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Parents dans la rue


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Par RICH NGAPI

La rue (kinoise) est en mutation. Les places publiques sont de plus en plus prises d’assaut par des parents de rue. Un nouveau phénomène. Après l’enfance, les « shégués » continuent d’évoluer dans la rue comme père et mère de famille. Hier, ils étaient petits, très petits. Ils ont rejoint la rue. Aujourd’hui, ils sont devenus grands, très grands. Et, finalement, devenus adultes dans la rue, ils sont devenus parents.

C’est qu’après la première catégorie d’enfants qui fuyaient le toit parental pour embrasser l’errance de la rue, une nouvelle génération de « shegués » vient de naître : celle des enfants nés dans la rue. Elle serait plus dangereuse, selon les experts. Puisque n’ayant jamais connu l’affection parentale.

Ces couples avec enfants, on en rencontre un peu partout, de plus en plus, sur les places publiques. A ne pas confondre avec des familles sinistrées ou autres victimes de démolition méchante qui logent à la belle étoile faute d’indemnisation. Non. Les parents de rue, eux, sont domiciliés avec leurs progénitures à des repaires fixes avec délimitation de zones d’opération.

Ils squattent les épaves de voiture ou encore des constructions inachevées, des bâtiments publics, des marchés, etc. Les journées se bouclent au moyen des vols à la tire ou de la fouille des poubelles. A défaut de la mendicité qui paie de moins en moins, les bons Samaritains étant gagnés par les soupçons de sorcellerie qui verraient leurs revenus s’assécher puisqu’un enfant-sorcier aurait « travaillé » ce qui lui a été offert par charité.

Il ne faut pas rigoler. Les cas de ces « shegués » qui s’unissent dans la rue, y forment des familles et y vivent avec leurs progénitures, méritent une attention particulière de l’autorité compétente. Il faut des structures d’encadrement pour contenir ce que d’aucuns qualifient de « bombe à retardement ». Sinon, quel avenir pour des enfants qui n’iront pas à l’école et qui vont grandir sans formation parce que les conditions de vie de leurs parents ne le leur permettront pas ?

Personne dans la chaîne de commandement de la ville ne peut prétendre ignorer cette situation. L’autorité urbaine préfère regarder impuissante et indifférente la situation pourrir. Vous cherchez loin ? Sous les arbres de la place arrière de l’Hôtel de ville, vit une famille qui occupe cet endroit depuis déjà un semestre. Inutile de se demander si elle est une famille de sinistrés ou des parents de rue. L’argent de garantie locative que l’on peut donner à cette famille est de loin inférieur à l’argent de poche journalier de certains caciques. Où est la justice ?

Par RICH NGAPI

 

La rue (kinoise) est en mutation. Les places publiques sont de plus en plus prises d’assaut par des parents de rue. Un nouveau phénomène. Après l’enfance, les « shégués » continuent d’évoluer dans la rue comme père et mère de famille. Hier, ils étaient petits, très petits. Ils ont rejoint la rue. Aujourd’hui, ils sont devenus grands, très grands. Et, finalement, devenus adultes dans la rue, ils sont devenus parents.

C’est qu’après la première catégorie d’enfants qui fuyaient le toit parental pour embrasser l’errance de la rue, une nouvelle génération de « shegués » vient de naître : celle des enfants nés dans la rue. Elle serait plus dangereuse, selon les experts. Puisque n’ayant jamais connu l’affection parentale.

Ces couples avec enfants, on en rencontre un peu partout, de plus en plus, sur les places publiques. A ne pas confondre avec des familles sinistrées ou autres victimes de démolition méchante qui logent à la belle étoile faute d’indemnisation. Non. Les parents de rue, eux, sont domiciliés avec leurs progénitures à des repaires fixes avec délimitation de zones d’opération.

Ils squattent les épaves de voiture ou encore des constructions inachevées, des bâtiments publics, des marchés, etc. Les journées se bouclent au moyen des vols à la tire ou de la fouille des poubelles. A défaut de la mendicité qui paie de moins en moins, les bons Samaritains étant gagnés par les soupçons de sorcellerie qui verraient leurs revenus s’assécher puisqu’un enfant-sorcier aurait « travaillé » ce qui lui a été offert par charité.

Il ne faut pas rigoler. Les cas de ces « shegués » qui s’unissent dans la rue, y forment des familles et y vivent avec leurs progénitures, méritent une attention particulière de l’autorité compétente. Il faut des structures d’encadrement pour contenir ce que d’aucuns qualifient de « bombe à retardement ». Sinon, quel avenir pour des enfants qui n’iront pas à l’école et qui vont grandir sans formation parce que les conditions de vie de leurs parents ne le leur permettront pas ?

Personne dans la chaîne de commandement de la ville ne peut prétendre ignorer cette situation. L’autorité urbaine préfère regarder impuissante et indifférente la situation pourrir. Vous cherchez loin ? Sous les arbres de la place arrière de l’Hôtel de ville, vit une famille qui occupe cet endroit depuis déjà un semestre. Inutile de se demander si elle est une famille de sinistrés ou des parents de rue. L’argent de garantie locative que l’on peut donner à cette famille est de loin inférieur à l’argent de poche journalier de certains caciques. Où est la justice ?

Par RICH NGAPI

 

La rue (kinoise) est en mutation. Les places publiques sont de plus en plus prises d’assaut par des parents de rue. Un nouveau phénomène. Après l’enfance, les « shégués » continuent d’évoluer dans la rue comme père et mère de famille. Hier, ils étaient petits, très petits. Ils ont rejoint la rue. Aujourd’hui, ils sont devenus grands, très grands. Et, finalement, devenus adultes dans la rue, ils sont devenus parents.

C’est qu’après la première catégorie d’enfants qui fuyaient le toit parental pour embrasser l’errance de la rue, une nouvelle génération de « shegués » vient de naître : celle des enfants nés dans la rue. Elle serait plus dangereuse, selon les experts. Puisque n’ayant jamais connu l’affection parentale.

Ces couples avec enfants, on en rencontre un peu partout, de plus en plus, sur les places publiques. A ne pas confondre avec des familles sinistrées ou autres victimes de démolition méchante qui logent à la belle étoile faute d’indemnisation. Non. Les parents de rue, eux, sont domiciliés avec leurs progénitures à des repaires fixes avec délimitation de zones d’opération.

Ils squattent les épaves de voiture ou encore des constructions inachevées, des bâtiments publics, des marchés, etc. Les journées se bouclent au moyen des vols à la tire ou de la fouille des poubelles. A défaut de la mendicité qui paie de moins en moins, les bons Samaritains étant gagnés par les soupçons de sorcellerie qui verraient leurs revenus s’assécher puisqu’un enfant-sorcier aurait « travaillé » ce qui lui a été offert par charité.

Il ne faut pas rigoler. Les cas de ces « shegués » qui s’unissent dans la rue, y forment des familles et y vivent avec leurs progénitures, méritent une attention particulière de l’autorité compétente. Il faut des structures d’encadrement pour contenir ce que d’aucuns qualifient de « bombe à retardement ». Sinon, quel avenir pour des enfants qui n’iront pas à l’école et qui vont grandir sans formation parce que les conditions de vie de leurs parents ne le leur permettront pas ?

Personne dans la chaîne de commandement de la ville ne peut prétendre ignorer cette situation. L’autorité urbaine préfère regarder impuissante et indifférente la situation pourrir. Vous cherchez loin ? Sous les arbres de la place arrière de l’Hôtel de ville, vit une famille qui occupe cet endroit depuis déjà un semestre. Inutile de se demander si elle est une famille de sinistrés ou des parents de rue. L’argent de garantie locative que l’on peut donner à cette famille est de loin inférieur à l’argent de poche journalier de certains caciques. Où est la justice ?

Par RICH NGAPI

 

La rue (kinoise) est en mutation. Les places publiques sont de plus en plus prises d’assaut par des parents de rue. Un nouveau phénomène. Après l’enfance, les « shégués » continuent d’évoluer dans la rue comme père et mère de famille. Hier, ils étaient petits, très petits. Ils ont rejoint la rue. Aujourd’hui, ils sont devenus grands, très grands. Et, finalement, devenus adultes dans la rue, ils sont devenus parents.

C’est qu’après la première catégorie d’enfants qui fuyaient le toit parental pour embrasser l’errance de la rue, une nouvelle génération de « shegués » vient de naître : celle des enfants nés dans la rue. Elle serait plus dangereuse, selon les experts. Puisque n’ayant jamais connu l’affection parentale.

Ces couples avec enfants, on en rencontre un peu partout, de plus en plus, sur les places publiques. A ne pas confondre avec des familles sinistrées ou autres victimes de démolition méchante qui logent à la belle étoile faute d’indemnisation. Non. Les parents de rue, eux, sont domiciliés avec leurs progénitures à des repaires fixes avec délimitation de zones d’opération.

Ils squattent les épaves de voiture ou encore des constructions inachevées, des bâtiments publics, des marchés, etc. Les journées se bouclent au moyen des vols à la tire ou de la fouille des poubelles. A défaut de la mendicité qui paie de moins en moins, les bons Samaritains étant gagnés par les soupçons de sorcellerie qui verraient leurs revenus s’assécher puisqu’un enfant-sorcier aurait « travaillé » ce qui lui a été offert par charité.

Il ne faut pas rigoler. Les cas de ces « shegués » qui s’unissent dans la rue, y forment des familles et y vivent avec leurs progénitures, méritent une attention particulière de l’autorité compétente. Il faut des structures d’encadrement pour contenir ce que d’aucuns qualifient de « bombe à retardement ». Sinon, quel avenir pour des enfants qui n’iront pas à l’école et qui vont grandir sans formation parce que les conditions de vie de leurs parents ne le leur permettront pas ?

Personne dans la chaîne de commandement de la ville ne peut prétendre ignorer cette situation. L’autorité urbaine préfère regarder impuissante et indifférente la situation pourrir. Vous cherchez loin ? Sous les arbres de la place arrière de l’Hôtel de ville, vit une famille qui occupe cet endroit depuis déjà un semestre. Inutile de se demander si elle est une famille de sinistrés ou des parents de rue. L’argent de garantie locative que l’on peut donner à cette famille est de loin inférieur à l’argent de poche journalier de certains caciques. Où est la justice ?

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1 thought on “Parents dans la rue”

  1. Si nous ne faisons pas attention, demain nous aurons aussi les vieillards de rue; avec leurs enfants(adultes) et leurs petits enfants(bebe’)

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