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Source:La Prospérité
Le moment de badiner dans l’organisation des enseignements supérieurs et universitaires a pris fin. Léonard Mashako Mamba, Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire est monté sur ses quatre chevaux pour tirer au clair la situation des institutions d’enseignement viables et non viables dans la Ville Province de Kinshasa.
Se référant à la décision du Conseil des Ministres du 4 décembre 2009, il vient de signer, en date du vendredi 18 décembre dernier, un arrêté qui frappe de fermeture 3 institutions d’enseignement supérieur du secteur public et 44 du secteur privé. D’après les indications fournies à l’appui, la Commission nationale et provinciale de l’audit organisationnel et enquête de viabilité, qui a réalisé un travail de titan, a ressorti 3 catégories d’institutions : la première, c’est celle où tout se passe selon les normes. La deuxième renferme 9 institutions à situation intermédiaire. 4 sont du secteur public. Il s’agit de l’Université Pédagogique Nationale (UPN/Binza), ISC/Kinshasa, INA et ISS/Kinshasa), 5 autres sont du secteur privé. Quant à la troisième catégorie, elle est composée des établissements supérieurs publics et privés jugés non viables et par conséquent fermés. Se livrant à la presse, le Ministre Mashako a motivé sa décision par l’existence des établissements qui fonctionnent dans des abris de fortune, dans des écoles publiques à double vacation, ceux qui n’ont pas d’enseignants propres qualifiés, d’autres manquent des matériels didactiques ; des instituts d’enseignement médical sans laboratoire et même une formation médicale pour la pratique. Pire que ça, une autre, à Matete, fonctionne dans les installations d’une quincaillerie. Présent à la manifestation, le Ministre de la Justice, Luzolo Bambi, a parlé de la tolérance zéro, qui produit déjà ses effets. André Kimbuta et d’autres autorités militaires doivent veiller à l’application stricte de toutes ces mesures. Il reste maintenant à savoir quel crédit accordé aux diplômes octroyés aux finalistes de ces institutions universitaires fermées. Pour le reste, le travail doit se faire en provinces où, sans conteste, les cas sont légion. Cependant, avec cette mesure, 3.600 étudiants seront dans la rue. Ils doivent se choisir une autre institution viable retenue pour aller y passer un test d’admission. S’agissant singulièrement du CIDEP, le Ministre Mashako prie le comité de Gestion de cesser de rouler dans la farine la population en lui faisant croire qu’il est en mesure d’obtenir une hypothétique intervention du Chef de l’Etat pour annuler les décisions prises en Conseil des Ministres. En effet, la liste tant attendue des institutions d’enseignement supérieur et universitaire condamnées à fermer leurs portes a été rendue publique samedi dernier par le ministre en charge du secteur, Léonard Mashako Mamba, qui s’adressait pour la circonstance aux membres de la presse, autorités académiques, bourgmestres de Kinshasa,vec à leur tête le gouverneur de la ville, etc. L’arrêté du ministre signé le 18 décembre obéit à la décision du Conseil des ministres du 4 décembre 2009 autorisant le ministre de l’ESU de prendre les mesures qui s’imposent pour mettre fin au désordre qui a élu domicile dans le secteur depuis un bon bout de temps. La liste a été apprêtée au terme d’un travail de titan mené par la Commission nationale et provinciale de l’audit organisationnel et enquête de viabilité initiée par le N° 1 de l’ESU. Trois catégories d’institutions ont été dressées à cette fin, à savoir la première, celle où tout se passe selon les normes, la seconde renferme 9 institutions à situation intermédiaire. Dont 4 du secteur public ( Université Pédagogique Nationale ( UPN/Binza), ISC/Kinshasa, INA, ISS/Kinshasa) et 5 du secteur privé (IFAS, ISSSK, ISTGS, UCM, UNIC). Un délai pour mieux organiser les choses leur a été accordé. La troisième catégorie, la pire, a en son sein 3 établissements publics contre 44 privés, jugés non viables. Le ministre Mashako a expliqué que l’on retrouve ici des établissements qui fonctionnent dans des abris de fortune, dans des écoles publiques à double vacation, ceux qui n’ont pas d’enseignants propres qualifiés, qui manquent des matériels didactiques etc. tel cet institut d’enseignement médical qui n’a pas de laboratoire et même une formation médicale pour la pratique. Pire, une université privée fonctionne à Matete dans les installations d’une quincaillerie. Avec cette mesure, 3.600 étudiants seront dans la rue mais une chance leur est accordée de se choisir une autre institution viable retenue pour aller y passer un test d’admission. Le ministre a insisté auprès des parents ou tuteurs qui ont des enfants frappés par les récentes décisions. Il les exhorte patriotiquement à ne pas attendre un recours quelconque qui ne viendra du reste de nulle part, le Conseil des ministres ayant donné feu vert au membre du gouvernement en charge de la question. L’escroquerie se poursuit au CIDEP C’est ici le lieu de revenir à ce qui se passe au CIDEP où les inscriptions se poursuivent le plus clairement du monde, alors que c’est de là qu’est partie la série des mesures de redressement de la situation à l’ESU. Le ministre prie le comité de gestion du CIDEP de cesser de rouler notre population en continuant à lui faire croire qu’il est en mesure d’obtenir une hypothétique intervention du Chef de l’Etat pour annuler les décisions prises en Conseil des ministres. Une autre mesure conservatoire concerne l’Extension de l’UNIKIN à Maluku.
Elle est fermée et tout le personnel reversé au Mont Amba. Ci-dessous la liste des établissements non viables : 3 sont du secteur public, à savoir : – 1. Centre Universitaire de Maluku / Extension de l’Unikin – 2. Institut supérieur technique et professionnel (ISTP/ CFAV) – 3. Ecole Nationale du Cadastre et des Titres Immobiliers (ENAC) – 44 du secteur privé, à savoir : – 1. Institut Supérieur des Sciences du Travail (ISST-UNTC) – 2. Institut National d’Informatique et de Gestion (INIGE/Gombe) – 3. Institut National d’Informatique et de Gestion (INIGE/Mont Ngafula) – 4. Institut Supérieur des Sciences Médicales (ISMED) – 5. Université Américaine de Création des Richesse (UACR) – 6. Institut Supérieur des Sciences de Développement de Mbankana (ISSD/Mbankana) – 7. Institut Supérieur de Théologie Evangélique et Mission (ISTHEMI/Ndjili) – 8. Institut Supérieur Technique Médical Fival (ISTMF) – 9. Institut Supérieur des Techniques Médicales Presbytérien de Kinshasa (ISTM/PRESKIN) – 10. Institut Facultaire Protestant de Kinshasa (IFPK) – 11. Ecole d’Administration de Gestion et d’Etudes Médicales (EAGEM) – 12. Université Catholique Don Peti-Peti (UNICAP) – 13. Institut Supérieur de Management (ISM) – 14. Université YMCA-RDC (UNYMCA-RDC) – 15. Université Catholique de Kinshasa (UCK) – 16. Institut Supérieur de Leadership et la Croissance de l’Eglise (ISLCE) – 17. Institut Supérieur de Gestion de Kintambo (IGE) – 18. Institut Supérieur Technique Consolata de Kinshasa (ISTC) – 19.
Institut National d’Enseignement Technique Supérieur (INETS) – 20. Ecole des Hautes Etudes des Entreprises (EHEGE) – 21. Ecole Supérieure de Génie Civil (ESGC) – – 22. Institut Supérieur des Sciences Economiques, Juridiques et Coopératives (ISSEC) 23. Institut Supérieur Biblique de Kinshasa (ISBK) 24. Institut Supérieur Des Techniques Médicales (ISTM/Kalamu) 25. Institut Supérieur Technique Commercial (ISTC/Ndjili) 26 Institut Supérieur Panafricain pour le Management (ISPAM) 27. Institut Supérieur de Kinshasa (ISK) 28. Université Chrétienne Internationale (UCI) 29. Institut National de Douane et Commerce (INDC) 30. Académie des Sciences de Développement (ASD) 31. Académie de Police, Justice pour le Droit de l’Homme (APJDH) 32. Université Panafricaine de Kinshasa (UPKIN) 33. Ecole d’Informatique, d’Electronique et d’Expertise Comptable (EIECO) 34. Institut Supérieur d’Investigations Policières (ISIP/Lingwala) 35. Ecole Supérieure D’Hydrologie Appliquée (ESHA) 36. Ecole Supérieure de Formation des Officiers (ESFO) 37. Institut Supérieur de Criminologie et de Droit de l’Homme (ISCDH) 38. Institut de Criminologie de Mikonga (ICM) 39. Institut Supérieur d’Investigations Policières de Menkao (ISPI/Menkao) 40. Université Centrale des Sciences et de Technologie (UCST) 41. Institut saint Jacques 42. Institut de Gestion Coopérative et Syndicale 43. Ecoles Nationale des Riches 44. Institut National d’Investigations Policières (INIP)
Fait à Kinshasa, le 18 décembre 2009 Professeur Mashako Mamba N.L.
Je pense que cette décision est importante dans la mesure où elle vise l’encadrement de l’enseignement supérieur et universitaire de notre cher pays, il faudrait alors qu’elle soit accompagnée des mesures et alternatives concrétés d’améliorations et émancipations de ses institutions fermées, car il faut à priori tenir compte de l’évolution démographique et de la densité de l’étudiant à la quête d’une institution universitaire dans un pays aussi grand que notre cher Congo.
Je pense que cette décision est importante dans la mesure où elle vise l’encadrement de l’enseignement supérieur et universitaire de notre cher pays, il faudrait alors qu’elle soit accompagnée des mesures et alternatives de concrétés d’améliorations et émancipations de ses institutions fermées, car il faut à priori tenir compte de l’évolution démographique et de la densité de l’étudiant à la quête d’une institution universitaire dans un pays aussi grand que notre cher Congo.
Mer le ministre
je pense que votre decision est basée sur des faits palbable et visible a l’oeil nu.
chaque mot sortant de notre bouche a une valeure quand nous savons le magner;les paroles sont des munitions tue les humains ; dire que mon université n’est pas viable ce la me pousse a croire que dans notre pays il ya une université plus que la miene ;je ne crois pas; comment vous pouvais dire que l’unikin est viable tantque les profeseur ne sont pas payer? la corruption prend le monopole;le pts prend la courone;dans une classe plus de 5000 étudiants…des oditoire mal entretenu;la formation douteuse…
je vous prie de ne pas revoire votre decision mais de voir une jeunesse que vous venez de sacrifier, je suis finaliste que pense tu de moi quant mon père un salaire de misere qu il a depenser pour ma formation alors de milier des étudiant comme moi. trouver nous une solution pcq chaque un jour que nous perdons sera sur ta personne mr le ministre
cher ministre de l’enseignement superieure et universitair,
l’honneur m’echoit de vous ecrire cette note et je sais que un de vos bureaux pourront recevoir cette note je suis etudiant d’une certaine université figurant dans cette liste; s’il vous plait monsieur ma préocupation ce base sur le non respect du 5chantiers du chef de l’etat dont l’education et l’emploi que vous venez de detruire et dite nous ùonsieur ou irrons nous car dans mon université que vous n’avez meme pas visité et vous declarez non viable est à la hote de l’education et l’enseignement alors vous pouvez monsieur le ministre nous facilit’ s’il vous plait nous envoyé aux lieux favorable et surtout les amis de ùon université qui font la pétrochimie et les érudiants etrangers qui sont dans mon université car leurs parents surpris de cette decision qui croyez et avez confiance de notre université sont très deçu.
un sos à été envoyé vers vous apropos de mon université et toujours par la seule voie que vous avez utilisé qui est la voie des ondes, veillez monsieur le ministre de deçendre sur le terrain attant que papa dans des université fermé de nous parler et nous reconforté attant père d’une famille.
veillez monsieur par mon inquiétude le plus profonde nous aider.
merci mon père
Merci pour cette opportunité que vous m’offrez pour que je donne mon point de vue suite à la décision du ministre Mashako:
l’initiative est à saluer et à encourager, car la formation universitaire est la clé du développement d’une nation. L’on ne peut pas prétendre à un développement sans cadres bien formés dans des institutions digne de ce nom.
La libéralisation de l’enseignement dans notre pays est la base de tant de vices… Nous espérons que le ministre Maker Mwangu suivra cette initiative pour le secteur de l’EPSP…
Merci et mes vœux les meilleurs!
C’est bien beau que l’on nous présente des résultats finaux de la fameuse enquête relevant d’un travail dit de titan ! Il serait souhaitable que le Ministre mette à la disposition de tous, le rapport complet de l’enquête.
Car ce qu’il devrait savoir, est qu’aucune Institution Universitaire du secteur officel en RDC, à l’heure actuelle, ne peut être considérée comme viable, comparée aux standards internationaux de ce que doit être une université. Qu’a fait le Ministre de toutes les conditions exécrables dans lesquelles vivent les étudiants de l’UNIKIN ? Les a t-ils transformé en un jour pour déclarer l’UNIKIN viable ? Qu’a t-il fait de toutes ces conditions dégeulasses des auditoires de l’UNIKIN pour la déclarer aujourd’hui viable ? Qu’a t-il fait des conditions répoussantes, si pas hallucinantes, des cliniques dites universitaires de l’UNIKIN, pour déclarer l’UNIKIN viable ?
Qu’at-il fait pour essayer d’obtenir une part importante du budget national qui vient d’être voté, pour la modernisation des institutions universitaires congolaises? La maîgre quote part revenant à ce secteur, ne concerne d’ailleurs que le salaire.
Monsieur le Ministre, votre fameuse enquête n’avait qu’un seul objectif: vous remplir les poches. Car elle a abouti à ce que toute personne qui s’intéresse au monde universitaire connaissait. Cela ne nécessitait pas une enquête pour. Une décision seule suffisait.
L’argent investi dans l’enquête aurait plus servi, si il avait été affecté au début des travaux de modernisation dans l’une des trois anciennes universités publiques du pays (Kisangani, Lubumbashi et Kinshasa).
Et fort des résultats de votre enquête ce sont encore des millions de dollars que vous allez demander pour l’enquête à l’intérieur du pays dans les provinces alors que ces millions supplémentaires peuvent financer la modernisation de certaines facultés dans certaines universités publiques.
Bon courage Monsieur le Ministre.
L’histoire vous jugera!
Toutes ces institutions ont été reconnues par le gouvernement. Pourquoi avant cette reconnaissance le gouvernement ne s’est pas rendu compte des conditions dans lesquelles elles allaient fonctionner? Attendre autant d’années pour maintenant préjudicier ceux qui ont donné leur confiance à ces dernières suite à cette reconnaissance du gouvernement. Qui va reparer ce préjudice? A l’UNIKIN, qui est la plus grande Université publique du pays, le gouvernement peut nous dire les meilleures conditions sont réunies pour une bonne formation? Au moment ou les cours sont donnés par les gens qui n’ont qualité en l’occurence les assistants. Qui est ce professeur là par exemple à la faculté de Droit donne au moins un tiers de ses enseignements? Le gouvernement doit apprendre à balayer sa propre parcelle.
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