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LUTTE CONTRE LA PROSTITUTION : LES KINOISES DE MOINS DE 40 ANS INTERDITES DE SÉJOUR À BRAZZAVILLE.


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  filleLes femmes de moins de 40 ans n’ont plus droit à se rendre à Brazzaville, capitale de la République du Congo à leur gré. C’est-ce qu’on peut dire de la situation qui prévaut depuis plus d’une semaine au beach Ngobila. Source : « Direct.cd ».

  
Sans donner plus des précisions sur cette décisions, quelques agents de sécurité commis à cette de la RDC et la République du Congo ne laissent passer que celles qui sont munies d’une autorisation parentale ou maritale. Surprises par cette interdiction, plusieurs femmes parmi lesquelles plusieurs kinoises ne savent pas à quel saint se vouer.
Peu importe le motif qu’elles peuvent avancer : Visite familiale, activité commerciale ou plusieurs autres raisons de leur déplacement elles sont obligées de plier bagage jusqu’à nouvel ordre. Impuissantes face à cette décision, les victimes de cette nouvelle mesure sont contraintes de plier bagages avec leurs billets, laissez-passers … Entre temps, le business s’arrête pour les commerçante et les contacts familiaux aussi pour certaines.

L’ORIGINE DES MAUX
Sur place à Ngobila, on apprend que cette décision serait prise pour lutter contre les actes immoraux commis par des Kinoises à Brazzaville. Cherchant à gagner la vie vers l’autre rive, beaucoup d’entre elles se lanceraient au Congo dans le plus beau vieux métier du monde en échange des billets de banque. Allant plus loin, elles ont transformé certains quartiers de Brazzaville en cité de tournage des filmes pornographiques. Informée par cette pratique, la police locale a procédé à l’arrestation de plus d’une vingtaine d’entre elles à Kintélé, un coin périphérique de la capitale congolaise.
Malgré cette décision, bon nombre d’entre elles finissent par traverser le fleuve après avoir négocié avec quelques agents de migration. Une réalité qui met en péril la mesure.

UNE INTERDICTION POLÉMIQUE À KINSHASA
Applaudie par quelques kinois, cette nouvelle fait l’objet d’indignation chez d’autres. Pour eux, cette mesure est une forme de priver les droits de circulation à cette catégorie de personnes. « Ce n’est pas parce qu’il y a un groupe de Kinoises impliqué dans des pratiques indignes qu’on doit punir toutes les femmes », a indiqué un activiste de droits de l’homme à Gombe.
 
Cordialement,
La Direction du « RÉSEAU NERRATI-PRESS ».
 
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