Tag: TOGO

  • Edem Kodjo est mort a Paris

    Edem Kodjo est mort a Paris

    -Edem Kodjo, l’ancien Premier ministre et ex-secrétaire général de l’OUA est mort ce samedi matin,  a Paris à l’âge de 81 ans.

    Il est décédé dans la matinée du samedi 11 avril à l’Hôpital américain de Neuilly, en région parisienne, où il était hospitalisé depuis neuf mois à la suite d’un accident vasculaire-cérébral. L’information a été confirmée à Jeune Afrique par son épouse.

    Secrétaire général de l’Organisation de l’unité africaine (OUA) de 1978 à 1983, Edem Kodjo avait aussi été le Premier ministre du Togo à deux reprises : sous la présidence de Gnassingbè Eyadéma d’abord, d’avril 1994 à août 1996, puis sous celle de son fils, Faure Essozimna Gnassingbé, de juin 2005 à septembre 2006.

    Mission impossible

    En 2009, il avait publiquement annoncé qu’il se retirait de la scène politique togolaise. Il avait repris du service quelques années plus tard, en janvier 2016, en tant que facilitateur du dialogue politique en RD Congo une mission difficile, « impossible » disait-il, qui lui avait été confiée par la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, alors présidente de la Commission de l’Union africaine (UA).

    Après dix mois d’une facilitation chahutée, qui lui avait valu d’être contesté par l’opposition congolaise, il avait fini par jeter l’éponge.

     

  • Election-Togo: la Céni annonce la victoire de Faure Gnassingbé

    Election-Togo: la Céni annonce la victoire de Faure Gnassingbé

    -Faure Gnassingbé a été reconduit pour un quatrième mandat à la tête du Togo, selon les résultats officiels provisoires proclamés dans la nuit de dimanche à lundi 24 février par la Commission électorale nationale indépendante (Céni).
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    « Au vu de tous les résultats centralisés sur la base des procès-verbaux obtenus, le candidat du parti Union pour la République, Unir, M. Gnassingbé Essozimna Faure est proclamé provisoirement élu président de la République togolaise », a annoncé Tchambakou Ayassor, le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), après avoir décliné les résultats des 46 commissions électorale locales.

    C’est la première fois que la Commission électorale nationale indépendante est aussi réactive en donnant les résultats d’une élection présidentielle en 24h: écoutez le reportage de notre correspondant à la soirée électorale à la Céni
    Selon les chiffres de la Céni, Faure Gnassingbé a été réélu dès le premier tour de la présidentielle avec 72,36% des voix, soit près de 14 points de plus que lors de sa dernière élection en 2015. Le taux de participation est de 76,63%, là aussi bien plus élevé qu’en 2015 où il avoisinait les 61%.
    Une mobilisation davantage constatée dans le nord du pays, où Faure Gnassingbé fait à première vue un carton quasi plein. Dans la région des Savanes, par exemple, dans la préfecture du Pendjal Ouest : 97% de participation, 93% des voix pour le président sortant et 0,5% pour Agbeyomé Kodjo. Dans la région de la Kara également, le fief de Faure Gnassingbé : 96% de participation, 95% des suffrages pour lui. Dans la préfecture de Mo aussi, on peut noter un score plafond : 99,46% en faveur du président sortant.

    Dans l’opposition, l’ancien Premier ministre et opposant Agbéyomé Kodjo obtient 18,37% des suffrages. Le leader de l’ANC, Jean-Pierre Fabre, arrive en troisième position avec 4,35%. C’est la première fois que la Céni proclame aussi vite les résultats d’une élection présidentielle. Ces résultats seront transmis à la Cour constitutionnelle, qui a six jours pour statuer et annoncer les résultats définitifs.
    « On constate que Faure Gnassingbé a opéré une grande percée dans des localités autrefois difficiles, et que dans les autres localités, c’est un véritable plébiscite ! », assure le ministre de la Fonction publique, Gilbert Bawara, soutien du chef de l’État.
    Sur son compte Twitter, Faure Gnassingbé a remercié « la jeunesse togolaise mobilisée spontanément pour célébrer cette victoire au nom de la démocratie ».

    Mais ces résultats sont déjà contestés. La société civile recense des bourrages d’urnes et des inversions de résultats. Dès samedi soir, Agbéyomé Kodjo avait, lui aussi, dénoncé de « nombreuses fraudes ». Et avant même l’annonce des résultats de la présidentielle par la Céni, l’opposant et ancien Premier ministre avait convoqué la presse à Lomé, affirmant devant les journalistes qu’au regard des chiffres dont lui disposait, il était sans conteste le vainqueur du scrutin.
    Kodjo appelle Gnassingbé à accepter sa défaite
    « Sur l’ensemble du territoire national, les électrices et électeurs ont voté massivement en ma faveur, a affirmé le principal adversaire de Faure Gnassingbé. Au regard des résultats que nous avons compilés à travers les procès-verbaux en notre possession, nous avons gagné cette élection présidentielle du 22 février 2020 au premier tour, avec un score oscillant entre 57% et 61%. À l’instant même, je suis le président de la République démocratiquement élu et je m’engage à former un gouvernement inclusif dès les premiers jours. »
    Agbéyomé Kodjo a également tenu à « féliciter Faure Gnassingbé, qui devient le premier ancien président de la République vivant dans l’Histoire » et l’a invité « à un sursaut patriotique afin que le transfert du pouvoir puisse se faire dans les règles de l’art et de manière pacifique ».
    Il a ensuite lancé un appel à la communauté internationale « afin qu’elle soutienne le peuple togolais dans sa lutte pour une alternance apaisée et pacifique au Togo », il a invité « les forces de défense et de sécurité à demeurer et à conserver leur neutralité républicaine afin de ne céder à une quelconque instrumentalisation ». Puis, il s’est adressé à Faure Gnassingbé : « Nous interpellons le président sortant à prendre la mesure de la gravité de la situation et à rentrer dans l’Histoire en acceptant sa défaite ».
    Dans la nuit de dimanche, pendant que la Céni proclamait les résultats provisoires, la maison d’ Agbéyomé Kodjo a de nouveau été encerclée et le quartier rendu difficile d’accès par les forces de l’ordre. Et ce matin encore, Aegbeyomé Kodjo a revendiqué le statut de président démocratiquement élu. Il appelle ainsi la population et la diaspora à défendre « résolument » la vérité des urnes.

    Avec RFI

  • Togo : démission du Premier ministre et du gouvernement

    Togo : démission du Premier ministre et du gouvernement

    Le Premier ministre togolais Sélom Klassou a remis sa démission et celle de son gouvernement au président Faure Gnassingbé qui l’a acceptée, après les législatives remportées par le parti au pouvoir, a rapporté vendredi la radio nationale.

    Le président a demandé à Sélom Klassou, en poste depuis juin 2015, et à son gouvernement de « continuer à assurer les affaires courantes », a précisé la radio.

    Le scrutin du 20 décembre avait été boycotté par la principale coalition de l’opposition qui avait dénoncé des « irrégularités » dans sa préparation.

    L’Union pour la République (Unir), le parti du président Faure Gnassingbé, avait remporté 59 des 91 sièges de l’Assemblée nationale, selon les résultats définitifs de la Cour constitutionnelle.

    L’Union des Forces de Changement (UFC) de l’ex-opposant historique Gilchrist Olympio en avait gagné sept, des candidats indépendants remportant les autres sièges.

    La C-14 absente du Parlement

    Après plus d’un an de grave crise politique, et des dizaines de marches de protestation, certaines massives, les leaders de la principale coalition des 14 partis politiques de l’opposition (C-14) n’avaient pas présenté de candidats et n’auront plus aucune représentation au Parlement.

    Les observateurs de l’Union africaine (UA) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) avaient salué la bonne tenue de ces législatives, tout comme les dirigeants ouest-africains qui ont jugées le 22 décembre à Abuja que ces élections « libres et transparentes » étaient conformes à leur feuille de route pour une sortie de crise au Togo.

    L’origine de l’article >>

  • Togo : affrontements entre forces de l’ordre et partisans du gel du processus électoral

    Togo : affrontements entre forces de l’ordre et partisans du gel du processus électoral

    À Lomé, comme dans de nombreuses villes du pays, des militants de la coalition des 14 partis de l’opposition ont défié les forces de l’ordre lors de manifestations réclamant le gel du processus pour les élections locales, référendaires et législatives des 16 et 20 décembre.

    Très tôt, samedi, plusieurs milliers de militants de l’opposition ont pris d’assaut le tronçon situé entre le marché de Bè, Kpota, Anfamè et le carrefour de l’église des Assemblées de Dieu, à Lomé. Sur le second parcours, parti du carrefour de l’église néo-apostolique et passant par le boulevard pavé de Bè, pour rejoindre le même carrefour de l’église des Assemblées de Dieu, les rues étaient tout aussi noires de monde.


    >>> À LIRE – Togo : manifestations, boycott, blocage au Parlement… les élections de décembre s’annoncent tendues


    Scandant des slogans hostiles au gouvernement, les manifestants ont déroulé une série de revendications : la « poursuite des réformes constitutionnelles institutionnelles » ; la « révision du cadre électoral, y compris le droit de vote des Togolais de la diaspora » ; la « libération des manifestants et acteurs de la société civile arrêtés dans l’exercice de leur droit constitutionnel » et la levée de « l’État de siège de fait des villes de Mango, Bafilo, Sokodé, Tchamba, Kara et des quartiers de Lomé ».

    Mais c’est surtout l’arrêt immédiat du processus électoral en cours qui constituent leur revendication première. « C’est une mascarade qu’on nous prépare », lance un manifestant à bout de souffle. « Personne n’ira voter. Et s’ils s’entêtent, personne ne reconnaîtra les résultats ! », s’emporte un autre dans le cortège.

    Face-à-face tendu

    Au quartier Bê, le face-à-face entre les forces de l’ordre et les  manifestants a été intense, dans un climat de tension intense et au milieu des volutes de gaz lacrymogènes. Face aux jeunes survoltés, qui ont dressé des barricades, les gendarmes ont dû se replier. Certains se sont réfugiés dans des maisons voisines.

    Depuis le 17 novembre, c’est la troisième fois que l’opposition descend dans la rue. La troisième fois, aussi, que manifestants et forces de l’ordre s’affrontent. Plusieurs cas de blessés ont été signalés, aussi bien dans les rangs des manifestants que des forces de l’ordre.

    Malgré la fronde de l’opposition, le gouvernement semble bien décidé à poursuivre le processus électoral : de source proche de la CENI, on se dit techniquement prêt à organiser les élections et le référendum du 16 décembre et les législatives du 20 décembre conformément au calendrier établi par la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

    De son côté, l’opposition campe également sur ses positions. Une nouvelle journée « Togo mort » a été annoncée pour ce mardi 4 décembre.

    L’origine de l’article >>

  • Togo : manifestations, boycott, blocage au Parlement… les élections de décembre s’annoncent tendues

    Togo : manifestations, boycott, blocage au Parlement… les élections de décembre s’annoncent tendues

    Censées contribuer à faire baisser la tension dans la mise en œuvre des réformes, les élections programmées en décembre risquent au contraire de faire basculer le pays dans un nouveau cycle de violences.

    L’opposition togolaise appelle à nouveau ses partisans à manifester dans tous le pays, ce samedi, pour dénoncer les « irrégularités » qui entachent l’organisation de ces scrutins. Jeudi, déjà, dans les rues de Lomé, plusieurs milliers de Togolais ont défilé à l’appel de la coalition de 14 partis de l’opposition (C14) pour exiger l’arrêt du processus électoral relatif à l’organisation des élections locales et du référendum le 16 décembre et des législatives le 20 décembre.


    >>> À LIRE – Togo : la coalition de l’opposition met la pression à l’approche des élections


    « Nous avons marché pour exprimer notre mécontentement à l’endroit du pouvoir en place. Nous voulons leur dire que le processus électoral, tel qu’il se déroule, doit s’arrêter afin de trouver au préalable un accord pour des élections démocratiques, libres et transparentes », a déclaré Jean-Pierre Fabre, l’un des responsables de la coalition, ajoutant que personne ne peut contraindre l’opposition à aller à de « fausses élections ».

    La question de la rétroactivité

    La coalition de l’opposition exige notamment la recomposition du bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui fonctionne depuis le début du processus à treize membres, sans les quatre représentants de l’opposition parlementaire.

    « À 13 sur 17, le quorum est atteint. L’opposition parlementaire peut nous rejoindre à tout moment sa place y est toujours », soutient pour sa part Kodjona Kadanga, président de la CENI.

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  • Togo: manifestation de l’opposition à l’approche des élections législatives

    Togo: manifestation de l’opposition à l’approche des élections législatives


    Par
    RFI

    Publié le 29-11-2018
    Modifié le 29-11-2018 à 21:09

    A trois semaines des élections législatives, l’opposition togolaise était dans la rue ce jeudi 29 novembre. Des milliers de manifestants ont défilé dans plusieurs grandes villes du pays. Ils dénoncent des irrégularités dans le processus électoral. Et demandent le départ du président Faure Gnassingbé au pouvoir depuis 2005.

    A l’appel de la principale coalition d’opposition, des dizaines, voire des centaines de milliers de personnes ont défilé dans le pays, à Lomé, Sokodé, Kpalimé, Atakpamé.

    Dans la capitale, ils étaient 200 000 selon les organisateurs, vêtus de rouge et d’orange, couleurs des deux principales formations d’opposition. Sur les pancartes, on pouvait lire « 50 ans ça suffit » en référence à la famille du président Faure Gnassingbé qui dirige le pays depuis 1967. Ou alors « nous sommes tous Togolais, le pays n’impatient à personne. »

    Cette coalition d’opposition – qui regroupe 14 partis – dénoncent des irrégularités dans l’organisation du scrutin du 20 décembre. Aucun de ces 14 partis n’a d’ailleurs présenté de listes pour ce scrutin, dénonçant « une mascarade ». Ils demandent l’arrêt du processus électoral.

    Pour Jean-Pierre Fabre, chef de file de l’opposition, personne ne peut les contraindre à aller à de fausses élections. « On l’a fait par le passé, on ne le fera plus », dit-il. Ils demandent que la Cédéao intervienne pour suspendre ce scrutin et qu’ils puissent trouver une solution pour des élections libres, transparentes et démocratiques.

    L’origine de l’article >>

  • Togo: la Céni ira jusqu’au bout avec ou sans l’opposition

    Togo: la Céni ira jusqu’au bout avec ou sans l’opposition


    Par
    RFI

    Publié le 24-11-2018
    Modifié le 24-11-2018 à 14:28

    Au Togo, la contestation se fait entendre avant les élections législatives prévues le 20 décembre. L’opposition dénonce des irrégularités dans la préparation et boycotte les travaux de la Commission électorale nationale indépendante (Céni). De son côté, la Céni assure, lors d’une conférence de presse, vendredi 23 novembre, qu’elle ira jusqu’au bout avec ou sans les membres de l’opposition. Elle continue ainsi sa préparation des scrutins, notamment le recensement des électeurs.

    Il n’y a pas eu de commentaires sur les huit membres de l’opposition qui boycottent toujours les travaux de la Céni et pas de commentaires non plus sur le message de la conférence des évêques du Togo qui estime que l’organisation unilatérale des élections législatives du 20 décembre risque de conduire, de nouveau, le pays vers le chaos. « Ce débat est utile dans une autre arène. Pas à la Céni », répond le professeur Kodjona Kadanga, président de la Céni.

    Le président de la commission électorale nationale indépendante a par ailleurs fait d’autres annonces. « A ce stade, nous pouvons dire qu’à l’issue de ces opérations de fin de traitement de données, en guise de tendance et sous réserve, après la compilation des données des données des 38 Céli [Commissions électorales locales indépendantes], à ce jour, les résultats sont les suivants : total des enrôlés : 3 millions 48 599 pour les deux zones », a déclaré Kodjona Kadanga, président de la Céni.

    Ces données, issues du recensement, sont en cours de traitement, selon le président de la Céni, dont l’objectif est d’enlever les doublons et d’apurer la liste pour obtenir un fichier électoral fiable et définitif. La coalition des quatorze partis de l’opposition, en dialogue avec le pouvoir, refuse de prendre part à ce processus électoral. Pourtant, 816 candidats issus de douze partis politiques et plus d’une quinzaine de listes d’indépendants convoitent les 91 sièges en jeu à l’Assemblée nationale.

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  • Au Togo, les évêques réaffirment leurs inquiétudes en vue des élections à venir

    Au Togo, les évêques réaffirment leurs inquiétudes en vue des élections à venir


    Par
    RFI

    Publié le 21-11-2018
    Modifié le 21-11-2018 à 14:53

    Au Togo, la Conférence des évêques du pays s’est inquiétée, ce mardi, dans un message à la population de la situation sociopolitique qui prévaut actuellement. Ils affirment que l’organisation d’élections sans les réformes provoquerait de nouveaux foyers de contestation.

    Pour en finir avec les violences post-électorales qui ensanglantent la terre de nos aïeux, avec leur cortège de morts, d’orphelins, de blessés, de réfugiés, il faut absolument opérer les réformes. En effet, tous les observateurs de la vie politique togolaise se demandent pourquoi les réformes constitutionnelles et institutionnelles, réclamées par l’opposition, promises par le gouvernement et recommandées par le facilitateur de Cedeao, tardent à se faire.
    Il en est de même pour la révision du cadre électoral, notamment celle du fichier électoral et le découpage électoral.
    Tout cela est indispensable pour des élections vraiment équitables et conformes aux standards internationaux. Sinon, elles peuvent créer de nouvelles constations et des violences, qui enfonceront davantage le pays dans la misère et le désarroi.

    Mgr Denis Amouzou-Djakpa, vice-président de la Conférence des évêques du Togo

    21-11-2018
    – Par
    Peter Dogbe

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  • Election au Togo: pour le front Togo-Debout, les conditions ne sont pas réunies

    Election au Togo: pour le front Togo-Debout, les conditions ne sont pas réunies

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  • Crise au Togo: le Front citoyen Togo-Debout interpelle la Cédéao

    Crise au Togo: le Front citoyen Togo-Debout interpelle la Cédéao


    Par
    RFI

    Publié le 04-11-2018
    Modifié le 04-11-2018 à 10:39

    Plusieurs milliers de militants et sympathisants du Front citoyen Togo-Debout ont marché samedi 3 novembre à travers la ville de Lomé pour interpeller la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest. Ils demandent à la Cédéao de prendre position pour une sortie de crise.

    Malgré la modification des itinéraires et le confinement de la manifestation dans un quartier excentrée, les militants du Front citoyen Togo-Debout ont tenu, se sentant humiliés mais déterminés à manifester.

    Le communiqué lu à l’issue de la marche s’indigne et proclame : « Oui, nous n’en pouvons plus au Togo ! Et personne ne doit venir encore vous dicter un chemin ! »

    La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest est interpellée, elle qui a soumis une feuille de route aux Togolais, le 31 juillet, pour une sortie de crise. Selon le Front citoyen Togo-Debout, le processus électoral en cours est contestable et la Cédéao doit prendre position.

    « Depuis un an que nous sommes sortis, nous demandons – enfin – que ces réformes soient mises en application, explique le professeur David Dosseh, premier porte-parole du Front citoyen Togo-Debout. La Cédéao s’immisce dans le jeu au lieu de répondre aux préoccupations populaires. »

    Et d’ajouter : « Elle vient à nouveau demander à ce que nous allions à des élections législatives au pas de charge et dans des conditions totalement inacceptables. Et donc, nous voulons que la Cédéao se positionne clairement et qu’elle dise ce qu’elle pense du problème togolais. »

    La société civile togolaise, à travers le Front citoyen Togo-Debout, prévient : « Nous sommes à un tournant historique, nous ne devons plus entrer en 2019 avec les mêmes problèmes. »

    Le processus électoral en cours est contesté par l’opposition, la date des élections législatives est fixée au 20 décembre et le gouvernement entend y aller même si les protagonistes de la crise appellent au boycott.

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