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Dialogue Intercongolais, Securisation de la RDC avec Maxim Longi au micro de Don Kayembe sur LAVDC


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1 thought on “Dialogue Intercongolais, Securisation de la RDC avec Maxim Longi au micro de Don Kayembe sur LAVDC

  1. MUKER KOM-NDA NKOM-NDA NDA NGYÉ

    « Dialogue national en vue : Lambert Mende avertit que ce forum ne fait nullement part à un partage de pouvoir !
    Dialogue Intercongolais, Securisation de la RDC avec Maxim Longi au micro de Don Kayembe sur LAVDC

    Encore un dialogue des sourds de plus et pour rien.
    « Un peuple complice de gouvernants inintelligents, médiocres et malhonnêtes, de possédations cupides dans des machinations et des guerres de reconquête néo-coloniales, ce peuple n’est pas un peuple libre, il a perdu tout sens de la vraie grandeur, il s’offre à tous les asservissements, il est mûr pour la plus obscurantiste des portugalisations » Maryse Perin.

    Vice de procédure de forme, de fond, du contenu

    1. L’initiateur du dialogue en position de faiblesse de crise d’autorité et d’État à cause de l’insécurité suite à des accords compromettants avec les actuels agresseurs de la RDC. Complaisance de l’initiateur du dialogue ayant allumé le feu et qui se fait sapeur-pompier. Prétexte de la cohésion natonale pour venir au secours du pays en danger à l’Est, pour l’intérêt supérieur de la nation
    2. On veut la cohésion nationale tout en délimitant « les secteurs nationaux les plus névralgiques » comme le souligne déjà Lambert Mende Omalanga en défensive :
    « Dialogue national en vue : Lambert Mende avertit que ce forum ne fait nullement part à un partage de pouvoir » !

    Comment peut-on faire semblant des accords du 23 Mars 2009- CNDP-PPRD-AMP en vue des tricheries massives aux élections de novembre 2011.
    Sous prétexte de privilégier la paix, la justice et l’intégrité territoriale a été sacrifiée par la loi inique et cynique d’amnistie des bandes armées, voté le 12 juillet 2008 par l’Assemblée Nationale que présidait Kamerhe, et le 14 juillet 2009 par le Sénat présidé par Kengo, pour être promulguée le 7 mai 2009 sous la présidence de Boshab à l’Assemblée Nationale.

    Les révendications de M-23 concernent les promesses du 23 mars au sujet de l’intégration dans des institutions nationales et la vérité des urnes des élections truquées de novembre 2011.

    3. Complaisance avec le M-23, tantôt comme force négative soutenu par le Rwanda et condamné par le Conseil de sécurité et à traquer par la brigade d’intervention, tantôt présenté comme des rebelles Congolais avec qui négocier à Kampala.
    Et pourtant le M-23 avait comme première révendication la défense et l’intégration des Tutsi comme avec le CNDP selon le rapport de Human Rights Watch le 4 juin 2012, parlant du général Bosco Ntaganda recevant des recrues et des armes depuis le Rwanda, et qui est recherché pour crimes de guerre par la Cour pénale internationale.

    On peut se référer au posting du compatriote Alfred Lukhanda À : Hinterland : Envoyé le : Mercredi 6 juin 2012 8h33 Objet : [hinterland1] Human Rights Watch attrape Paul Kagamé la main dans le sac: Qu’en dit Lambert Mende

    (Goma, le 4 juin 2012) – Des responsables militaires rwandais ont armé et soutenu la mutinerie dans l’est de la République démocratique du Congo menée par le général Bosco Ntaganda, qui est recherché pour crimes de guerre par la Cour pénale internationale, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.

    De : alfred lukhanda À : Hinterland Cc : Communauté Catholique Congolaise de Montréal cccm ; Agir Ensemble Paix-RDCongo Envoyé le : Mercredi 6 juin 2012 8h33 Objet : [hinterland1] Human Rights Watch attrape Paul Kagamé la main dans le sac: Qu’en dit Lambert Mende

    Pour publication immédiate
    RD Congo : Le Rwanda doit cesser d’aider un criminel de guerre présumé Le général congolais renégat Bosco Ntaganda reçoit des recrues et des armes depuis le Rwanda
    (Goma, le 4 juin 2012) – Des responsables militaires rwandais ont armé et soutenu la mutinerie dans l’est de la République démocratique du Congo menée par le général Bosco Ntaganda, qui est recherché pour crimes de guerre par la Cour pénale internationale, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.
    « Des responsables militaires rwandais ont autorisé Bosco Ntaganda à entrer au Rwanda et lui ont fourni de nouvelles recrues, des armes et des munitions. Bosco Ntaganda est sous le coup d’un mandat d’arrêt de la CPI pour avoir recruté et utilisé des enfants soldats ».
    Et nous connaissons toutes les tergiversations de Kinshasa d’exécuter ce mandat d’arrêt de la CPI sous prétexte de privilégier la paix à la justice. Voilà alors les fruits et les résultats de cette paix injuste.

    Comment des prétendus Congolais peuvent se faire soutenir par le Rwanda pour venir déstabiliser leur propre pays sous prétexte de revendiquer leur intégration avec des armes? Cette question nous amène à savoir qui est finalement Congolais et qui ne l’est pas pour parler de dialogue nationale ou dialogue Intercongolais.

    4. Confusion depuis Mobutu jusque Mzée Kabila ayant distribué massivement la nationalité congolaise aux réfugiés d’origine Rwandaise.
    Juste un petit rappel :
    En 1972, pour des raisons électorales, Mobutu accorde massivement la nationalité congolaise aux Tutsi Rwandais par l’influence de son directeur de cabinet Bisengimana.

    En 1984, Mobutu révoque ce décret et cela crée le mécontement des Tutsi qui en avaient profité pour préparer une rébellion pour retrouver leur nationalité par des armes.

    En 1992, lors de la CNS, la nationalité congolaise massive est contestée à ces réfugiés d’origine Rwandaise. Ce qui renforce les frustrations des rébelles.

    « Au début de 1993, par exemple, le Docteur Sondji avait été contacté par un émissaire de Museveni, M. Kahinda Otafire, pour qu’il prenne part au projet de l’invasion du Congo par une insurrection armée. La rencontre avait eu lieu à Bruxelles (Stearns, 346, note 11). Monsieur Etienne Tshisekedi était approché mais il avait réservé une fin de non recevoir catégorique à tout projet de recourir à l’insurrection armée pour changer l’ordre constitutionnel en République démocratique du Congo. Quant à Laurent-Désiré Kabila, il a accepté avec enthousiasme le projet que lui proposait le Rwanda. Il fut invité à se rendre à Kigali pour créer l’AFDL. Accompagné de Joseph Kabila, actuel chef de l’État de la République démocratique du Congo, Laurent-Désiré Kabila rencontre à Remera (Lemera), une banlieue de Kigali, Masasu Nindaga, Déogratias Bugera et Ngandu Kisase. Ils procèdent à la rédaction des textes constitutifs de l’Afdl que corrige James Kabarebe avant d’être signés par les quatre fondateurs : Kabila, Masasu, Bugera et Ngandu Kisase. Plus tard, Bizima Kahara signera lesdits statuts”. Voir un extrait de l’article d’ Alfred M. Lukhanda

    La responsabilité individuelle de Deogratias Bugera dans les crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par l’Armée patriotique rwandaise au Congo-Zaïre.
    par Alfred M. Lukhanda

    En 1996, Mzée Laurent Kabila accorde encore massivement la nationalité congolaise aux populations d’origine rwandaise selon les Accords de Lemera signés le 23/10/1996 en son article suivant :
    Art.7
    . La nationalité congolaise sera accordée collectivement aux camarades Banyamulenge et aux autres populations d’origine rwandaise établies au pays avant la date de l’indépendance de notre pays (le 30/06/1960).
    Comme si la nationalité accordée massivement ne suffisait pas, Mzeé leur promet le prix à payer comme effort de guerre après la victoire.

    Art.5
    . Dès que l’alliance aura gagné la victoire, une rétribution spéciale sera allouée aux alliés. Sa détermination est de la compétence de l’instance supérieure de l’alliance.
    Voici les 8 articles ayant vendu le pays en balkanisation
    Accords de Lemera signés le 23/10/1996 par les camarades fondateurs de l’AFDL (NDLR : il s’agit de LDK du PRP, parti de la révolution populaire.André Ngandu Kisase du MNC/L-CNRD, mouvement national congolais/Lumumba- conseil national de résistance pour la démocratie.
    Anselme Masasu du MRLZ, mouvement révolutionnaire pour la libération du Zaïre.
    Déogratias Bugera de l’ADP, alliance démocratique des peuples.
    Bizima Karaha qui les a approuvés).
    Art.1
    .Il est crée, en ce jour du 23/10/1996 à l’hôtel Lemera, une alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo qui sera soutenue militairement par les forces combattantes de l’AFDLA.
    Art.2
    . Le sol et le sous sol congolais appartiennent à l’alliance.
    Art.3
    . L’alliance devra demeurer une institution de l’Etat canalisatrice de l’idéologie de libération.
    Art.4
    . Prêchant le panafricanisme, l’alliance s’engage à céder 300 km aux frontières congolaises, à l’intérieur du pays, pour sécuriser ses voisins ougandais, rwandais et burundais contre l’insurrection rebelle.
    Art.5
    . Dès que l’alliance aura gagné la victoire, une rétribution spéciale sera allouée aux alliés. Sa détermination est de la compétence de l’instance supérieure de l’alliance.
    Art.6
    . Tous les politiciens des années 1960 en RDC et ceux ayant collaboré avec le régime de Mobutu seront mis en retraite politique.
    Art.7
    . La nationalité congolaise sera accordée collectivement aux camarades Banyamulenge et aux autres populations d’origine rwandaise établies au pays avant la date de l’indépendance de notre pays (le 30/06/1960).

    En 1996, le Commandant de Mobutu institutionnalisait la trahison qui avait permis au Rwanda d’envahir le Zaïre en 1996
    Lire un extrait de l’article d’ Alfred M. Lukhanda

    La responsabilité individuelle de Deogratias Bugera dans les crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par l’Armée patriotique rwandaise au Congo-Zaïre.
    par Alfred M. Lukhanda

    RESPONSABILITÉ PERSONNELLE DU COMMANDANT MOBUTU ET DE L’ARMÉE ZAÏROISE EN COMPLICITÉ AVEC LE PARLEMENT ZAÏROIS DANS L’INSTITUTIONNALISATION DE LA TRAHISON POUR L’INVASION DU ZAÏRE EN 1996.

    « En mettant à la disposition de Bugera un officier de l’armée conglaise pour servir de liaison entre Bugera et lui, le Commandant de Mobutu institutionnalisait ainsi la trahison qui avait permis au Rwanda d’envahir le Zaïre en 1996 : «Tembele, whom a UN official remembered as ‘famous for being afraid of his own soldiers’and stealing cars from refugees, had been bribed by the Rwandans and even provided Bugera with one of his lieutenants as a liaison officer, institutionalizing his treason» (Stearns, 77). C’est le chercheur américain qui parle de « l’institutionnalisation de la trahison». La corruption d’un officier congolais a permis à Bugera de faire passer comme un colis destiné au Général Tembele les armes qu’il achetait à Kinshasa pour les amasser au Nord Kivu afin de faciliter l’invasion du Zaïre par l’armée tutsi du Rwanda ».

    5. La nationalité congolaise aux enchères par des gouvernants irresponsables

    Pour les mêmes raisons du pouvoir pour le pouvoir en sacrifiant l’intégrité territoiriale, Mobutu, comme Mzée et son héritié ont trahi le peuple congolais avec une confusion de nationalité au profit des agresseurs.

    Comment dans ce contexte de confusion, parler de dialogue national ou de dialogue Intercongolais, de quel congolais est-il question, that is a big question!

    Nous ne pouvons que conclure avec Maryse Perin ce triste constat :

    « Un peuple complice de gouvernants inintelligents, médiocres et malhonnêtes, de possédations cupides dans des machinations et des guerres de reconquête néo-coloniales, ce peuple n’est pas un peuple libre, il a perdu tout sens de la vraie grandeur, il s’offre à tous les asservissements, il est mûr pour la plus obscurantiste des portugalisations » Maryse Perin.

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