Warning: Trying to access array offset on value of type bool in /home/lavdcne1/public_html/wp-content/plugins/sitespeaker-widget/sitespeaker.php on line 13
Par JA
-La rébellion militaire qui menace Goma, la capitale du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a aussi des répercussions en politique intérieure: elle dresse l’opposition contre la stratégie d’union nationale du gouvernement et attise les tensions entre communautés.
L’opposition a décliné à la fin de la semaine les propositions du Premier ministre Augustin Matata Ponyo de participer à une commission qui examinerait la situation dans l’est où un mouvement rebelle, le M23, contrôle une partie de la province du Nord-Kivu.
L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), interrogée par l’AFP, a qualifié M. Matata Ponyo “d’imposteur”. Pour le responsable de la communication de ce parti, Simon Kalengue, “la situation dans l’est du pays est le résultat de leur manque de leadership… leur départ résoudra cette question”.
L’UDPS n’a pas admis les résultats des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 et affirme que le seul président élu est leur chef, Etienne Tshisekedi.
Pour Jean Lucien Busa, un responsable du Mouvement de libération du Congo (MLC), “les questions de la guerre et de l’intégrité du territoire national dépassent à ce stade sa (celle du Premier ministre) compétence”, une allusion au président réélu Joseph Kabila à qui l’opposition reproche souvent d’être originaire du Rwanda même s’il a écarté ses premiers alliés qui avaient porté son père au pouvoir.
Dans un communiqué diffusé samedi, les partis d’opposition affirment par ailleurs que “la conduite de la guerre qui déchire le pays ne rassure guère quant à la volonté réelle du gouvernement de donner des réponses adéquates pour juguler l’insécurité permanente dans la partie est de la RDC”.
Xénophobie
Cette fin de non-recevoir adressée au chef du gouvernement intervient après la “marche des catholiques” organisée 1er août. Cette première manifestation publique a être autorisée depuis les élections a rassemblé sans incident des milliers de personnes dans les principales villes du pays. “Au moins 100.000 à Kinshasa”, selon le secrétaire de la Conférence épiscopale.
A Goma, 25 responsables de confessions religieuses et ethniques se sont rassemblés récemment pour demander ensemble la cessation immédiate des hostilités, a rapporté une organisation humanitaire.
Selon un communiqué de l’ONG Search for Common Ground (SFCG), “des violences intercommunautaires, des discours de haine et de xénophobie ont pris une allure inquiétante ces dernières semaines” et les religieux se sont “engagés à construire la stabilité régionale”.
Selon cette organisation, des rwandophones ont été pris à partie jeudi dernier à l’université de Goma. Ils ont été battus et la foule a tenté de les brûler.
“La jeunesse congolaise qui manque d’éducation à la citoyenneté”
Au poste-frontière de Goma vers le Rwanda, toujours selon SFCG, des groupes se sont rassemblés pour scander des messages hostiles au Rwanda et aux rwandophones alors que ces derniers constituent une bonne part de la population de la région.
L’ONG ajoute que “la jeunesse congolaise qui manque d’éducation à la citoyenneté est facilement manipulable et donc très exposée à ces tensions intercommunautaires”.
En avril, au début du conflit, des journaux avaient directement mis en cause et dénoncé les tutsis, considérés comme des habitants du Rwanda alors que cette ethnie, victime du génocide de 1994 au Rwanda, est présente également au Burundi et en RDC. Le gouvernement était intervenu avant que cela ne dégénère.
Dans cette région du pays, où les frontières sont relativement récentes et ont fluctué, les ethnies ou les communautés historiques servent de point d’appui aux différents groupes rebelles et sont souvent stigmatisées, ce qui met en péril un équilibre social déjà miné par la misère.
Le Parlement, come une seule persone doit interpeller le Premier Ministre – AVEC UNE MOTION DE DEFIANCE – pour s’expliquer a l’Assemblee Nationale et que cette interpellation soit diffusse en direct sur la television nationale !
Ensuite, le Parlement doit decreter l’Etat d’Urgence et creer des comites pour s’arroger les pouvoirs exceptionels, dont la Defense, La securite et les Services de renseignements.
Tout le Budget doit etre revu pour doter notre armee de comandants motives, d’equipements adequats et de militaires payes correctement !
Surtout museler Mende ou le mettre en prison ! pour demotivation et demobilisation de la cohesion nationale et d’activitees anti-patrie
Si le president KABILA s’en mele : exiger sa demission !!!
Il y en a marre !
EN RDC IL N’ Y A PAS DE REBELLION. IL S’AGIT D’UNE GUERRE D’INVASION SANGLANTE MENEE PAR LE REGIME RWANDAIS DE PAUL KAGAE EN TOUTE IMPUNITE DEPUIS 1996, ET QUI A PRIS DES ALLURES DESTRUCTRIES ET SAUVAE TYPIQUEMENT RWANDAIS DEPUIS 1998 JUSQU’A CE JOUR. LE SOIS DISANT ” KABILA JOSEPH” EST L’ACTUER PRINCIPAL DE CETTE MISE EN SCENE MACABRE QUI DETRUIT LA RDC ET SA POPULATION A GRANDE ECHELLE. TOUS CEUX QUI PARLENT DE ” REBELLION ” SONT DES CONFUSIONNISTES DESINFORMATEURS FASCISTES A LA SOLDE DES EXTREMISTES TUTSI QUI UTILISENT LA RDC ET SES RICHESSES COMME MONNAIE D’ECHANGE POUR SE FAIRE VALOIR A CERTAINS PAYS INFLUENTS DE LA PLANETE PAR LES PILLAGES ET LES MASSACRES SYSTEMATIQUES DES CONGOLAIS. MAIS SACHEZ UNE CHOSE VOUS LES FASCISTES ET EXTREMISTES TUTSI, CHAQUE CHOSE A SA FIN. TOUT SE PAIE ICI BAS. LE KONGO EST LE COEUR DE L’AFRIQUE, DONC LE COEUR DU BERCEAU DE LA PUISSANCE CREATRICE DE DIEU TOUT PUISSANTQUE LE KONGOLAIS APPELLNT NZAMBE MOKONZI. C’EST LUI LE SEUL ROI DU KONGO. VOUS LES EXTREMISTES TUTSI ETES ALLER TROP LOIN DANS VOTRE BARBARIE ET DANS VOTRE IDEOLOGIE D’HEGEMONIE SAUVAGE CONTRE LA MAJORITE BANTO QUI VOUS A EDUQUER ET NOURRI SURTOUT PENDANT VOTRE EXIL AU KONGO DE KIMBANGU. VOUS ALLEZ VOUS BRULER VOUS-MEMES ET VOUS LAISSEREZ LE KONGO EN PAIX, BIENTOT.
ALEX MWENZE NKONGOLO
Comments are closed.