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–Je me demande comment des sujets Congolais qui ne sont pas « à l’origine » de la crise engendrée par l’occupation que subit le Congo peuvent, et ce même en se réunissant entre eux, solutionner une crise dont les manettes de commande et d’entretien de la crise sont tenues et manipulées de et par l’extérieur.
–Je me demande comment des sujets Congolais qui ne sont pas « à l’origine » de la crise engendrée par l’occupation que subit le Congo peuvent, et ce même en se réunissant entre eux, solutionner une crise dont les manettes de commande et d’entretien de la crise sont tenues et manipulées de et par l’extérieur. Et ce quand bien même ils seraient noblement intentionnés.
J’en ai assez de cette hypocrisie bien « congolaise » et de tous ces gens qui, s’autoproclamant leadership au Congo, manquent de courage à la fois humain et politique pour identifier et nommer le véritable adversaire contre lequel le pays est opposé. Comment combattre une force, quelqu’un ou un mal quand on craint de l’identifier, voire de lui donner un visage pour définir enfin les stratégies éventuelles pour le combat ?
Je m’insurge également conte tous ceux Congolais qui, signant des accords ici et là, attribuent le qualificatif de « partenaires » à ceux avec lesquels ils contactent lesdits accords pendant que ces derniers les considèrent et les traitent comme adversaires, voire ennemies et des proies éventuelles à consommer. Le partenariat ne se déploie qu’entre des forces égales. Et non entre d’un côté des indigents et de l’autre des seigneurs à qui tout réussi et de qui on attend le salut. Lorsque le schéma mental est faux, la pensée cesse d’être convenablement irriguée. Et le brouillard pèse sur la lisibilité.
Dans son livre intitulé « Le retour de Mwami/ La vraie histoire des génocides rwandais », Bernard Debré désigne nommément les USA comme responsable et centre de tout ce qui se trame au Congo et à l’Est de ce pays. Il écrit et je cite : « Sachons simplement que les Américains n’avaient aucun intérêt à ce que les Hutu remportent la victoire ; maintenir la paix aurait été signifié aux Tutsi qu’ils ne pouvaient espérer gagner la guerre et qu’on aboutirait de nouveau aux accords du type d’Arusha. De tout cela les Tutsi, donc les États-Unis, ne voulaient pas », (Debré, 1998 :131). Et pour corroborer cette lapalissade, Debré annonce la présence et la mort des militaires américains tués au Kivu. Mais par qui et contre qui ils se battaient alors que le Congo ne se trouve en situation de guerre, et même larvée, contre les USA. Peut-on savoir dans quelles conditions ils sont morts et pourquoi ces soldats américains devraient mourir au Congo ? Bernard Debré indique que « […] Les Tutsi, eux, bénéficient pour le moins de la « sympathie » des puissances anglophones. Les Américains, qui disposent de bases militaires en Ouganda, se montrent même prêts à donner quelques petits coups de main à Kabila. Toute la logistique de l’opération est en fait américaine. D’ailleurs pendant la guerre qui va bientôt éclater, des militaires américains seront tués. Leurs corps seront rapatriés discrètement grâce au concours des troupes françaises stationnées dans la région. Enfin, le régime de Mobutu est sur le point de s’effondrer », (Debré, 1998 : 162)
Et malgré tout ce fait probant, la propagande assure elle qu’un certain mouvement qui porterait le nombre 23 dans sa dénomination serait en train d’attaquer le Congo à l’Est. On y trouve également des congolais à la fois des « politiques » et autres « universitaires » qui, en relayant ce discours inexact, participent et à la désinformation et à la désorientation du congolais moyen. Dès lors, comment assurer la mobilisation effective de la masse aussi longtemps que ceux qui sont censés lui apporter la semence informative nécessaire à son engagement total à l’action émancipatrice la lui prive. Et lorsqu’on aperçoit ces gens dit de « M23 », l’absence d’orgueil individuel qui se lit dans leur comportement et voire dans leur accoutrement témoigne de leur vassalité. Ce qui me fait dire que l’humiliation que font subir l’Occident et plus particulièrement les Anglo-Saxons, à sa tête les USA sur les Congolais relève tout simplement de l’ordre du racisme.
Avec qui les Congolais devraient négocier et si seulement si la négociation ou encore le dialogue serait d’après cette catégorie des Congolais la seule et unique solution à leur portée et ce suivant ce qu’ils arrivent à saisir sur la nature profonde de la crise que le Congo traverse. Mais pas avec ce monstre de Frankstein, Paul Kagamé, que l’Occident a su se fabriquer juste tromper la vigilance, éviter d’apparaitre et opposer un groupe de « noirs » à d’autres « noirs ». La fonction qui est assignée et que Paul Kagamé assume ressemble à celle de « Kapita » d’antan et dont la mission fut de vendre leurs propres frères noirs aux négriers de triste mémoire.
L’homme « Africain » et selon ce qu’en pense Laurent Gbagbo qui rapporte ici une légende qui se raconte dans son pays la Côte-d’Ivoire se sent mieux lorsqu’on son frère ou sa sœur souffre:
« Un homme est allé en brousse. Et il y rencontré un génie. Le génie lui dit : – “moi, on ne me rencontre pas souvent. Tu as de la chance que tu m’aies rencontré. Demande-moi tout ce que tu veux. Je te le donnerai. Mais sache que ton voisin aura le double de ce que tu me demanderas” –
L’homme se dit mais c’est quoi je vais lui demander car si je lui demandais 100 000 dollars, mon voisin en aurait 200.000. Et si je lui demandais 500.000.000. Mon voisin en aurait 1 000 000 000. Non, il revient voir le génie et lui dit : “crève- moi un œil et ainsi tu crèveras les deux yeux du voisin” ».
Et Laurent Gbagbo de conclure : c’est ainsi que sont ce qu’il nomme lui les « Africains ». La crise qui secoue le Congo fait souffrir certains pays africains mais ils sont prêts à endurer leur souffrance tant que le Congo souffrira plus.
Dialoguer ou négocier avec Paul Kagamé équivaut à l’innocenter, à le dédouaner alors que les différents rapports établis par les forces qui l’ont armé et autorisé à pénétrer au Congo le chargent lui et son Rwanda de tous les maux commis sur le sol congolais. Même si l’homme s’en défendait. Le dialogue tel qu’il se prône est une forme d’insuffisance maladive dont souffrent ceux qui sont arrivés au pouvoir par la volonté de tiers.
Dialoguer pour s’entendre dire que les uns ont pris le pouvoir et que les autres qui courent après ces négociations en vue de se caser devraient s’en accommoder. C’est-à-dire arriver aux accords du genre d’Arusha ou encore de Sun City qui recommanderaient l’intégration au sein de l’armée nationale congolaise des anciens soldatesques d’un tel ou tel autre groupe armé qui sont fabriqués à dessein est suicidaire pour la nation comme il est la voie par excellence de sa désintégration. C’est le contraire de vœux exprimés par la majorité au Congo.
La position des associations des droits de l’homme au Congo, qui implorent à leur tour ce fameux dialogue-inter congolais, contraste avec la plupart de leurs publications dans lesquelles ces derniers ont toujours accusé les amis à Louis Michel au « pouvoir » à Kinshasa d’atteinte grave aux droits de l’homme et des personnes. Et au nom de la défense de leurs beefsteaks, elles sacrifient Chebeya au profit des intérêts de leurs bailleurs et qui se trouvent être les mêmes qui soutiennent le régime en place à Kinshasa. Ce qui fait dire à Vladimir Poutine que ce genre d’associations devrait justifier leur source de financement.
Que ceux qui cherchent à dialoguer parce qu’ils ne peuvent se battre pour inverser le rapport de force, qu’ils dialoguent alors et directement avec les Américains et/ou avec l’Occident comme c’est l’Occident qui a un problème avec le Congo. L’affirmer ou le reconnaitre comme tel signifie poser les vraies bases d’une véritable négociation. Du moins, les Congolais sauront à qui ils ont affaire. Et ce au lieu de tourner tout le temps autour du pot et assister indéfiniment à la répétition de la même histoire et crise. Il est temps qu’une nouvelle table ronde mais différente de celle « convoquée » en 1960 soit tenue entre les véritables acteurs en conflit : Le Congo et les USA. Un véritable dialogue ne doit jamais s’offrir mais il s’arrache et ce en sachant payer le vrai prix pour le mériter. Car les Anglo-saxons n’ont aucun intérêt à négocier avec ce type de « dialogueurs ». Ils sont déjà maîtres du Congo. Ils se payent et ce à moindre frais par le service de tous ces aventuriers ramassés à gauche et à droite qui font semblant de diriger le bateau Congo.
Pour nous et paraphrasant les Fedayin d’Iran, nous concluons que ” Le but de la lutte armée n’est pas, au début, de porter des coups militaires à l’ennemi, mais de lui porter des coups politiques. Le but est de montrer le chemin de la lutte aux révolutionnaires et au peuple, de leur faire prendre conscience de leur propre pouvoir et de leur montrer que l’ennemi est vulnérable. C’est aussi prouver que la lutte est possible, démasquer l’ennemi, et rendre le peuple conscient”, comme le souligne Maurice Joyeux.
Je m’assume et j’assume ce que je dis.
Likambo ya mabele, likambo ya makila
Mufoncol Tshiyoyo, homme politique congolais
Président national du Rassemblement pour l’alternative politique en RDC, R.A.P., en sigle
Mouvement Politico-militaire,
mufoncol_tshiyoyo@yahoo.com, 004745007236Et ce quand bien même ils seraient noblement intentionnés.
J’en ai assez de cette hypocrisie bien « congolaise » et de tous ces gens qui, s’autoproclamant leadership au Congo, manquent de courage à la fois humain et politique pour identifier et nommer le véritable adversaire contre lequel le pays est opposé. Comment combattre une force, quelqu’un ou un mal quand on craint de l’identifier, voire de lui donner un visage pour définir enfin les stratégies éventuelles pour le combat ?
Je m’insurge également conte tous ceux Congolais qui, signant des accords ici et là, attribuent le qualificatif de « partenaires » à ceux avec lesquels ils contactent lesdits accords pendant que ces derniers les considèrent et les traitent comme adversaires, voire ennemies et des proies éventuelles à consommer. Le partenariat ne se déploie qu’entre des forces égales. Et non entre d’un côté des indigents et de l’autre des seigneurs à qui tout réussi et de qui on attend le salut. Lorsque le schéma mental est faux, la pensée cesse d’être convenablement irriguée. Et le brouillard pèse sur la lisibilité.
Dans son livre intitulé « Le retour de Mwami/ La vraie histoire des génocides rwandais », Bernard Debré désigne nommément les USA comme responsable et centre de tout ce qui se trame au Congo et à l’Est de ce pays. Il écrit et je cite : « Sachons simplement que les Américains n’avaient aucun intérêt à ce que les Hutu remportent la victoire ; maintenir la paix aurait été signifié aux Tutsi qu’ils ne pouvaient espérer gagner la guerre et qu’on aboutirait de nouveau aux accords du type d’Arusha. De tout cela les Tutsi, donc les États-Unis, ne voulaient pas », (Debré, 1998 :131). Et pour corroborer cette lapalissade, Debré annonce la présence et la mort des militaires américains tués au Kivu. Mais par qui et contre qui ils se battaient alors que le Congo ne se trouve en situation de guerre, et même larvée, contre les USA. Peut-on savoir dans quelles conditions ils sont morts et pourquoi ces soldats américains devraient mourir au Congo ? Bernard Debré indique que « […] Les Tutsi, eux, bénéficient pour le moins de la « sympathie » des puissances anglophones. Les Américains, qui disposent de bases militaires en Ouganda, se montrent même prêts à donner quelques petits coups de main à Kabila. Toute la logistique de l’opération est en fait américaine. D’ailleurs pendant la guerre qui va bientôt éclater, des militaires américains seront tués. Leurs corps seront rapatriés discrètement grâce au concours des troupes françaises stationnées dans la région. Enfin, le régime de Mobutu est sur le point de s’effondrer », (Debré, 1998 : 162)
Et malgré tout ce fait probant, la propagande assure elle qu’un certain mouvement qui porterait le nombre 23 dans sa dénomination serait en train d’attaquer le Congo à l’Est. On y trouve également des congolais à la fois des « politiques » et autres « universitaires » qui, en relayant ce discours inexact, participent et à la désinformation et à la désorientation du congolais moyen. Dès lors, comment assurer la mobilisation effective de la masse aussi longtemps que ceux qui sont censés lui apporter la semence informative nécessaire à son engagement total à l’action émancipatrice la lui prive. Et lorsqu’on aperçoit ces gens dit de « M23 », l’absence d’orgueil individuel qui se lit dans leur comportement et voire dans leur accoutrement témoigne de leur vassalité. Ce qui me fait dire que l’humiliation que font subir l’Occident et plus particulièrement les Anglo-Saxons, à sa tête les USA sur les Congolais relève tout simplement de l’ordre du racisme.
Avec qui les Congolais devraient négocier et si seulement si la négociation ou encore le dialogue serait d’après cette catégorie des Congolais la seule et unique solution à leur portée et ce suivant ce qu’ils arrivent à saisir sur la nature profonde de la crise que le Congo traverse. Mais pas avec ce monstre de Frankstein, Paul Kagamé, que l’Occident a su se fabriquer juste tromper la vigilance, éviter d’apparaitre et opposer un groupe de « noirs » à d’autres « noirs ». La fonction qui est assignée et que Paul Kagamé assume ressemble à celle de « Kapita » d’antan et dont la mission fut de vendre leurs propres frères noirs aux négriers de triste mémoire.
L’homme « Africain » et selon ce qu’en pense Laurent Gbagbo qui rapporte ici une légende qui se raconte dans son pays la Côte-d’Ivoire se sent mieux lorsqu’on son frère ou sa sœur souffre:
« Un homme est allé en brousse. Et il y rencontré un génie. Le génie lui dit : – “moi, on ne me rencontre pas souvent. Tu as de la chance que tu m’aies rencontré. Demande-moi tout ce que tu veux. Je te le donnerai. Mais sache que ton voisin aura le double de ce que tu me demanderas” –
L’homme se dit mais c’est quoi je vais lui demander car si je lui demandais 100 000 dollars, mon voisin en aurait 200.000. Et si je lui demandais 500.000.000. Mon voisin en aurait 1 000 000 000. Non, il revient voir le génie et lui dit : “crève- moi un œil et ainsi tu crèveras les deux yeux du voisin” ».
Et Laurent Gbagbo de conclure : c’est ainsi que sont ce qu’il nomme lui les « Africains ». La crise qui secoue le Congo fait souffrir certains pays africains mais ils sont prêts à endurer leur souffrance tant que le Congo souffrira plus.
Dialoguer ou négocier avec Paul Kagamé équivaut à l’innocenter, à le dédouaner alors que les différents rapports établis par les forces qui l’ont armé et autorisé à pénétrer au Congo le chargent lui et son Rwanda de tous les maux commis sur le sol congolais. Même si l’homme s’en défendait. Le dialogue tel qu’il se prône est une forme d’insuffisance maladive dont souffrent ceux qui sont arrivés au pouvoir par la volonté de tiers.
Dialoguer pour s’entendre dire que les uns ont pris le pouvoir et que les autres qui courent après ces négociations en vue de se caser devraient s’en accommoder. C’est-à-dire arriver aux accords du genre d’Arusha ou encore de Sun City qui recommanderaient l’intégration au sein de l’armée nationale congolaise des anciens soldatesques d’un tel ou tel autre groupe armé qui sont fabriqués à dessein est suicidaire pour la nation comme il est la voie par excellence de sa désintégration. C’est le contraire de vœux exprimés par la majorité au Congo.
La position des associations des droits de l’homme au Congo, qui implorent à leur tour ce fameux dialogue-inter congolais, contraste avec la plupart de leurs publications dans lesquelles ces derniers ont toujours accusé les amis à Louis Michel au « pouvoir » à Kinshasa d’atteinte grave aux droits de l’homme et des personnes. Et au nom de la défense de leurs beefsteaks, elles sacrifient Chebeya au profit des intérêts de leurs bailleurs et qui se trouvent être les mêmes qui soutiennent le régime en place à Kinshasa. Ce qui fait dire à Vladimir Poutine que ce genre d’associations devrait justifier leur source de financement.
Que ceux qui cherchent à dialoguer parce qu’ils ne peuvent se battre pour inverser le rapport de force, qu’ils dialoguent alors et directement avec les Américains et/ou avec l’Occident comme c’est l’Occident qui a un problème avec le Congo. L’affirmer ou le reconnaitre comme tel signifie poser les vraies bases d’une véritable négociation. Du moins, les Congolais sauront à qui ils ont affaire. Et ce au lieu de tourner tout le temps autour du pot et assister indéfiniment à la répétition de la même histoire et crise. Il est temps qu’une nouvelle table ronde mais différente de celle « convoquée » en 1960 soit tenue entre les véritables acteurs en conflit : Le Congo et les USA. Un véritable dialogue ne doit jamais s’offrir mais il s’arrache et ce en sachant payer le vrai prix pour le mériter. Car les Anglo-saxons n’ont aucun intérêt à négocier avec ce type de « dialogueurs ». Ils sont déjà maîtres du Congo. Ils se payent et ce à moindre frais par le service de tous ces aventuriers ramassés à gauche et à droite qui font semblant de diriger le bateau Congo.
Pour nous et paraphrasant les Fedayin d’Iran, nous concluons que ” Le but de la lutte armée n’est pas, au début, de porter des coups militaires à l’ennemi, mais de lui porter des coups politiques. Le but est de montrer le chemin de la lutte aux révolutionnaires et au peuple, de leur faire prendre conscience de leur propre pouvoir et de leur montrer que l’ennemi est vulnérable. C’est aussi prouver que la lutte est possible, démasquer l’ennemi, et rendre le peuple conscient”, comme le souligne Maurice Joyeux.
Je m’assume et j’assume ce que je dis.
Likambo ya mabele, likambo ya makila
Mufoncol Tshiyoyo, homme politique congolais
Président national du Rassemblement pour l’alternative politique en RDC, R.A.P., en sigle
Mouvement Politico-militaire,
mufoncol_tshiyoyo@yahoo.com, 004745007236