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Source: VOA News
Selon Mme Wallström, « il faut améliorer la communication avec la population civile et aussi trouver les moyens de mieux communiquer.»
« J’ai signalé au Conseil de sécurité qu’il y a des risques avec le déploiement des FARDC », a-t-elle déclarant, expliquant que l’insuffisance des rations alimentaires et le manque de logement accentuent les risques de pillages et de viol.
Les femmes, dans l’Est de la RDC, continuent d’être victimes de violences sexuelles. Mardi, dans le Kasaï Oriental, une jeune femme a été violée par une quinzaine d’individus apparentés aux Mai-Mai. Trois personnes ont été arrêtées dans cette affaire.
Ce fait divers vient rappeler l’urgence de la situation et la nécessité de protéger les populations congolaises.
La semaine dernière, la représentante spéciale du Secrétaire Général de l’ONU pour les violences sexuelles dans les conflits, Margot Wallström, avait mis en cause les Forces armées de la RDC (FARDC), c’est-à-dire l’armée congolaise, dans certains exactions et viols au Kivu.
Kinshasa avait vivement protesté contre ces allégations. Mme Wallström a réitéré ses accusations dans une interview accordée à la VOA. « J’ai signalé au Conseil de sécurité qu’il y a des risques avec le déploiement des FARDC », a-t-elle déclarant, expliquant que l’insuffisance des rations alimentaires et le manque de logement accentuent les risques de pillages et de viol.
Selon Mme Wallström, « il faut améliorer la communication avec la population civile et aussi trouver les moyens de mieux communiquer. »
Par VOA | Washington, D.C.
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