Tag: Nouvelles internationales

  • Belgique-Barack et Michelle Obama en singes dans un journal belge : un dérapage raciste intolérable

    Belgique-Barack et Michelle Obama en singes dans un journal belge : un dérapage raciste intolérable

    obama- michelle-LE PLUS.- Le week-end dernier, un quotidien belge, “De Morgen”, a publié dans ses pages satiriques un photomontage montrant le couple Obama sous les traits de singes. Le journal a depuis présenté ses excuses. Pour Giuseppe Di Bella, ce dérapage raciste, qui n’a absolument rien de drôle, doit être fermement condamné.

    Le quotidien belge néerlandophone, de sensibilité de gauche, “De Morgen” (“Le Matin”) est au centre d’une polémique internationale qui prend de plus en plus d’ampleur, en particulier sur les réseaux sociaux.

    Dans son édition de samedi dernier, le journal a publié un photomontage de Barack et Michelle Obama représentés sous les traits de singes, dans une rubrique satirique intitulée “The Obama Herald” où le président américain faisait part de son mépris qu’il a pour son homologue russe.

    Poussant la plaisanterie beaucoup trop loin, le journal déclare que c’est Vladimir Poutine qui a envoyé cette photo en réponse au lieu d’un texte “parce qu’il n’a pas beaucoup de temps”. Quant à la première photo, qui suscite beaucoup moins de critiques, la légende se passe de tout commentaire : “Le premier président noir des USA commence par vendre de l’herbe”.

    Ce n’est pas juste une image de mauvais goût

    Lundi, devant le tollé général provoqué par son sens de l’humour particulièrement douteux, “De Morgen”, qui n’est pourtant pas connu pour ses opinions racistes, a fait amende honorable :

    “Nous avons eu tort de penser que généralement le racisme n’est plus toléré et qu’on peut donc en rire sans risque […] Toujours animés par la même ferme conviction, nous continuons à nous ranger du côté de tous ceux qui luttent contre toute forme de racisme […] N’hésitez pas à nous faire signe chaque fois que nous quittons le droit chemin.”

    Ses excuses semblent sincères, mais le mal est fait. Il paraît difficile, dans de telles conditions, d’éteindre l’incendie qu’il a allumé.

    Je suis français et belge. Je sais très bien que le quotidien “De Morgen” jouit d’une excellente réputation outre-Quiévrain, chez mes compatriotes flamands.

    En publiant cette photo, qu’il reconnaît être de “mauvais goût”, il est coupable, malgré tout, d’un dérapage raciste inacceptable qui n’a pas sa place dans ses colonnes. Même sous couvert d’humour. Ce n’est pas du “mauvais goût” mais une faute, et de taille !

    Taubira et maintenant Obama, je suis indigné

    Ce scandale, qui agite beaucoup les Américains, arrive au moment où le président Barack Obama effectue une visite officielle en Belgique, mardi et mercredi, sous haute protection. Il y prononcera le seul discours de sa tournée européenne. C’est une très mauvaise image de la Belgique que donne le quotidien “De Morgen”.

     

     

    Je me suis indigné lorsque la Garde des Sceaux Christiane Taubira a été insultée de “guenon” par des enfants de militants de la Manif pour tous, en marge d’une visite à Angers. Je me suis indigné lorsque l’hebdomadaire d’extrême droite “Minute” a fait sa une en titrant : “Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane.”

    L’époque coloniale “Banania” est révolue

    Je n’ai pas l’indignation à géométrie variable et je ne peux que condamner fermement ce photomontage honteux publié dans “De Morgen”, dont la ligne éditoriale est proche de mes affinités politiques. Ce sont des dérapages que l’on ne peut pas tolérer.

    Le racisme n’a pas sa place dans notre société. Il doit être combattu, comme toute autre forme de discrimination, avec la plus grande fermeté.

    L’humour a des limites qu’il ne faut pas dépasser. Représenter des Noirs sous les traits d’un singe, c’est choquant et cela n’a vraiment rien de drôle. Sauf pour des beaufs racistes acculturés.

    C’est particulièrement blessant pour l’ensemble des personnes d’origine africaine. L’époque coloniale “Banania” est révolue et c’est tant mieux. Il est temps de respecter la dignité que l’on se doit d’accorder à chaque être humain. Y compris pour le Président et la Première dame des États-Unis.

    L’OBS- Le Plus du 3-25-14

     

  • Attentats à Bruxelles – Les frères El Bakraoui formellement identifiés comme kamikazes

    Attentats à Bruxelles – Les frères El Bakraoui formellement identifiés comme kamikazes

    terroristes-Les frères El Bakraoui ont formellement été identifiés comme kamikazes ayant participé aux attentats à Bruxelles mardi, a indiqué mercredi le parquet fédéral. Ibrahim El Bakraoui, né en 1986, faisait partie du commando à Brussels Airport, tandis que Khalid El Bakraoui est l’auteur de l’attentat dans le métro Maelbeek.

    Le deuxième kamikaze de Brussels Airport n’a pas encore été identifié, tandis qu’un troisième, qui apparaît sur la photo diffusée avec un chapeau, est en fuite, a indiqué le procureur fédéral Frédéric Van Leeuw. Son identité est encore inconnue. Son sac contenait la charge explosive la plus importante, mais a elle été désactivée par le service de déminage de l’armée dans l’aéroport. Aucune arme de guerre ou de poing n’a été trouvée dans l’aéroport. Le chauffeur de taxi qui les amenés à l’aéroport a indiqué à la police les avoir pris rue Max Roos, à Schaerbeek. Une perquisition à l’adresse indiquée a permis de retrouver 15 kilos d’explosif TATP, des produits chimiques, des détonateurs et une valise remplie de clous et de vis. Deux perquisitions dans la même rue se sont révélées négatives. Une quatrième, toujours à Schaerbeek, a permis l’interpellation d’un suspect actuellement entendu. Une cinquième a mené à une interpellation à Haren, mais la personne a été relâchée. Khalid El Bakraoui, né en 1989, a lui été identifié comme l’auteur de l’attentat dans le métro Maelbeek. Les frères El Bakraoui avaient “de lourds antécédents judiciaires non liés au terrorisme”, selon le procureur fédéral.

    (Belga)

  • Brésil: gardé à vue, Lula réagit, Rousseff dénonce une interpellation «inutile»

    Brésil: gardé à vue, Lula réagit, Rousseff dénonce une interpellation «inutile»

    LULA-C’est un dossier tentaculaire et qui pourrait bien coûter leur carrière à un nombre considérable de politiciens brésiliens. L’opération « lavage rapide » lancée en 2014 par la police brésilienne n’est qu’un volet du scandale qui frappe la compagnie nationale de pétrole Petrobras. Mais il s’agit là du volet le plus complexe et qui touche certainement les personnes les plus connues de la scène politique. Luis Inacio Lula da Silva, plus connu sous le nom de Lula, ancien chef d’Etat brésilien, en fait partie. Il a été emmené ce vendredi matin pour être entendu par les enquêteurs pendant que son domicile faisait l’objet d’une perquisition. Alors qu’est-ce que l’affaire Petrobras et cette enquête « lavage rapide » ?

    L’ancien président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a affirmé ne pas craindre la justice et clamé son indignation vendredi après avoir été interrogé dans les locaux de la police fédérale situés à l’aéroport de Congonhas, à São Paulo. Une interpellation qui intervient dans le cadre de l’enquête sur le scandale de corruption Petrobras qui bouleverse la classe politique brésilienne depuis plusieurs mois.

    « Je me suis senti prisonnier ce matin », a déclaré Lula au siège du Parti des travailleurs (PT) devant des dizaines de militants agitant les drapeaux rouges du parti et des banderoles de soutien à Lula. « S’ils voulaient m’entendre, il fallait juste me convoquer et j’y allais. Je ne dois rien [à personne] et je ne crains pas » la justice, a souligné l’ancien chef d’Etat, reprenant le proverbe brésilien : « qui ne doit rien, ne craint rien ». L’ancienne icône de gauche qui a gouverné le Brésil de 2003 à 2010 a qualifié la perquisition à son domicile, puis son transfert au siège de la police, de « show médiatique plutôt qu’une enquête sérieuse ».

    Les procureurs « ont rallumé la flamme qui m’habite ! La lutte continue ! », a lancé Lula comme un défi, faisant part à plusieurs reprises de son « indignation » face à ceux qui « veulent criminaliser le Parti des travailleurs, criminaliser Lula » par crainte que le PT reste au pouvoir. « Je ne sais pas si je serai candidat en 2018 » à la présidence, a-t-il lancé, promettant toutefois de parcourir le pays en défense du parti qu’il a fondé en 1980, vers la fin de la dictature.

    Soutiens politiques

    Le président vénézuélien, le socialiste Nicolas Maduro, lui a apporté son soutien via Twitter: « De cette attaque misérable tu sortiras plus fort, le Venezuela t’embrasse ». L’actuelle présidente, Dilma Rousseff, s’est indignée de l’interpellation « inutile » de son mentor, dans un communiqué. « Je fais part de mon désaccord complet sur le fait qu’un ex-président de la République, qui a comparu volontairement à plusieurs reprises pour être interrogé par les autorités compétentes, soit maintenant soumis à une interpellation inutile en vue d’un interrogatoire », a déclaré Mme Rousseff dans un communiqué.

    Le « respect de la Constitution est la seule voie sûre pour le bon exercice des fonctions publiques et le respect des droits individuels », a poursuivi la présidente, ajoutant que son « gouvernement a assuré l’autonomie des organismes responsables des enquêtes sur la corruption, mais [a] toujours exigé le respect de la loi et des droits de tous ceux qui font l’objet d’une enquête ». « Il est nécessaire que les enquêtes se poursuivent pour punir ceux qui doivent être punis, mais dans un cadre républicain et démocratique », a insisté la chef de l’Etat.

    « Faveurs »

    Selon le procureur Carlos Fernando dos Santos Lima de l’Etat du Parana (sud), en charge de l’enquête, l’ex-chef d’Etat a bénéficié de « beaucoup de faveurs » de la part de grandes entreprises du bâtiment accusées de corruption dans le scandale Petrobras. « Les faveurs sont nombreuses et difficiles à quantifier », mais « personne n’est au-dessus de la loi dans ce pays », a martelé devant la presse le procureur, qui n’envisage pas de demander l’incarcération de l’ancien chef d’Etat à l’heure actuelle.

    Aujourd’hui, on analyse les preuves qui montrent que l’ex-président Lula da Silva et sa famille ont reçu des avantages pour, éventuellement, attribuer des faveurs en retour. Tout ça c’est encore une hypothèse dans notre enquête, il y a des preuves de paiements et d’avantages – sans qu’on puisse expliquer pourquoi. 60% des donations de l’Institut Lula ont été payés par les cinq groupes de BTP auxquels la justice s’intéresse dans opération nommée Lava Jato, sur le scandale à Petrobras ; 47% des conférences de Lula ont aussi été rémunérées par ces cinq groupes. Nous avons vu que les groupes OAS et Odebrecht ont obtenu des faveurs pour un site rural, dont on recherche le propriétaire mais on pense qu’il s’agit de Monsieur Luiz Igncio (Lula). Il est aussi certain que ces groupes ont réalisé des travaux dans son appartement triplex à Guarujá (à la côte de São Paulo). Nous enquêtons aussi sur la possibilité que d’autres membres de la famille Lula aient reçu de l’argent. C’est le moment d’être républicains. Personne au Brésil n’est au-dessus des lois.
     Lula a subi « une violence juridique », a dénoncé son avocat, Cristiano Zanin Martins. « Rien ne justifie cette urgence. C’est un affront à la Constitution », a-t-il souligné. L’ex-président a été interrogé sur un appartement triplex, une maison de campagne et des conférences « qui sont des sujets connus pour lesquels il a déjà été interrogé et a déjà répondu », a poursuivi l’avocat, soulignant que Lula « avait le droit de se taire mais a quand même répondu ».

    Un scandale sans fin

    Avec des acteurs du monde économique et des membres de formation politique faisant partie de la coalition au pouvoir, le scandale Petrobras a tous les ingrédients pour faire vaciller un gouvernement. Et c’est bien ce qui pourrait arriver à Dilma Rousseff, qui fait l’objet d’accusations d’une partie de la classe politique.

    L’opération « Lava Jato » – « lavage rapide » – lancée il y a de deux ans enquête sur un vaste système de corruption monté au sein de la compagnie pétrolière. Une affaire de pot-de-vin, de favoritisme qui aurait coûté à Petrobras selon les enquêteurs au moins deux milliards de dollars.

    Petrobras et les géants du bâtiment et des travaux publics au Brésil auraient formé un cartel leur permettant de se partager un marché très lucratif tout en procédant à des surfacturations. En contrepartie de ces faveurs, la coalition gouvernementale de centre-gauche aurait touché des pots-de-vin qui auraient à leur tour servi soit à financer des campagnes électorales soit à enrichir des politiciens.

    Des PDG, des hommes politiques, des intermédiaires et de nombreux hauts responsables du secteur privé et public sont déjà en prison dans le cadre de cette affaire. Et désormais c’est l’ancien président Lula qui est visé. Lula, mais également sa femme et son fils dont les noms revenaient régulièrement dans la presse ces derniers mois.

    RFI

  • Le républicain Ben Carson se met en retrait de la course à la Maison Blanche

    Le républicain Ben Carson se met en retrait de la course à la Maison Blanche

    ben carson6-Le neurochirurgien à la retraite a annoncé mercredi qu’il ne voyait pas d’avenir à sa candidature aux primaires républicaines pour la Maison Blanche.

    Ben Carson a aussi annoncé qu’il ne participerait pas au prochain débat télévisé.

    “J’ai décidé de ne pas participer au débat présidentiel républicain sur Fox News demain soir”, a déclaré Ben Carson dans un communiqué. “Je ne vois pas de chemin politique pour continuer, après les résultats des primaires d’hier soir”, a-t-il ajouté, déclarant implicitement qu’il jetait l’éponge après dix mois de campagne.

    Avec AFP

  • Belgique:Un fonctionnaire wallon qui a détourné au moins un million d’euros a eu tout le temps… de s’enfuir!

    Belgique:Un fonctionnaire wallon qui a détourné au moins un million d’euros a eu tout le temps… de s’enfuir!

    comptable-Le comptable de l’Office wallon des déchets (OWD) soupçonné d’avoir détourné au moins un million d’euros fait l’objet d’un mandat d’arrêt européen. L’homme de 64 ans, qui devait bientôt prendre sa retraite, est en fuite depuis lundi. Son épouse a quant à elle été placée sous mandat d’arrêt pour blanchiment.

    Le fonctionnaire de l’Office wallon des déchets (OWD) ayant reconnu lundi avoir détourné au moins un million d’euros est actuellement en fuite. Des investigations ont par ailleurs révélé que “le préjudice subi serait beaucoup plus important qu’annoncé et que des faits litigieux seraient également constatés avant 2013“, a indiqué vendredi le ministre wallon de l’Environnement Carlo Di Antonio. A bonne source, on précisait que le préjudice pourrait être de l’ordre de deux millions d’euros.

    Suspendu par sa direction lundi, la police n’a été avertie des faits que mardi, lui laissant le temps de prendre la poudre d’escampette.

    Les supérieurs du fonctionnaire indélicat ont tenté de prévenir le procureur du roi de Namur lundi, mais il était injoignable. Le comptable a dès lors pu quitter les locaux de l’administration libre dans l’après-midi et a depuis lors disparu dans la nature. La plainte a été déposée auprès de la police mardi matin et le dossier mis à l’instruction mardi soir, confirme le procureur Vincent Macq. Le signalement du fugitif a été diffusé auprès des polices belges et européennes. Son épouse a elle été placée sous mandat d’arrêt pour blanchiment.
    De nouvelles perquisitions vont être effectuées

    “On n’a pas de pistes précises actuellement”, indique le procureur du Roi de Namur, Vincent Macq. Plusieurs devoirs d’enquête sont réalisés pour le localiser. “Des choses ont été faites et doivent encore être effectuées en matière de téléphonie”, explique le procureur.

    Les enquêteurs vérifieront également si des comptes bancaires ont été réactivés. Ils effectueront de nouvelles perquisitions.

    Alors que des supérieurs du fonctionnaire indélicat ont indiqué dans la presse qu’ils avaient tenté de prévenir le procureur du roi de Namur qui était injoignable lundi, Vincent Macq rétorque qu’en cas d’indisponibilité, un substitut du procureur est toujours de garde et joignable chaque jour. La police aurait également pu être contactée, ajoute le procureur du roi.

  • La NBA prospère comme jamais, les Knicks valent 3 milliards de dollars

    La NBA prospère comme jamais, les Knicks valent 3 milliards de dollars

    Carmelo Anthony-La NBA, le prestigieux Championnat nord-américain de basket-ball, connaît grâce à l’explosion des droits TV et partenariats une prospérité sans précédent, a calculé le magazine Forbes qui valorise ainsi les New York Knicks à trois milliards de dollars (2,75 MDS d’euros).

    Selon l’étude du magazine économique américain publié sur son site internet mercredi, les 30 équipes de NBA ont généré lors de la saison 2014-15 des recettes globales de 5,2 milliards de dollars et un bénéfice opérationnel de 900 millions de dollars, chiffres inédits dans l’histoire du championnat.

    Toutes les équipes ont enregistré un bénéfice opérationnel, à l’exception des Brooklyn Nets, l’équipe du milliardaire russe Mikhail Prokhorov.

    Dans le classement des valorisations des franchises NBA, Forbes a placé les Knicks en première position (3 MDS USD) un gain de 20% sur un an, devant les Los Angeles Lakers (2,7 MDS USD) malgré des résultats sportifs catastrophiques, les Chicago Bulls (2,3 MDS USD), les Boston Celtics (2,1 MDS USD) et les Los Angeles Clippers (2 MDS USD).

    La valorisation moyenne d’une franchise NBA est de 1,25 milliard de dollars, soit une progression de 13% sur un an.

    Selon Forbes, les Knicks ne sont toutefois pas l’équipe la mieux valorisée du sport professionnel américain, distinction qui revient à l’équipe de football américain des Dallas Cowboys (4 MDS USD), devant les New England Patriots, vainqueurs du dernier Super Bowl (3,2 MDS USD) et l’équipe de baseball des New York Yankees (3,2 MDS USD).

    Cette prospérité alimentée par l’explosion des droits TV et signalée par l’accord-record d’octobre 2014 entre la NBA et ESPN/ABC (24 MDS sur neuf ans), annonce toutefois des négociations difficiles entre les propriétaires d’équipes et les joueurs lorsque la convention collective qui régit depuis 2011 notamment les salaires va être dénoncée dans les mois à venir.

    Le plafond salarial par équipe fixé à 70 millions de dollars pourrait bondir jusqu’à 108 millions de dollars.

    Les dix joueurs les mieux payés du Championnat vont toucher cette saison un total de 391 millions de dollars en salaires et partenariats, dont 71 M pour le seul LeBron James, la star des Cleveland Cavaliers.

    “King James”, dont le revenu annuel s’élève à 64.6 M USD, devance Kevin Durant (Oklahoma City, 56,2 M USD) et Kobe Bryant (Lakers, 50 M USD) qui va prendre sa retraite en fin de saison.

    Avec AFP

  • Une pétition contre Donald Trump

    Une pétition contre Donald Trump

    Donald Trump-Plusieurs personnalités de premier plan ont signé une pétition mise en ligne mercredi et destinée à dénoncer les dérives verbales du candidat à la primaire républicaine américaine Donald Trump.

    “Stop Hate Dump Trump” (“halte à la haine, débarassons-nous de Trump”) a été lancé par Eve Ensler, auteur de la pièce “Les Monologues du Vagin”, la productrice de documentaires Jodie Evans et l’universitaire Kimberlé Crenshaw, a indiqué Jodie Evans.

    Les acteurs Harry Belafonte et Danny Glover, le réalisateur Jonathan Demme, ainsi que les actrices Kerry Washington, Jane Fonda et Rosanna Arquette faisaient partie des signataires, selon le collectif.

    “Nous offrons aux Américains la possibilité d’être entendus et d’agir, alors que la campagne de Trump gagne du terrain tout en usant toujours plus de son discours de haine et de division”, explique Eve Ensler, citée sur le site stophatedumptrump.com.

    “Nous voulons aussi prévenir les politiques et les médias qu’ils ont une responsabilité dans la normalisation du discours extrémiste de Trump en le traitant comme du divertissement”, ajoute-t-elle.

    En fin d’après-midi, environ 900 personnes avaient signé la pétition.

    Une pétition visant à pousser de grandes entreprises à mettre un terme à leurs relations d’affaires avec Donald Trump a déjà recueilli 85.513 signatures.

    “Il a ouvert la voie” aux dérapages verbaux, dont se sont ensuite rendus coupables d’autres candidats, selon Jodie Evans.

    Depuis le début de sa campagne, Donald Trump a notamment sous-entendu que la population immigrée venue du Mexique était composée en grande partie de “criminels” et de “violeurs”.

    Il a également indiqué que s’il était élu, il empêcherait les ressortissants étrangers de confession musulmane de se rendre aux Etats-Unis, mesure censée aider à combattre la menace terroriste.

    (bbc)

  • Etats-Unis :Michael Bloomberg, l’ex-maire de New York envisage de se présenter à la présidentielle

    Etats-Unis :Michael Bloomberg, l’ex-maire de New York envisage de se présenter à la présidentielle

    Michael Bloomberg-Michael Bloomberg, 73 ans, envisage de devenir candidat indépendant dans la course à la Maison Blanche, selon le New York Times.

    L’ancien maire de New York Michael Bloomberg envisage de se lancer de façon indépendante dans la course à la Maison Blanche, a rapporté samedi le New York Times.

    L’homme d’affaires de 73 ans, à la tête d’un empire d’information financière, serait prêt à débloquer de ses fonds propres un milliard de dollars pour financer sa campagne, a précisé le quotidien.

    M. Bloomberg, qui a été très longtemps démocrate avant de se présenter à la mairie de New York en 2001 sous l’étiquette républicaine, prévoit que Donald Trump et Bernie Sanders vont respectivement remporter les investitures républicaine et démocrate, selon des sources interrogées par le journal.

    Il s’est fixé début mars comme limite pour confirmer sa décision.

    Michael Bloomberg est crédité d’avoir restauré le climat des affaires à New York après les attentats du 11 septembre 2001.

    Il a aussi lancé des grands chantiers de rénovation de certains quartiers de la mégalopole, notamment les berges de Manhattan.

    Il est enfin connu pour ses politiques mettant l’accent sur la santé publique, en luttant contre le tabac, les boissons sucrées ou les armes à feu.

    AFP