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  • Gabon: l’économie se porte mieux, selon le FMI

    Gabon: l’économie se porte mieux, selon le FMI

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  • Gabon: l’opposition vent debout contre la modification de la Constitution

    Gabon: l’opposition vent debout contre la modification de la Constitution


    Par
    RFI

    Publié le 16-11-2018
    Modifié le 16-11-2018 à 13:57

    Au Gabon, premier conseil des ministres ce vendredi sans Ali Bongo Ondimba toujours hospitalisé en Arabie saoudite. Ce conseil qui sera présidé par le vice-président de la République Pierre-Claver Maganga Moussavou a été possible grâce à une décision de la Cour constitutionnelle qui a écrit un nouvel alinéa sur l’article 13 relatif à la vacance du pouvoir. La classe politique gabonaise et la société civile sont choquées.

    Tout est parti de la décision prise mercredi soir par la Cour constitutionnelle d’autoriser le vice-président gabonais à présider un Conseil des ministres, en l’absence du président Ali Bongo empêché. Or l’article 13 de la Constitution ne parle uniquement que de « vacances de poste » ou « d’empêchement définitif » du président de la République. La Cour constitutionnelle a dû donc rajouter à cet article le cas « d’indisponibilité temporaire » du président pour pouvoir autoriser la ténue de ce Conseil des ministres.

    Sinon, explique un constitutionnaliste gabonais, elle n’avait d’autre choix que de reconnaître la vacance de poste et d’enclencher une transition dirigée par le président du Sénat, qui doit ensuite organiser les élections 60 jours au plus tard.

    Plusieurs membres de la société civile sont très remontés contre la Cour constitutionnelle qui a écrit cette nouvelle disposition de la Constitution. « La Cour constitutionnelle a mis à terre la Constitution et instaure ainsi un Etat anarchique, s’insurge Noël Bertrand Boundzanga, porte-parole de l’ONG Brainforest. Ça a tout l’air d’un coup d’Etat constitutionnel. »

    La Coalition pour la nouvelle République de Jean Ping a aussi promptement réagi en appelant le peuple à un sursaut patriotique et à défendre sa souveraineté. Jean Eyeghe Ndong parle ainsi d’un « acte assimilable à un coup d’Etat » et s’interroge sur les motivations de la Cour constitutionnelle. « Nous dénonçons la direction, je dirais, irresponsable de la vacance du pouvoir qui n’est pas déclarée. Nous nous interrogeons sur les desseins inavoués de la Cour constitutionnelle. »

    Même intransigeance de la part de Jean Christophe Owono Nguéma, sixième vice-président du Sénat représentant l’opposition. « La Cour constitutionnelle n’a pas le droit de modifier la Constitution et de se mettre au-dessus du peuple gabonais. C’est inadmissible, c’est inacceptable. »

    Un « amendement temporaire »

    La présidente de la Cour constitutionnelle s’inscrit en faux contre toutes ses accusations, en expliquant que l’article 83 qui fait de sa cour « un organe régulateur du fonctionnement des institutions », leur donne la prérogative de créer un « amendement temporaire ».

    « La décision que la cour prend pour régler une situation qui n’a pas été prise en compte au moment de l’adoption de la Constitution permet de régler provisoirement une situation, assure Marie-Madeleine Mborantsuo. Et au moment de la révision de la Constitution dans quelques mois ou quelques années, le constituant pourra prendre une décision définitive. » Mais ses arguments peinent à convaincre l’opposition.

    Le porte-parole du gouvernement Guy-Bertrand Mapangou vient de donner aujourd’hui des nouvelles de Bongo, dans un article de Jeune Afrique. Il assure « qu’il se porte de mieux en mieux », avant d’ajouter que « le Premier ministre et son gouvernement se sont immédiatement mis au travail dans cet esprit de la continuité de l’État prévue par la Constitution », en se basant justement sur cette décision contestée du Conseil constitutionnel.

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  • Etat de santé d’Ali Bongo: les Gabonais toujours dans l’attente d’informations

    Etat de santé d’Ali Bongo: les Gabonais toujours dans l’attente d’informations


    Par
    RFI

    Publié le 03-11-2018
    Modifié le 03-11-2018 à 14:00

    Le président du Gabon Ali Bongo se trouve toujours, selon la présidence, à l’hôpital du roi Fayçal, à Riyad, en Arabie Saoudite où il a eu un malaise, mercredi 28 octobre. Depuis dimanche dernier, la présidence n’a plus communiqué. En revanche et en l’absence du chef de l’Etat, le gouvernement a tenu, jeudi 1er novembre, un conseil interministériel présidé par le Premier ministre, Emmanuel Issozé-Ngondet.

    Le Premier ministre, Emmanuel Issozé Ngondet, est tenu informé, en temps réel, de l’évolution de l’état de santé du président Ali Bongo. Interviewé par RFI, Guy Bertrand, porte-parole du gouvernement, rappelle que le président gabonais est toujours à Riyad et qu’il souffre d’une « fatigue sévère ».

    « Les médecins qui l’ont reçu à l’hôpital du roi Fayçal ont bien diagnostiqué une fatigue sévère et, pour l’instant, il lui a été prescrit un repos qui l’éloigne donc des affaires. Pour l’instant, donc, il se repose aux côtés de ses médecins, de sa famille et de quelques collaborateurs qui sont avec lui, en ce moment, à Riyad », a-t-il affirmé.

    Sur certaines informations qui font état d’un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d’un œdème cérébral dont aurait été victime le président Bongo, le porte-parole du gouvernement ne le confirme pas.

    « On ne va pas se substituer au diagnostic des médecins et d’ailleurs, la présidence de la République va continuer à communiquer sur l’évolution de l’état de santé du président, dans les prochains jours », a-t-il annoncé.

    Sur la question de savoir si le Premier ministre, Emmanuel Issozé-Ngondet ,va se rendre à Ryad, comme le Premier ministre l’avait fait à l’époque d’Omar Bongo, Guy Bertrand précise que pour le moment, ce n’est pas prévu.

    « Nous ne sommes pas en 2009 et ce n’est pas à l’ordre du jour. Le Premier ministre doit, en attendant, rester au travail pour que le Gabon fonctionne normalement. Ce que je peux vous dire, aujourd’hui, c’est que la vacance de pouvoir dont on parle tant maintenant, n’est pas à l’ordre du jour. Il serait d’ailleurs indécent d’en parler alors que le président est en train de recouvrer progressivement sa santé », a conclu le porte-parole du gouvernement, Guy Bertrand.

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  • Gabon: le PDG ragaillardi et renouvelé après sa victoire aux législatives

    Gabon: le PDG ragaillardi et renouvelé après sa victoire aux législatives


    Par
    RFI

    Publié le 02-11-2018
    Modifié le 02-11-2018 à 11:45

    A l’issue du second tour des législatives au Gabon, le Parti démocratique gabonais (PDG) d’Ali Bongo obtient une majorité écrasante à l’Assemblée nationale. Sur 143 sièges, l’opposition n’en a obtenu que 17. Or, il y a deux ans, en 2016, le parti au pouvoir était sorti particulièrement affaibli de la présidentielle très contestée. L’ancien président de l’Assemblée, Guy Nzouba Ndama, et l’ancien ministre Alexandre Barro Chambrier, avaient claqué la porte du parti et rejoint Jean Ping. Aujourd’hui, c’est un tout autre tableau qui se dessine.

    A l’issue de ces élections législatives, l’opposition dénonce certes des fraudes, la participation est particulièrement faible, mais pour Ike Ngouoni, le porte-parole de la présidence, l’essentiel est ailleurs : ces élections ont le mérite de clore définitivement le débat sur la légitimité du chef de l’Etat.

    Le très influent Maixent Accrombessi, victime d’un accident vasculaire cérébral, est à présent remplacé par Brice Lacruche Alihanga au poste de directeur de cabinet. Ali Bongo a changé la direction de son parti. Et lors des investitures pour les législatives, il a écarté certains barons qui étaient en place depuis Omar Bongo et qui ne lui étaient peut-être pas dévoués à 100%, pour placer plus de jeunes et des femmes. « Il faut plutôt voir ces changements comme un renouvellement nécessaire », explique-t-on à la présidence.

    La nouvelle Assemblée nationale sera en tout cas fidèle au chef de l’Etat. Le PDG fait également une razzia sur les municipalités, lui assurant un Sénat aux ordres en 2020.

    « Face à lui, l’opposition est affaiblie et divisée », se réjouit une source du pouvoir. « Ali Bongo a certes réussi son coup mais c’est en apparence seulement. » « L’abstention très forte montre bien qu’il n’y a aucune adhésion », estime pour sa part l’opposant Guy Nzouba Ndama, qui se déclare plutôt préoccupé en ce moment par l’état de santé du chef de l’Etat.

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  • Gabon: à Libreville, inquiétudes et spéculations sur la santé du président Bongo

    Gabon: à Libreville, inquiétudes et spéculations sur la santé du président Bongo


    Par
    RFI

    Publié le 01-11-2018
    Modifié le 01-11-2018 à 15:02

    Alors que l’agence de presse Reuters a parlé lundi d’un AVC, la Lettre du continent affirme que le chef de l’Etat gabonais aurait été victime d’un œdème cérébral. A la présidence, on refuse de faire le moindre commentaire et l’on s’en tient à la version officielle : le président Ali Bongo se repose à l’hôpital du roi Faycal à Riyad en Arabie saoudite depuis mercredi. Cela fait une semaine que la Toile s’enflamme et à Libreville, la santé du chef de l’Etat occupe une bonne place dans les conversations. Reportage dans le quartier populaire PK6.

    Pas de psychose particulière à Libreville, aucun déploiement militaire. Mais plus les jours passent, plus l’incertitude grandit, confient les habitants interrogés : « Ça me préoccupe vraiment parce que c’est le président et puis parce qu’on craint le pire dans le cas où il arrive malheur. Le pays bougerait », dit cette jeune femme. « Il est possible qu’il soit mort, il est aussi possible qu’il revienne en état d’invalidité pour ne plus gérer le pouvoir » ; « en fait, c’est ça qui fait l’incertitude qu’on vit tous au Gabon, la rumeur qui persiste. »

    Au quartier PK6, on veut bien s’exprimer mais à condition que ce soit sous couvert d’anonymat. « On est en train de nous mentir sur quelque chose. Mais pourquoi on ne nous montre pas les images de son état ? S’il est assis dans une salle d’hospitalisation ou s’il est couché… Il faut qu’on nous le montre ! Mais on dit que le cas n’est pas alarmant. Mais c’est alarmant, pour nous c’est alarmant ! C’est notre président ! » ; « nous avons eu ça en 2009, lorsque le président de la République Omar Bongo est parti. Il avait eu un malaise. Donc mon souhait c’est qu’il revienne en forme, sur ses deux pieds » ; « c’est un président mal élu que beaucoup de gens n’aiment pas au Gabon. J’ai des amis qui prient pour qu’il ne revienne même plus jamais. C’est triste, mais pour certains ici c’est la solution » ; « le chef de l’Etat est un être humain. Moi, je ne peux pas spéculer ou bien encourager, anticiper la mort d’un individu. Ça, je ne suis pas d’accord. »

    Dans la presse, très peu d’articles sur le sujet. « Tout le monde cherche un angle d’accroche. On préfère se montrer prudent car nos journaux pourraient être rapidement fermés », confie un directeur de publication.

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  • Gabon: Barro Chambrier reconnaît sa défaite et dénonce «l’achat des consciences»

    Gabon: Barro Chambrier reconnaît sa défaite et dénonce «l’achat des consciences»


    Par
    RFI

    Publié le 31-10-2018
    Modifié le 31-10-2018 à 12:17

    Alexandre Barro Chambrier, un des leaders de l’opposition, donnait une conférence de presse mardi 30 octobre au lendemain de l’annonce des résultats provisoires du second tour des législatives qui confirment la victoire écrasante du Parti démocratique gabonais (PDG) d’Ali Bongo. Alexandre Barro Chambrier a dénoncé des fraudes massives, mais il n’engagera aucun recours contre la victoire au « forceps » de son adversaire du PDG. Le chef de file du parti Rassemblement héritage et modernité (RHM) demande par ailleurs au gouvernement de communiquer sur l’état de santé du président.

    « Le grand perdant de ces élections, c’est la démocratie », a déclaré mardi 30 octobre Alexandre Barro Chambrier. Le chef de file du RHM a donné une conférence de presse au lendemain de l’annonce des résultats provisoires qui confirme la victoire écrasante du PDG, le parti du président Ali Bongo.

    Alexandre Barro Chambrier a reconnu sa défaite dans le 4eme arrondissement de Libreville. Il n’engagera aucun recours pour ne pas perdre de temps. « J’étais l’un des principaux hommes à abattre. Donc tout a été mis en œuvre. C’est un esprit de règlement de comptes. Des moyens considérables ont été mis. Il y a eu une fraude généralisée, sur toute la circonscription, l’achat des consciences, des tentatives de racheter des scrutateurs avec la présence militaire massive. Cela s’est joué à 166 voix. Ils ont atteint leur objectif. Bien leur en fasse », a-t-il dit, amer.

    Cette défaite remet-elle en question son avenir politique ? « Je ne le pense pas, répond-t-il, mais nous verrons. C’est le plan du pouvoir de faire croire qu’une élection biaisée, ça veut dire que c’est la fin de quelqu’un. Mais ce n’est pas cette mascarade d’élection qui coupera notre élan de faire en sorte que nous poursuivions notre combat pour l’alternance politique au Gabon. »

    « C’est toujours la même chanson », rétorque de son côté un responsable du PDG. « Lorsque le pouvoir gagne, c’est toujours à cause de la fraude. Avait-il utilisé la fraude quand il a eu ses deux précédents mandats ? », ironise ce responsable du parti au pouvoir.

    Ali Bongo toujours à Riyad

    Lors de son point presse, Alexandre Barro Chambrier s’est par ailleurs interrogé sur la santé du président Ali Bongo. Selon la présidence gabonaise, le chef de l’Etat est toujours hospitalisé en Arabie saoudite à la suite d’un malaise dû à « une fatigue sévère ».

    « Ali Bongo, comme tout homme, a le droit d’être malade. C’est un malaise ou une maladie. Il est clair que si on n’a pas vu quelqu’un pendant une semaine, c’est qu’il y a quelque chose. Donc il a le droit d’être malade et les Gabonais ont le droit de savoir de quoi il souffre, comment les choses se déroulent. Ils ont le droit d’être informés, d’autant plus qu’il est à l’extérieur. C’est un problème de responsabilité du gouvernement qui malheureusement nous a habitués à fuir ses responsabilités. D’où toutes ces rumeurs parfois désolantes, mais effectivement le gouvernement gagnerait à être transparent, à être sincère et à donner des informations sur les possibilités qu’il puisse revenir au pays remplir les responsabilités qu’il est en devoir d’assumer. »

    Selon le porte-parole du gouvernement, Guy Bertrand Mapangou, « les informations données par la présidence sont fiables d’autant que le médecin personnel du chef de l’Etat se trouve à ses côtés, à l’hôpital du roi Fayçal ». « Le reste n’est que polémique stérile et politicienne », déclare le porte-parole du gouvernement.

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  • Gabon: pourquoi l’opposition n’a pas réussi à mobiliser

    Gabon: pourquoi l’opposition n’a pas réussi à mobiliser


    Par
    RFI

    Publié le 29-10-2018
    Modifié le 29-10-2018 à 11:46

    Le Gabon est dans l’attente des résultats du second tour des législatives. Mais dans tous les cas, le PDG au pouvoir est déjà assuré d’avoir la majorité absolue à l’Assemblée nationale. L’opposition est quasiment battue partout.

    L’un des phénomènes marquants de ces élections au Gabon est le faible taux de participation même si le Centre national des élections n’a pas encore publié de chiffre global. Et il n’y a pas eu de sursaut lors du second tour. L’opposition n’a pas réussi à remobiliser son électorat potentiel.

    Dans le quartier populaire de Nkembo par exemple, beaucoup d’électeurs ont fait le choix de ne pas aller voter. Au premier tour, comme au second. Par dépit, par résignation. « Que je vote ou pas, c’est toujours pareil. En 2016, nous sommes beaucoup à avoir voté pour Jean Ping. On sait ce qui s’est passé à la fin. Donc ça ne va pas changer. Personnellement, je ne vais plus jamais voter », explique dépité, Warren, quand Sophie, elle, s’insurge : « On veut des écoles, on veut des routes. Vous voyez ici, depuis, six mois il n’y a pas d’eau, mais nous payons les factures de la SEEG [la Société d’Energie et d’Eau du Gabon, ndlr]. Il y a un problème. Après on va nous dire que ce pays est un pays démocratique, mais non, ça va pas. C’est pas possible. On va voter sur quelle base ? On va voter quel député ? Ils vont aller défendre quoi ? Qu’on laisse le pays au PDG, ils font de ce pays ce qu’ils veulent ! »

    Nous avons échoué à convaincre nos électeurs de se déplacer pour voter, reconnaît Anges Kevin Nzigou qui fait partie des nouveaux visages de l’opposition.

    A 32 ans, il a été battu dès le 1er tour  dans le 6e arrondissement. « Je pense que les Gabonais ont rejeté la classe politique, opposition et majorité de manière confondue, les gens pensent que c’est un jeu auquel participent les hommes politiques et pour lesquels ils sont les premiers perdants. Donc ils préfèrent laisser les politiciens entre eux, faire le jeu qu’ils ont l’habitude de faire. Donc c’est une véritable claque et ça c’est le message de ces élections », analyse-t-il.

    Dans la capitale la participation oscille entre 14,59 et 34,47 %.

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  • Le président du Gabon Ali Bongo hospitalisé à Riyad après un “malaise”

    Le président du Gabon Ali Bongo hospitalisé à Riyad après un “malaise”

    Afrique

    Le président du Gabon Ali Bongo hospitalisé à Riyad après un “malaise”

    Texte par FRANCE 24

    Dernière modification : 29/10/2018

    Ali Bongo, le président du Gabon, a été hospitalisé mercredi à Riyad à la suite d’un “malaise”, a annoncé la présidence dimanche soir. Il se trouvait en Arabie saoudite pour assister au forum économique Future Investment Initiative.

    Le président du Gabon, Ali Bongo Ondimba, est hospitalisé depuis mercredi dans un hôpital de Riyad, en Arabie saoudite, après un “malaise”, a indiqué dimanche 28 octobre la présidence du Gabon. “Son Excellence le président de la République Ali Bongo Ondimba a eu un malaise lors de son séjour à Riyad”, a déclaré dimanche soir le porte-parole de la présidence, Ike Ngouoni Aïla Oyouomi, dans une déclaration transmise à l’AFP.

    “Les médecins qui l’ont consulté ont alors diagnostiqué une fatigure sévère due à une très forte activité ces derniers mois”, a encore indiqué Ike Ngouoni Aïla Oyouomi, précisant que les médecins lui ont prescrit un “repos médical”.

    “Vigilance” contre les “fake news”

    Ali Bongo, 59 ans, était en Arabie saoudite pour assister au forum économique Future Investment Initiative (FII). Mercredi soir, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane lui a rendu visite à l’hôpital King Faisal, a souligné jeudi l’agence de presse officielle saoudienne (SPA).

    Selon la présidence gabonaise dimanche, Ali Bongo Ondimba “va mieux et se repose en ce moment-même à l’hôpital” à Riyad. Son porte-parole a appelé à la “vigilance” contre les “fake news”, après qu’une télévision camerounaise eut annoncé samedi en direct qu’Ali Bongo était décédé, sans apporter aucun élément de preuve.

    Ali Bongo Ondimba est au pouvoir depuis 2009 au Gabon, après avoir succédé à son père, qui dirigeait le pays depuis 1967.

    Avec AFP

    Première publication : 29/10/2018

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  • Gabon: des sites internet gouvernementaux bloqués par la mouvance Anonymous

    Gabon: des sites internet gouvernementaux bloqués par la mouvance Anonymous

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  • Second tour des législatives au Gabon: l’opposition aux aguets

    Second tour des législatives au Gabon: l’opposition aux aguets


    Par
    RFI

    Publié le 28-10-2018
    Modifié le 28-10-2018 à 02:31

    Les Gabonais étaient appelés aux urnes ce 27 octobre pour le second tour des élections législatives : 59 sièges de députés étaient à pourvoir. L’Assemblée nationale gabonaise en compte 143. Quelle que soit l’issue de ce deuxième tour, le Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir est assuré de conserver le contrôle de l’Assemblée et même du gouvernement. Reste à savoir quelle sera la représentation de l’opposition.

    Les Gabonais ont voté dans le calme un peu partout dans le pays ce 27 octobre pour les législatives, selon plusieurs sources. Dans la capitale Libreville, l’incident majeur à signaler est l’interpellation du vice-président du Centre gabonais des élections dans le deuxième arrondissement de la ville.

    L’opposant Marcel Djabio a été interpellé alors que des militants de l’opposition lui faisaient constater une prétendue distribution d’argent par des proches du pouvoir. Il a été libéré à 22h. Plusieurs bureaux de vote étaient sécurisés par des militaires à la place des policiers, a-t-on constaté à Libreville.

    Représentation de l’opposition

    Le principal enjeu de ce second tour est de connaître le nombre de députés que l’opposition enverra à l’Assemblée nationale. Le Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir, qui avait raflé la majorité absolue dès le premier tour, a mis en marche son rouleau compresseur pour écraser les opposants restés en course. Quatre opposants seulement ont été élus dès le premier tour contre 80 pour la majorité.

    Plusieurs candidats de l’opposition ont signalé des irrégularités. Il faudra cependant dépenser 250 000 francs CFA (380 euros) pour déposer un recours à la Cour constitutionnelle, selon une nouvelle loi.

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