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  • Elections en RDC: les divergences perdurent

    Elections en RDC: les divergences perdurent

    kabila_leon_et_aubin_minku-En RDC, voilà quinze jours que le président congolais a initié des consultations avec tous les acteurs de la société civile. Cette semaine, il a reçu les députés, les sénateurs, les patrons de presse et les étudiants. A chaque fois, le message est le même : il faut aller aux élections dans un climat apaisé et soutenir le processus de paix initié par le parti au pouvoir. Reste que les différentes personnalités que Joseph Kabila a rencontrées ont exprimé des points de vue divergents. Les plus flagrantes étant celles entre la chambre basse et la chambre haute.

    Pour le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, plus question de toucher au calendrier électoral. Toutes les élections sont importantes et il faut toutes les organiser.

    Mais cette exigence ne dit rien sur la façon de procéder pour respecter ce calendrier. Le gouvernement n’a toujours pas annoncé quelle somme sera débloquée pour financer les sept scrutins. Aucun matériel électoral n’a été commandé. Enfin, la loi sur la répartition des sièges, préalable à l’organisation des locales a été rejetée par les députés. Une session extraordinaire devrait être convoquée sous peu pour permettre l’adoption de cette fameuse loi.

    De son côté, le Sénat a eu des propos beaucoup plus critiques sur le processus en cours. Son président, Léon Kengo Wa Dondo, a proposé de revoir le calendrier pour le rendre plus réalisable, quitte à regrouper un certain nombre de scrutins. Il a aussi appelé à ce que l’enveloppe de plus d’un milliard de dollars pour financer les élections soit réduite.

    Enfin, selon lui, il faut absolument intégrer les nouveaux majeurs. Ces cinq ou dix millions de jeunes — personne ne sait exactement — devenus majeurs après 2011, pour qu’ils puissent voter à chacune des élections. Ces positions plutôt éloignées de celles de la majorité rappellent l’appartenance du président du Sénat à l’opposition.

    Face à ces divergences, Joseph Kabila a prévu d’organiser une réunion entre les deux chambres. L’objectif est d’harmoniser leurs positions, car ces divisions risquent de ne pas être tenables très longtemps. Cette réunion inter-institutionnelle devrait être organisée en début de semaine prochaine.

    rfi

  • RDC : l’industrie du bois accuse Greenpeace de vouloir mettre la forêt “sous cloche”

    RDC : l’industrie du bois accuse Greenpeace de vouloir mettre la forêt “sous cloche”

    bois1-La Fédération des industriels du bois (FIB) congolaise a accusé mardi des ONG internationales comme Greenpeace de vouloir mettre la forêt de la République démocratique du Congo “sous cloche” et de dénier à ce pays le droit d’exploiter cette ressource pour son développement.

    Greenpeace et l’ONG Global Witness veulent “mettre fin à l’exploitation forestière industrielle en République démocratique du Congo, mettre sous cloche les forêts congolaises”, a déclaré le président de la FIB, Gabriel Mola lors d’une conférence de presse organisée à Kinshasa.

    En mai, Greenpeace a appelé au boycottage du bois produit en RDC par l’entreprise à capitaux libanais Cotrefor, l’un des principaux groupes forestiers présents dans le pays, accusant celle-ci de maltraiter des employés, de ne pas payer tous ses impôts ou encore de dépasser ses quotas de coupe pour certaines espèces menacées.

    Global Witness a publié le 6 juin un rapport dénonçant “des illégalités généralisées en matière de gestion et d’opérations” dans le secteur industriels forestier congolais (bois destiné à l’exportation outre-mer).

    Pour M. Mola, les derniers rapports des deux ONG ne font que reprendre “de vieilles accusations et dénonciations n’ayant aucun lien avec la réalité” et cherchent “à ternir l’image de tout un secteur et d’un gouvernement qui s’emploient à mettre en place et à assurer une gestion durable du patrimoine forestier national”.

    M. Mola reproche par ailleurs à Greenpeace et à Global Witness de ne pas enquêter sur les ravages du secteur dit “artisanal”.

    En 2014, un rapport du cercle de réflexion britannique Chatham House estimait que près de 90% de l’exploitation forestière de RDC était illégale, tout en notant que la majorité de la production du pays était “artisanale”.

    Grande comme cinq fois la France, la RDC est l’un des pays les moins développés au monde et abrite plus de 60% des forêts denses du Bassin du Congo, deuxième massif forestier tropical de la planète après celui de l’Amazonie.

    Selon M. Mola, la superficie forestière concédée à l’exploitation industrielle représente moins de 10% de la surface forestière du pays (environ 160 millions d’hectares selon la Banque mondiale) et les entreprises de la FIB produisent quelque 300.000 mètres cubes de bois par an pour un chiffre d’affaires annuel global de 259 millions de dollars.

    Avec une surface forestière dix fois plus petite que celle de la RDC, la France a produit officiellement en 2013 près de 36 millions de mètres cubes de bois.

    AFP

  • Joseph Kabila dépose plainte contre la corruption

    Joseph Kabila dépose plainte contre la corruption

    kabila 1-La plainte a été déposée par le conseiller spécial du président en matière de la bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.

    Le conseiller spécial du président Joseph Kabila, Luzolo Bambi avait prévenu lors de sa nomination à ce poste en mars qu’il fallait arrêter la corruption qui devenait endémique.

    M. Luzolo n’a pas indiqué qui est visé par la plainte. Mais il a affirmé que le président venait d’accomplir sa part de responsabilité et que la justice devait faire la sienne.

    La plainte a été motivée par de nombreuses dénonciations de détournements de deniers publics et de corruption dans presque dans tous les secteurs. La République démocratique du Congo (RDC) occupe la 154e place sur 174 pays dans l’indice annuel de perception de la corruption publié par l’ONG de lutte en faveur de la bonne gouvernance, Transparency International. Cet indice est publié en décembre de chaque année.

    VOA

  • RDC : une coalition de l’opposition exige une transition politique

    RDC : une coalition de l’opposition exige une transition politique

    Kinshasa-La Coalition des Congolais pour la transition (CCT) est le nom d’une plate-forme qui réclame une transition sur le modèle centrafricain au moment où des élections sont attendues en 2015 et 2016 dans le pays et un dialogue politique est en préparation.

    Emery Damien Kalwira, le leader de la coalition pour la transition, remonte à l’ancien président Mobutu Sese Seko, en passant par Laurent-Désiré Kabila et le fils celui-ci actuellement au pouvoir, le président Joseph Kabila, pour démontrer que toutes les tentatives de démocratiser le pays ont échoué.

    Il estime qu’une transition dont le président et le Premier ministre ne devraient pas se présenter aux prochaines élections, doit être mise en place au terme des Etats généraux de la République qu’il suggère. Ces Etats-généraux devront, selon lui, être suivis d’une conférence constitutionnelle et d’un référendum.

    M. Kalwira proposece schéma à la centrafricaine au moment où le président Joseph Kabila tient des consultations en vue d’une dialogue national avant les élections dont les locales sont attendues l’année en cours et la présidentielle ainsi que les législatives, en 2016.

    Une partie de l’opposition boycotte ce dialogue et accuse Joseph Kabila de manigancer de nouvelles manœuvres pour rester au pouvoir au-delà de la date constitutionnelle des élections.

    La Constitution interdit à Kabila de briguer un troisième mandat.

    Le pays vit sous une tension depuis les tentatives d’une modification de la loi électorale en janvier 2015 qui a causé des manifestions violentes au cours desquelles 42 ont été tuées, a admis le gouvernement.

    VOA

  • RDC: le gouvernement rétablit le signal des médias catholiques après cinq mois de coupure

    RDC: le gouvernement rétablit le signal des médias catholiques après cinq mois de coupure

    radio station 2-L’ONG congolaise Journaliste en danger confirme le rétablissement du signal mais dénonce la politique de deux poids, deux mesures.
    Une dizaine d’autres médias dont le signal a été coupé le même jour et pour les mêmes raisons, n’émettent toujours pas. Ces médias, parmi lesquels CKTV de Jean-Pierre Bemba, avaient été coupés  la veille de violentes manifestations contre une révision de la loi électorale qui aurait pu permettre au président Joseph Kabila de rester au pouvoir au-delà du terme de son mandat, fin 2016, alors que la Constitution lui interdit de se représenter.
    Les autorités avaient accusé les médias dont le signal était coupé, d’avoir relayé un appel de l’opposition à manifester contre le projet de loi électorale.
    Le rétablissement du signal des médias catholiques a fait l’objet de discussions que l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo et le président Joseph Kabila ont eu le 2 juin dans le cadre des consultations en vue d’un dialogue politique convoqué par le chef de l’Etat congolais.
    Une partie de l’opposition a rejeté le dialogue initié par le président Kabila.
    Mgr Monsengwo appelé le dialogue la “voie royale et pacifique de sortie de crise”, mais a souligné tout de même que la Constitution devait être respectée.

    VOA

  • RDC : un projet de loi “bâclé” sur les élections rejeté par le parlement

    RDC : un projet de loi “bâclé” sur les élections rejeté par le parlement

    ceni-Ces élections sont prévues pour le 25 octobre mais l’Assemblée nationale a rejeté le projet de loi sur les circonscriptions électorales et la répartition des sièges aux élections locales proposé par le gouvernement.

    Un front commun des députés de l’opposition et de la majorité contre le texte jugé bâclé.

    Les députés ont rejeté le projet du gouvernement samedi et la session parlementaire s’est achevée lundi. La prochaine session ordinaire commence le 15 septembre, alors que les élections locales sont programmées pour le 25 octobre, en même temps que les provinciales.

    Ces deux scrutins seraient les premiers à avoir lieu dans le pays depuis la présidentielle et les législatives de 2011 à l’origine de la crise politique que traverse le pays.

    Entachées de nombreuses irrégularités, ces élections ont permis le maintien au pouvoir du président Joseph Kabila, à la tête de la RDC depuis 2001, et à qui la Constitution interdit de se représenter en 2016.

    Le projet de loi portant sur la répartition des sièges aux élections locales a été rejeté parce qu’”il y avait trop d’incohérences et d’incongruités” dans le texte, explique à l’AFP Papy Nyango, membre du premier groupe parlementaire de l’opposition (UDPS et alliés).

    “Ce projet de loi donne l’impression d’être le fruit d’un laboratoire visant à obtenir le chaos ou à défaut les prolongations”, ajoute M. Nyango.

    Pour lui, comme pour d’autres élus de tous bords, l’insistance de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) à vouloir programmer les élections locales – jamais tenues dans le pays depuis son indépendance en 1960 – avant la présidentielle de 2016 relèverait d’une stratégie destinée à retarder cette dernière échéance.

    – Promesse d’obstruction –

    Selon plusieurs analystes et hommes politiques congolais, les locales risquent de consumer tout le budget disponible pour les élections des 18 mois à venir, voire de réveiller nombre de conflits ethniques et fonciers latents, dans un pays dont la moitié Est reste déchirée par la violence de plusieurs groupes armés congolais ou étrangers.

    Le projet de loi recalé portait “les germes de tensions en tous genres et dans toutes les provinces”, déclare Henri-Thomas Lokondo, député d’un petit parti de la Majorité présidentielle, pour qui le texte contenait nombre d’entorses à la loi sur la décentralisation et attribuait “arbitrairement” des sièges ici et là.

    Mardi, le président de l’Assemblée nationale et chef de la majorité présidentielle, Aubin Minaku, a annoncé qu’une session extraordinaire serait bientôt convoquée, à la demande de M. Kabila.

    Le président est d’avis qu’”il faut obligatoirement examiner et voter le projet de loi sur la répartition des sièges aux élections municipales et locales”, a déclaré M. Minaku.

    Mais en cas de nouvelle présentation du projet à la Chambre, “nous irons de blocage en blocage”, avertit déjà M. Lokondo.

    La querelle parlementaire a lieu alors que M. Kabila cherche à faire participer à un “dialogue national” une opposition récalcitrante. La présidence a fait savoir que cette table ronde pourrait être l’occasion de discuter du calendrier électoral, mais ses détracteurs le soupçonnent de chercher ainsi à gagner du temps pour retarder la prochaine présidentielle.

    Le rapporteur de la Céni, Jean Pierre Kalamba, a déjà indiqué qu’il ne voyait “pas d’inconvénient” à ce que le calendrier des élections soit révisé.

    Pour Jérôme Bonso, président de la Ligue nationale pour les élections libres et transparentes (Linélit), il n’y aura sans doute pas d’autre choix : selon lui, le retard pris dans l’organisation des élections locales est déjà tel que celles-ci ne pourront avoir lieu à la date prévue.

    Avec AFP

  • 17 adeptes d’une secte lourdement condamnés

    17 adeptes d’une secte lourdement condamnés

    katanga-Ce groupe est accusée d’avoir un lien avec les attaques meurtrières de fin 2013 dans plusieurs provinces congolaises.

    Trente autres adeptes de la secte avaient été condamnée à de lourdes peines une semaine plus tôt à Kalemie, la seconde ville de la même province.

    Selon le coordonnateur du collectif de la défense des adeptes de la secte, Me Gérard Lumu Chipamba, les 17 personnes ont été reconnues coupables de “détention illégale d’armes de guerre, rébellion et meurtre” par le tribunal militaire de Lubumbashi, capitale du Katanga (sud-est) mais ont fait appel.

    Le tribunal acquitté quinze prévenus, faute de preuves.

    Trente-deux prévenus avaient été arrêtés à Lubumbashi à la suite d’affrontements dans cette ville le 30 décembre 2013 entre des adeptes du pasteur Paul Mukungubila et les forces de l’ordre ayant coûté la vie à trois soldats.

    Le 10 juin, 31 autres adeptes du pasteur avaient été condamnés à des peines allant de 7 à 15 ans de prison pour des chefs d’accusation similaires.

    Un autre procès se tient à Kinshasa pour ceux d’autres adeptes de la secte.

    Le 30 décembre 2013, des assaillants se réclamant de M. Mukungubila, chef du “Ministère de la Restauration à partir de l’Afrique noire”, avaient attaqué plusieurs lieux stratégiques à Kinshasa. Presque simultanément, un petit groupe d’hommes armés attaquait l’aéroport de Kindu (est).

    Ces actions, coordonnées mais menées avec de piètres moyens, avaient été noyées dans le sang en quelques heures.

    Peu après les attaques de la capitale, des affrontements éclataient autour du domicile du pasteur à Lubumbashi, où étaient rassemblés nombre de ses adeptes et leurs enfants.

    Selon les autorités, “95 terroristes” et “8 éléments des forces armées” ont été tués dans les violences liées à cet apparent coup de force et à sa répression brutale au Katanga.

    La Ligue des électeurs, organisation congolaise de défense des droits de l’Homme, estime que plus de 300 personnes ont péri dans la répression, dont environ 200 au domicile du pasteur.

    Exilé en Afrique du Sud, M. Mukungubila, candidat malheureux à la présidentielle de 2006 et proche de la famille du président Joseph Kabila, est jugé par contumace à Kinshasa. Il nie toute responsabilité et qualifie de “coup monté” les événements du 30 décembre 2013 survenus quelques semaines après qu’il eut publié un violent pamphlet contre le président congolais Joseph Kabila, qui dirige la RDC depuis 2001.

    voa

  • Joseph Mukungubila: Adeptes d’une secte condamnés

    Joseph Mukungubila: Adeptes d’une secte condamnés

    mukungubila-Les adeptes du groupe religieux ont été jugés et condamnés pour des attaques lancées le 30 décembre 2013 simultanément à Kinshasa, Lubumbashi et Kindu, deux villes de l’Est du pays.

    Ces 17 personnes ont été reconnues coupables de « détention illégale d’armes de guerre, rébellion et meurtre ».

    Leur avocat a déclaré que ses clients allaient interjeter appel.

    Par ailleurs, 15 autres accusés ont été acquittés par le tribunal militaire de Lubumbashi.

    Les prévenus avaient été arrêtés à Lubumbashi. C’était à la suite d’affrontements, le 30 décembre 2013, qui avaient opposé des fidèles du pasteur Joseph Mukungubila aux forces de l’ordre.

    Ce jour-là, des assaillants se réclamant de ce leader d’une secte évangélique, avaient attaqué plusieurs lieux stratégiques de Kinshasa.

    Presque simultanément, un petit groupe d’hommes armés tentait de s’emparer de l’aéroport de Kindu, dans l’Est du pays.

    Peu après les attaques de la capitale, des affrontements éclataient autour du domicile du pasteur à Lubumbashi, où étaient rassemblés nombre de ses adeptes ainsi que leurs enfants.

    Selon les autorités, 95 assaillants qualifiés de terroristes et “8 éléments des forces armées” avaient été tués lors de ces évènements.

    Des ONG de défense des droits de l’homme avaient avancé un bilan plus lourd : plus de 300 morts.

    Le pasteur , lui, vit en exil en Afrique du Sud.

    Ce candidat malheureux à la présidentielle de 2006 a été jugé et condamné par contumace.

    Il a toujours clamé son innocence, niant toute implication dans ces attaques qu’il qualifie de « coup monté ».

    BBC

  • RDC: toujours pas de dialogue entre le pouvoir et l’opposition

    RDC: toujours pas de dialogue entre le pouvoir et l’opposition

    OPPOSITION-Après avoir chargé les gouverneurs des provinces de poursuivre les consultations à leur niveau, le président de la République a reçu ce mardi 16 juin les députés. Mais les élus de l’opposition pour la plupart ont décliné l’invitation. Au sortir de la rencontre, le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, a annoncé la tenue d’une session extraordinaire du Parlement destinée à l’examen de la loi sur la répartition des sièges. Selon Aubin Minaku, toutes les élections auront bien lieu.

    A l’issue de la rencontre des parlementaires avec le chef de l’Etat, Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale, a déclaré que le calendrier électoral global sera respecté. Toutes les élections, y compris les provinciales et locales, devraient donc avoir lieu suivant l’ordre chronologique.

    Selon Aubin Minaku, après la session de mars qui a clôturé ces travaux lundi, une session extraordinaire du Parlement sera convoquée pour traiter essentiellement de la loi sur la répartition des sièges. Et bien qu’ayant été rejeté par l’Assemblée nationale, ce texte est donc désormais destiné à être adopté coûte que coûte par cette même chambre. Les députés en parlent.

    Reste que toute la classe politique ne participe pas à la démarche du président Joseph Kabila. Certains ont carrément décidé de boycotter les consultations initiées par lui, l’opposition ayant boudé l’invitation à ces rencontres. La suite du processus ne s’annonce pas du tout aisée.

    RFI