce pays, il vaut mieux payer le prix pour rétablir les alliances d’autrefois avec les puissants de ce monde.  Ceux-ci sont capables de dire un mot aux responsables des bras armés en RDC pour retirer Laurent Nkunda dans le champ de bataille et demander au M23 de se retirer de la ville de Goma.

Écrit par Isidore Kwandja Ngembo