Category: A la Une

  • Cameroun : Maurice Kamto en froid avec Protais Ayangma, figure du patronat

    Cameroun : Maurice Kamto en froid avec Protais Ayangma, figure du patronat

    Maurice Kamto, le candidat arrivé en deuxième position à la présidentielle du 7 octobre, avait espéré que le quotidien « Mutations », détenu par Protais Ayangma, une figure du patronat, se mettrait au service de sa campagne.

    En 2009, Protais Ayangma avait échoué à prendre la tête de l’organisation patronale Gicam, dont il était le vice-président. Depuis, il n’a pas chômé : il a fondé Entreprises du Cameroun (Ecam), un groupement de PME, et a dirigé l’assureur Saham Cameroun (jusqu’en 2015). Aujourd’hui, il préside le conseil d’administration de Saham Congo et, au sein de son cabinet de conseil Prévoyance-Assurance-Assistance (P2A), il travaille à la création d’une compagnie sous-régionale de réassurance.

    À 67 ans, Ayangma est plus qu’une figure du patronat. Un temps haut placé dans la hiérarchie du Grand Orient et Loges unis du Cameroun (GoLuc), il est aussi propriétaire du quotidien Mutations.

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  • Ghana : Nana Konadu Rawlings conserve des partisans au sein de l’opposition

    Ghana : Nana Konadu Rawlings conserve des partisans au sein de l’opposition

    Si Nana Konadu Rawlings, l’épouse de l’ancien président ghanéen Jerry Rawlings, est moins impliquée dans le débat national depuis sa défaite à la présidentielle de 2016, elle conserve néanmoins des partisans au sein du principal parti d’opposition.

    À tout juste 70 ans, Nana Konadu Rawlings a-t-elle définitivement tourné le dos à la politique ? Même si elle s’exprime toujours dans les médias, l’épouse de Jerry Rawlings, l’ancien président ghanéen, est moins impliquée dans le débat national depuis son cuisant échec à la présidentielle de 2016. Seule femme en lice, elle n’avait recueilli que 0,15 % des suffrages.

    Celle que l’on a longtemps comparée à Hillary Clinton avait fondé le Parti démocratique national (NDP) en 2012, après avoir claqué la porte du Congrès démocratique national (NDC), la formation de son époux. Elle n’avait notamment pas supporté que les militants du NDC lui préfèrent un autre candidat pour les représenter à la présidentielle de décembre 2012.

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  • Égypte : les personnalités ” Afrique ” du Caire

    Égypte : les personnalités ” Afrique ” du Caire

    Dans l’entourage d’Abdel Fattah al-Sissi, trois personnalités sont centrales lorsqu’il est question des dossiers « Afrique » : les ministres Mohamed Chaker et Sahar Nasser et Mohamed Salem, le PDG de Silicon Industries Corporation.

    Deux politiques et un patron. Au gouvernement, Mohamed Chaker  et Sahar Nasser sont chargés de dossiers continentaux cruciaux.

    Amr Abdallah Dalsh/REUTERS

    Le premier, à la tête du ministère de l’Électricité et des Énergies renouvelables, cherche notamment à renforcer la coopération avec le Soudan pour faire de l’Égypte l’axe principal de l’interconnexion électrique entre l’Europe, les pays arabes et l’Afrique. Il fut l’un des rares ministres à conserver son portefeuille lors du remaniement de juin 2018.

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  • Égypte : Sissi, africain mais pas trop

    Égypte : Sissi, africain mais pas trop

    Désigné à la tête de l’institution panafricaine pour un an, le pays des pharaons, souvent qualifié de « trop arabe », veut profiter de cette présidence pour avancer ses pions sur le continent. Sans proposer une véritable vision pour l’Afrique.

    Dans les coulisses du dernier sommet de l’Union africaine (UA), l’absence d’Abdel Fattah al-Sissi a fait grincer des dents. « Il n’était pas à Nouakchott en juin et n’est pas à Addis aujourd’hui… Ça montre un certain mépris pour l’institution, s’agace un responsable à la Commission de l’UA. Lorsqu’il a besoin de nous, il sait où nous trouver. Mais lorsqu’il faut contribuer à notre action, on ne le voit plus. »

    « Les diplomates égyptiens sont très bons, mais leur retrait assumé et leur condescendance historique vis-à-vis des Africains, ça fait toujours beaucoup parler ! » renchérit un connaisseur. C’est peu dire que la désignation de l’Égypte, par les pays d’Afrique du Nord – à qui revenait la décision cette année –, à la présidence de l’UA, à compter de janvier 2019, et ce pour une durée d’un an, n’a pas fait que des heureux dans les couloirs de l’institution.

    L’après Kagame

    « Il y a des inquiétudes claires, car on le sait, les “grands pays” comme l’Afrique du Sud, le Nigeria et bien sûr l’Égypte ont toujours tendance à traîner les pieds, note un observateur sous le sceau de l’anonymat. La crainte, c’est de voir arriver un “gros morceau” peu investi et que le mouvement très dynamique de cette dernière année ne s’étiole. Ce n’est pas simple de prendre la présidence après Paul Kagame. » Le président du Rwanda a calqué sa gouvernance à la tête de l’institution sur celle de son pays, mêlant méthodes autoritaires et approche managériale dynamique, tout en incarnant une Afrique moderne, développée et insoumise à l’Occident.

    Si sa technique « commando » est jugée « trop informelle » et « offensive » par beaucoup de diplomates, de l’aveu de tous, le Rwanda a tout de même réussi à amorcer avec brio les réformes attendues et assuré une présidence « exceptionnelle ». « Un tel investissement, c’est du jamais-vu. Le Rwanda a investi beaucoup de temps et d’efforts dans sa présidence. Ils étaient très présents à la Commission, ils ont beaucoup travaillé… Je ne crois pas que ce soit l’intention de l’Égypte », admet un diplomate égyptien en poste à l’UA. Difficile donc pour Sissi de reprendre le flambeau d’un prédécesseur à ce point loué.

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  • Maroc : grandeur et décadence du PJD

    Maroc : grandeur et décadence du PJD

    Sept ans après son accession à la tête du gouvernement, le PJD peine à s’imposer comme leader de l’exécutif. Contraint de composer avec une majorité hétéroclite et fragilisé par des dissensions internes, il en est réduit à laisser au Palais le soin de conduire les indispensables réformes.

    «Ne cherchez pas la moindre dissonance entre le chef du gouvernement et Sa Majesté le roi, qui est le chef de l’État et dont les directives sont au-dessus de nos têtes. » C’est ainsi que Saadeddine El Othmani a rappelé son allégeance à Mohammed VI, chef de l’État et de l’exécutif, dans son discours mensuel devant les parlementaires, à la fin d’octobre. Une formulation qui n’est pas sans faire écho à un autre modèle de fidèle soumission, signé Abbas El Fassi, en 2007 : « Mon programme gouvernemental consiste à suivre les directives de Sa Majesté », avait lancé l’ex-secrétaire général de l’Istiqlal au lendemain de sa nomination en tant que Premier ministre.

    On l’aura compris, face à l’institution monarchique, le Parti de la justice et du développement (PJD) se place désormais clairement au même niveau que les autres formations politiques. Révolues, les insinuations d’Abdelilah Benkirane proférées au fameux soir du 25 novembre 2011, lorsque le PJD avait remporté les premières législatives post-nouvelle Constitution – laquelle accorde de larges prérogatives au chef du gouvernement. « Les Marocains insistent pour garder la monarchie, mais ils veulent qu’elle évolue avec eux », lançait alors le chef de file du PJD, qui, durant les premières semaines de son mandat, s’aventurait à révéler la teneur de ses échanges avec Mohammed VI.

    Cohabitation inédite

    En sept ans, cette cohabitation inédite dans l’histoire du royaume a considérablement évolué. Le PJD a perdu sa virginité politique pour s’adapter à la realpolitik marocaine et se reposer derrière les décisions royales. « Il a compris, au fil des épreuves, que son seul véritable allié pour gouverner n’est autre que la monarchie, explique le sociologue Mehdi Alioua, enseignant-chercheur à Sciences-Po Rabat. Le parti est alors devenu une composante, parmi d’autres, de l’État-Makhzen. »

    De surcroît, son score électoral, aussi important soit-il, n’a jamais permis au parti de la lampe de rassembler une majorité claire et solide. Le PJD a donc dû composer avec une coalition hétéroclite et peu stable. Résultat, depuis son arrivée aux affaires, en 2011, il n’a cessé de devoir gérer des crises avec ses alliés au sein du gouvernement.

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  • [Édito] Le PJD est-il soluble dans la démocratie ?

    [Édito] Le PJD est-il soluble dans la démocratie ?

    Sept ans déjà… Arrivé au pouvoir à l’issue d’élections anticipées et dans la foulée d’un mouvement de contestation auquel il n’avait pas pris part, le Parti de la justice et du développement (PJD) a-t-il atteint l’âge de raison ?

    Les consultations locales de 2015 et les législatives de 2016 ont démontré que le parti de la lampe s’inscrivait dans la durée, savait mieux que d’autres mobiliser sa base militante et confirmait son ancrage au sein de la classe moyenne. Son image de formation intègre, porteuse des valeurs d’un islamisme urbain, pragmatique, conservateur et libéral sur le plan économique, continue de susciter l’adhésion d’un socle apparemment irréductible d’électeurs, pour lesquels ce parti jeune (22 ans, dont quinze au sein de l’opposition) représente toujours une solution crédible.

    De l’islamisme radical des origines au parti de gouvernement, la lente évolution du PJD vers l’appropriation des normes politiques modernes, via la rupture avec le « frérisme » et la construction d’une identité propre, est quasi achevée, et sa « marocanisation », semble-t-il, irréversible. Devenu un parti (presque) « comme les autres », le PJD doit donc être jugé à la même enseigne que les autres.

    Projets fous, agenda inexistant

    Or c’est justement là que le bât blesse. Sept ans après son accession à la tête du gouvernement, le parti de Benkirane et d’Othmani n’est toujours pas sorti de l’apprentissage. À l’instar d’Ennahdha en Tunisie ou du Parti liberté et justice (Frères musulmans) en Égypte, le PJD n’avait pour tout viatique, en novembre 2011, que sa totale inexpérience de la gestion des affaires publiques.

    Longtemps habitués à organiser leur survie dans la clandestinité, ses dirigeants n’étaient pas prêts à exercer le pouvoir dans un contexte démocratique. Ils ne le sont guère plus aujourd’hui. Trop peu de cadres, des projets flous, un agenda inexistant : autant de handicaps rédhibitoires qui ont conduit ce parti à se diluer dans des querelles d’ego internes et des relations intestines conflictuelles au sein d’une majorité parlementaire hétéroclite et en partie hostile.

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  • Gabon : selon l’agence de presse saoudienne, le président Ali Bongo Ondimba a quitté Riyad

    Gabon : selon l’agence de presse saoudienne, le président Ali Bongo Ondimba a quitté Riyad

    Le président gabonais Ali Bongo Ondimba, qui était hospitalisé en Arabie saoudite, a quitté Riyad mercredi soir, a rapporté l’agence officielle saoudienne SPA, sans préciser sa destination.

    Le président Ali Bongo Ondimba, a été salué à son départ d’Arabie saoudite, ce mercredi 28 novembre, après avoir été hospitalisé depuis le 24 octobre à Riyad, par des responsables du ministère saoudien des Affaires étrangères, indique l’Agence saoudienne. Mardi, l’épouse du président gabonais Sylvia a annoncé sur sa page Facebook que son mari quitterait la capitale saoudienne mercredi pour Rabat, « pour poursuivre sa convalescence ».

    Elle a précisé que ce transfert de Riyad à Rabat « a été rendu possible grâce à l’amélioration très significative » de l’état de santé de son mari.

    Amitié

    Alors qu’il avait été d’abord été d’abord convenu d’un transfert à Londres, le 22 novembre, Sylvia Bongo Ondimba a reçu un appel du roi du Maroc, Mohammed VI. Depuis plusieurs jours, celui-ci insistait pour que son ami d’enfance vienne passer sa convalescence dans son pays. Il avait fait aménager un établissement hospitalier militaire, notamment pour des raisons sécuritaires et des impératifs de confidentialité. La période de convalescence pourrait durer quelques semaines, voire quelques jours, selon une source officielle de la présidence.


    >>> À LIRE – Gabon : Ali Bongo Ondimba transféré mercredi au Maroc, après plusieurs jours d’incertitude


    Le président gabonais et le roi du Maroc Mohammed VI sont très proches depuis leur enfance. . Le président gabonais a passé une partie de son adolescence au Maroc, et les deux hommes se sont régulièrement revus alors que leurs pères, eux aussi amis, présidaient encore aux destinées de leurs pays respectifs.

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  • Le Congolais Jean-Jacques Lumumba craint pour sa vie, Ibrahim Yacouba en tournée au Niger…

    Le Congolais Jean-Jacques Lumumba craint pour sa vie, Ibrahim Yacouba en tournée au Niger…

    Le lanceur d’alerte congolais réfugié en France Jean-Jacques Lumumba craint d’être la cible de tueurs à gages, l’ex-ministre nigérien Ibrahim Yacouba est en tournée dans le pays pour mettre ses troupes en ordre de marche… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.

    • RDC : Jean-Jacques Lumumba en danger ?

    Vincent Fournier / JA

    Le parquet de Créteil (banlieue parisienne) a ouvert une enquête préliminaire après le dépôt d’une plainte par Jean-Jacques Lumumba.

    Selon le procès-verbal de son audition du 2 novembre, que JA a pu consulter, ce lanceur d’alerte congolais réfugié en France a affirmé aux policiers avoir été prévenu « par les autorités belges » de « la présence sur les territoires français et belge » d’individus venant des pays de l’Est et « mandat[és] pour éliminer un certain nombre de personnes, dont [il faisait] partie ».

    Défendu par les avocats français William Bourdon et Henri Thulliez, ainsi que par Me Georges-Henri Beauthier, en Belgique, Lumumba réclame des mesures de protection pour lui et sa famille.

    • Niger : Ibrahim Yacouba fait sa tournée

    Soucieux

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  • Maroc-UE : la Fondation EuroMedA se défend d’être un groupe de lobbying

    Maroc-UE : la Fondation EuroMedA se défend d’être un groupe de lobbying

    La Fondation EuroMedA, dont plusieurs membres sont favorables aux positions marocaines sur le Sahara occidental, est accusée par une ONG d’être un outil de lobbying au service des intérêts marocains à l’Union européenne. Ses responsables s’en défendent.

    Salaheddine Mezouar, président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM, le syndicat patronal marocain) et ancien ministre des Affaires étrangères, est devenu fin novembre vice-président de la Fondation EuroMedA. Ce qui n’a pas manqué d’attirer la lumière sur cette structure, attisant les curiosités aussi bien dans les cercles économiques et politiques que dans les milieux qui défendent une ligne opposée à celle de Rabat concernant le Sahara occidental.

    Cheikh Biadillah, co-fondateur d’EuroMedA, élu à la Chambre des conseillers au Maroc et président du Groupe d’amitié parlementaire Maroc-Union européenne, confirme que Salaheddine Mezouar, proche de la fondation depuis sa création en 2017, s’en est encore rapproché lorsqu’elle a accéléré ses activités, en juillet et août 2018. Depuis la mi-novembre, le patron des patrons marocains siège effectivement au conseil d’administration.

    Fondation ou lobby ?

    L’ONG Western Sahara Resource Watch (WSRW), active à Bruxelles, parle notamment de « lobbying » pour qualifier les activités de la Fondation EuroMedA. Cette dernière structure n’est cependant pas enregistrée comme un lobby identifié au registre européen de la transparence, qui recense les groupes d’intérêts qui ont leurs habitudes dans les couloirs des institutions européennes. WSRW, elle, y figure depuis mars 2018 en tant que « groupe d’intérêt ».

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  • Présidentielle en RDC : l’UA demande à l’UE de lever les sanctions contre Ramazani Shadary

    Présidentielle en RDC : l’UA demande à l’UE de lever les sanctions contre Ramazani Shadary

    Dans un communiqué daté du 19 novembre mais publié une semaine plus tard, le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine demande la levée des sanctions internationales, celles de l’UE en particulier, qui frappent Emmanuel Ramazani Shadary, candidat de la coalition au pouvoir à la présidentielle en RDC.

    « C’est moi qui ai mené ce plaidoyer auprès de l’Union africaine et j’ai été entendu ! » se félicite, lundi 26 novembre, Barnabé Kikaya Bin Karubi. Il y a une semaine c’est ce principal conseiller diplomatique du président congolais, Joseph Kabila, qui a été dépêché à Addis Abeba pour « donner la lecture officielle sur quelques sujets de l’heure qui intéressent la vie de la RDC » devant le Conseil de paix et de sécurité de l’UA.

    Dans sa déclaration, reprise dans un document de cinq pages que Jeune Afrique a pu consulter, le diplomate congolais s’est employé à peindre un tableau plutôt satisfaisant, à ses yeux, de la situation politique en RDC, à quelques jours des élections présidentielle, législatives et provinciales prévues le 23 décembre. « Ce cap demeure irréversible », a-t-il notamment souligné.

    Sanctions injustes et arbitraires ?

    Barnabé Kikaya Bin Karubi a surtout profité de cette réunion pour « rappeler que plusieurs personnalités civiles et militaires [congolaises] sont sous le coup de sanctions de l’Union européenne ». Parmi elles, Emmanuel Ramazani Shadary, candidat porté par le Front commun pour le Congo (FCC), plateforme électorale de la majorité au pouvoir.

    Si l’UE maintient ces sanctions, ce serait une interférence au processus électoral en cours en RDC », selon Kikaya Bin Karubi

    En mai 2017, l’UE a en effet sanctionné le dauphin de Kabila, alors vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, pour avoir été « responsable de l’arrestation d’activistes et de membres de l’opposition, ainsi que de l’usage disproportionné de la force depuis sa nomination, tel que les mesures de répression violentes prises contre des membres du mouvement Bundu Dia Kongo (BDK) au Kongo central, la répression à Kinshasa en janvier et février 2017 et le recours disproportionné à la force et la répression dans les provinces du Kasaï ».

    « Ces sanctions sont injustes et arbitraires », affirme à Jeune Afrique Barnabé Kikaya, satisfait par « la demande du Conseil de paix et de sécurité à son partenaire de l’UE de lever toutes ces sanctions individuelles imposées à l’encontre de Ramazani Shadary et des autres proches du président Kabila ». À l’en croire, « si l’UE persiste à maintenir ces sanctions, ce serait une interférence au processus électoral en cours en RDC ».

    Au plus tard le 12 décembre, le Conseil de l’UE devait se prononcer sur le prolongement, ou pas, de ces mesures restrictives.

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