FRANCE 24 – EN DIRECT – Info et actualités internationales en continu 24h/24
Author: Ntambue
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Planethoster.com Scammer Company
In the last couple of weeks, I’ve started receiving some scam invoices and I thought I’d share so people will know about this scam and what you need to do.
Here’s how the scam goes. You get a very real invoice in your inbox sent through PayPal. The invoice is purportedly from PlanetHoster. It has the PlanetHoster logo and is for domains that you actually own. It looks really legit.

You click on the View and Pay Invoice button, and see the invoice. You can login to your account and the invoice is there. Here’s one I got today.

I did in fact recently renew this domain with a few others, and the amount I paid was almost exactly what this invoice is for. However, look at the note at the bottom. The domain it lists is not the same as the one from above (that I blurred out) and it’s not a domain I own. That was my tip off.
So first I logged into my PlanetHoster account to see what was going on. The domains that I’m being invoiced for were already paid this month, by credit card not PayPal. And that’s another tip off. I normally pay for all my domains via credit card not PayPal, although it’s not unheard of for me to use PayPal. But it was definitely not right.
So I checked my PlanetHoster account and the domains had been paid. So I figured it was just a spoofed or fake email and had planned to just delete it.
But then on a hunch I logged into my PayPal account, and low and behold, I can see two unpaid invoices that match the two emails I got.

Obviously, the invoice is not showing from PlanetHoster on this screen, but if you click the invoice, they do have the PlanetHoster logo and show domain names I own.
So basically a scammer is sending real invoices through PayPal for domains you own, making it legit seem like something you need to pay. And since it’s a real invoice right in your PayPal account, if you send them payment, they get the money.
What should you do?
Pay attention to where the emails are coming from and how you typically pay for your domains. I normally pay via credit card, so the PayPal invoice was a new one. But it looked legit enough that I had to check into it.
If you get it, don’t pay it, obviously, and report it to PayPal. You can report it to PlanetHoster if you want, but since their system isn’t actually involved (just someone claiming to be them) there’s not much they can do.
Change your domain registration to private
The reason you are likely getting these is because scammers are looking at domain ownership information. They can see renewal dates, your name and info, and your domain registrar in the WHOIS database if it’s not private. It’s really obnoxious that you have to pay extra for the private service and if you don’t, you have to deal with this.
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Quel est le panorama de l’écosystème numérique en Afrique ?
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Malaria: Novartis étend un partenariat pour un nouveau médicament
Le géant pharmaceutique suisse Novartis a annoncé mercredi qu’il va étendre son partenariat avec la fondation suisse Medicines for Malaria Venture (MMV) pour développer une molécule antipaludique avec le soutien financier de la Fondation Bill & Melinda Gates.
L’accord avec MMV, une fondation créée en 1999 dans le cadre d’un partenariat public-privé à but non lucratif, fixe les conditions de développement de la molécule, dite KAF156, ainsi que sa disponibilité dans l’avenir, a indiqué le groupe bâlois dans un communiqué.
Cette molécule, qui appartient à une nouvelle classe d’antipaludiques, est l’un des premiers candidats médicaments contre cette maladie à entrer en phase IIb, qui correspond à l’étape intermédiaire des essais cliniques, depuis plus de 20 ans, a précisé Novartis.
Il agit contre les deux parasites responsables de la majorité des décès imputables au paludisme, le plasmodium falciparum et le plasmodium vivax, aux stades sanguin et hépatique du cycle de vie du parasite.
Il pourrait également fournir une posologie plus pratique et traiter le problème de la multirésistance aux médicaments qui a fait son apparition dans cinq pays de la sous-région du Grand Mékong.
“Avec un enfant qui meurt du paludisme toutes les deux minutes et la menace d’une résistance aux médicaments qui augmente d’année en année, il est vraiment urgent d’intensifier nos efforts partout dans le monde”, a déclaré Joseph Jimenez, le directeur général de Novartis, cité dans le communiqué.
Le groupe suisse avait mis en place il y a plus de quinze ans un programme d’accès aux médicaments, intitulé Novartis Malaria Initiative, qui vise à favoriser la recherche et à faciliter l’accès au médicaments.
Géré par Sandoz, sa filiale spécialisée sur les médicaments génériques, ce programme a fourni 750 millions de traitements à prix coûtant, dont 300 millions de traitements pédiatriques, depuis 2001, principalement pour le secteur public dans les pays où le paludisme est endémique.
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Il y a 40 ans, Soweto éclatait, tournant dans la lutte anti-apartheid
Le 16 juin 1976, des milliers d’écoliers descendent dans les rues du township de Soweto pour dénoncer l’imposition dans l’enseignement de l’afrikaans, la langue de l’oppresseur. La police riposte, c’est le bain de sang et le début de la fin de l’apartheid. 40 ans plus tard, d’anciens écoliers se rappellent ce jour où l’histoire de l’Afrique du Sud a basculé.
Dan Montsitsi préparait depuis des mois cette marche devenue historique. Mais “ni nos parents, ni les enseignants, ni la police n’étaient au courant”, raconte-t-il à l’AFP. Le jour J, “on n’en revenait pas du nombre d’écoliers qu’on avait réussi à convaincre” de manifester.
Les gamins, la plupart en uniforme d’école, brandissent des slogans peints sur des bouts de carton: “Au diable l’afrikaans”, “L’afrikaans pue”, “L’afrikaans doit être aboli”.
Imposer l’afrikaans à la majorité noire – qui le parle mal ou peu – était “une stratégie du régime de l’apartheid destiné à nous empêcher de réussir”, témoigne à l’AFP Joy Rabotapi, lycéen en 1976 à Soweto et aujourd’hui homme d’affaires.
“On était en train de chanter et danser au niveau de l’école d’Orlando West High quand la police est arrivée”, poursuit Dan. “Elle nous a donné cinq minutes pour nous disperser. On a refusé. Ils ont lâché un chien dans la foule. (…) On leur a rendu une dépouille. Ils étaient furieux évidemment, et ils ont lancé des gaz lacrymogènes”.
“On a répondu avec une pluie de pierres et ils ont commencé à tirer, le plus souvent dans le dos des écoliers pendant qu’on s’enfuyait”.
Le premier à tomber est Hector Pieterson, 13 ans. La photo en noir et blanc de son cadavre porté par un camarade en larmes, au côté de sa soeur effrayée, a fait le tour du monde. Elle suscite l’indignation internationale.
“On ne pensait pas que quelqu’un puisse mourir juste parce qu’il marchait dans la rue le poing levé, se rappelle Trofomo Sono, lycéen en 1976. Les garçons se protégeaient des balles avec des couvercles de poubelles.”
– ‘Pays en feu’ –
Dès le lendemain, “le pays est en feu”, se rappelle Dan. “Tout d’un coup, on ne craignait plus la police, ni les Afrikaners, on était prêts à se battre.”
L’Afrique du Sud s’enfonce dans des violences inédites depuis l’instauration du régime ségrégationniste en 1948. Quarante ans plus tard, le bilan précis des violences du 16 juin 1976 n’est pas toujours connu, mais en quelques mois, la répression a fait au moins 500 morts.
Le monde commence à prendre des sanctions contre le régime. En 1977, l’ONU décrète un embargo sur la vente d’armes à l’Afrique du Sud. Il faudra cependant attendre 1994 pour voir chuter le régime honni, et Nelson Mandela accéder au pouvoir.
C’est en arrivant près de Johannesburg, le 17 juin, que Granny Seape, étudiante à Fort Hare (sud-est), entend parler du soulèvement de Soweto. En arrivant dans le township, “on pouvait voir la fumée, les bâtiments en feu”.
Immédiatement, elle s’inquiète pour son petit frère, Hastings Ndlovu, 17 ans, élève à Soweto. “On l’a trouvé au bout de cinq jours à la morgue, dans une pile de corps.” Il avait été tué d’une balle entre les deux yeux.
Harcelée par la police, Granny décide de s’exiler. Elle ne reviendra en Afrique du Sud qu’après la libération en 1990 de Nelson Mandela.
Son frère adoré “a contribué à la libération de l’Afrique du Sud”, dit fièrement cette femme d’affaires aujourd’hui âgée de 59 ans.
“J’ai beaucoup de respect pour ces gamins”, explique le révérend Frank Chikane, qui a survécu à un empoisonnement pendant l’apartheid. Ils “ont changé l’Afrique du Sud”.
Aujourd’hui, “tous les Sud-Africains peuvent voter”, se réjouit Dan. Mais “la mixité raciale se fait encore de façon très très lente” à l’université, regrette-t-il.
Trofomo, sans emploi, ne cache pas son amertume. “Quand je vois la pauvreté, je me dis parfois que certains écoliers ont peut-être sacrifié leur vie pour rien.” Plus d’un quart de la population active, dont la moitié de moins de 35 ans, est aujourd’hui au chômage.
“Mais dans l’ensemble, je me dis quand même ça que valait le coup, conclut-il. Il y a la démocratie.”
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Congo: le général Mokoko placé en garde à vue
Le général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat malheureux à la présidentielle du 20 mars remportée par le président Denis Sassou Nguesso, a été placé en garde à vue mardi à la direction générale de surveillance du territoire (DGST) à Brazzaville, a annoncé à l’AFP son avocat.
“On vient de nous notifier son arrestation à 18H45 locales (17H45 GMT). Il est gardé à vue à la DGST”, a déclaré Me Yvon Eric Ibouanga.
“Pour l’instant, nous sommes encore dans l’enquête préliminaire concernant son dossier. On se réserve (le droit, NDLR) de révéler toutes les informations”, a-t-il ajouté.
Selon des témoins, M. Mokoko a été escorté mardi à la DGST par plusieurs policiers.
Jeudi dernier, le ministre de la justice, Pierre Mabiala, avait réclamé l’accélération de la procédure contre le général Mokoko.
Ancien chef d’Etat-major des armées du Congo de 1987 à 1993, passé par l’École supérieure militaire (ESM) de Saint-Cyr en France, le général Mokoko a été jusqu’à début février représentant spécial de la présidente de la Commission de l’Union africaine (UA) en Centrafrique.
Il a démissionné début février de son poste de conseiller du président Sassou Nguesso chargé des questions de paix et de sécurité, qu’il occupait depuis 2005, pour se porter candidat à l’élection présidentielle du 20 mars, où il a recueilli moins de 14% de voix.
Le scrutin a été remporté par M. Sassou Nguesso, avec plus de 60% de suffrages, des résultats officiels qualifiés de “forfaiture” par cinq opposants, dont le général Mokoko.
Le général est mis en cause dans une vidéo tournée en 2007 le montrant discutant d’un plan visant à chasser M. Sassou Nguesso du pouvoir avec un homme dont on ne voit pas le visage et se présentant comme appartenant au service de renseignement extérieur de la France (la DGSE).
A la veille de la présidentielle, M. Mokoko a été entendu plus d’une fois dans cette affaire par la police.
Depuis l’élection, il vit en résidence surveillée dans sa maison du centre-ville de Brazzaville.
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Joseph Kabila investit les membres de la Commission nationale des droits de l’homme
Le chef de l’Etat de la RDC a investi samedi 4 avril les neuf membres de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH). Parmi eux, on compte six hommes et trois femmes.
La Commission nationale des droits de l’homme est chargée de la promotion et de la protection des droits de l’homme en RDC. Ses membres ont été désignés par des organisations de la société civile sous l’arbitrage du bureau de l’Assemblée nationale, a déclaré le président de la chambre basse du Parlement, Aubin Minaku, lors de leur entérinement.
Les neuf membres de la CNDH sont:
- Fernandez Murhola
- Chantal Nembuzu
- Guilain Embusa
- Kenge Tshilombay
- Amuri Lumumba
- Muamba Mushikonke
- Astrid Bilonda
- Belinda Luntandila
- Olivier Wala Wala
La loi instituant la commission des droits de l’homme avait été votée en décembre 2012 au Parlement.
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Caf-C2: «Nous sommes obligés de gagner», affirme le coach de MK
L’entraîneur de FC MK, Bruno Bla, a déclaré que son équipe devrait impérativement se qualifier pour les 8e de finale de la coupe de la confédération- Caf, ce vendredi 3 avril lors du match retour entre son équipe et celle du Soudan du Sud, El Ahly Shendy, au stade Tata Raphael de Kinshasa.
Au cours du point de presse d’avant match jeudi 2 avril au siège de la Fecofa, Bruno Bla a affirmé :
«C’est vrai que nous n’avons pas encore remporté un match à domicile. Mais ce qui importe dans ce genre de compétition, c’est la qualification. Et c’est vrai que demain si par malheur, nous faisons un nul, nous serons éliminés. Donc, nous sommes obligés de gagner. Quoi qu’il arrive, qu’il pleuve, qu’il neige, quelles que soient les intempéries qui peuvent arriver, on doit se qualifier. D’abord, pour le faire il faut gagner. Donc, on est devant un mur de résultat et nous sommes assujettis à ce résultat-là.»
Selon lui, la tradition consistant à ne pas gagner à domicile doit être annulée ce vendredi.
Le coach Bla a indiqué que ses poulains se sont déjà préparer à cet effet, tant mentalement que psycholoquement:
«J’essaye modestement de ne pas mettre la pression sur les joueurs, parce que la pression est inhérente au sport de haut niveau. Donc, on essaye de l’évacuer. Mais qu’ils (joueurs) soient conscients, prêts demain pendant une heure et demie à jouer leur va-tout contre une belle équipe du Soudan du Sud.»
De son côté, le capitaine de MK, Dark Kabangu, a lancé un appel au soutien du public:
«Je dirais juste que MK n’est pas un club du Rwanda ou de Burundi, mais une équipe de la RDC. Donc, je demanderais au public de venir nombreux pour nous encourager et non de venir nous insulter. Et par rapport à ça, je m’aimerais m’excuser auprès [des supporters] de Vclub : qu’ils viennent vraiment nous aider à pouvoir gagner ce match pour avoir notre qualification».
Pr ailleurs, El Ahly Shendy sejourne dans la capitale congolaise depuis mardi 31 mars. Le club sud-soudanais a procédé ce jeudi à la reconnaissance du terrain du stade Tata Raphael à l’heure du match (14H30′ TU).
MK est tenu de remporter ce match par au moins un but d’écart pour se qualifier en 8e de finale de la coupe de la confédération. Car au match aller disputé dernièrement à Juba, les Kinois avaient perdu par 1-2. En cas de qualification, ce serait une première pour l’équipe de Lemba (centre Est de Kinshasa).
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Foot-Transfert: Anderlecht risque l’exclusion dans l’affaire Kabananga
Le Royal Sporting club Anderlecht risque d’être exclu de toutes compétitions européennes, selon le magazine français So Foot. A la base, le club bruxellois est accusé de n’avoir pas respecté les procédures de transfert lors de l’acquisition de joueur congolais Junior Kabananga auprès du FC MK de Kinshasa. L’international congolais Junior Kabananga avait fait ses débuts au sein du club kinois des Aigles Verts.
Selon le magazine français, Junior Kabananga, joueur du club des Aigles verts, a été recruté par le président du FC MK, Max Mokey qui l’a ensuite transféré au Sporting d’Anderlecht en 2010.
Lésé, le club kinois des Aigles verts a réclamé en vain ses indemnités. Une année plus tard, le secrétaire sportif des Aigles Verts, Jean-Pierre Bongwalanaga, a écrit à Herman Van Holsbeeck d’Anderlecht pour réclamer la somme de 100 000 euros comme indemnité.
Le club kinois a fait cette réclamation en conformité du règlement de la Fédération internationale de football association (Fifa) qui recommande à “tout club acquéreur de s’acquitter des indemnités de formation lorsqu’il achète un joueur”.
Or, aidé de l’avocat Laurent Denis, la direction anderlechtoise monte un dossier afin d’éviter de débourser le moindre centime au club des Aigles verts, indique le magazine So Foot.
«Nous sommes une petite équipe sans moyens, et cette indemnité est primordiale pour que nous puissions nous financer et nous développer à l’avenir», a rapporté le secrétaire général des Aigles verts, Jean-Pierre Bongwalanaga au magazine à So Foot qui a enqu^été sur le dossier.
Tourné en bourrique dans ce transfert, le secrétaire général des Aigles verts a jugé bon de saisir la Fifa et appuie son dossier par le fait que le Sporting club Anderlecht aurait falsifié un document.
Chose que ne tolère pas la Fifa. Son règlement est plus clair là-dessus:
«Celui qui, dans le cadre d’une activité liée au football, crée un titre faux, falsifie un titre, ou utilise un titre faux ou falsifié ayant une portée juridique sera sanctionné d’une amende », avant de préciser dans son cinquième paragraphe: «Un club peut être tenu responsable d’une violation telle que définie à l’alinéa 1 du présent article commise par l’un de ses officiels et/ou joueurs. Dans un tel cas, outre une amende, le club concerné peut être sanctionné de l’exclusion d’une compétition et/ou d’une interdiction de transfert».
L’organe faitier du football mondial enquête sur ce dossier de transfert.
A l’instar du FC Barcelone, sanctionné d’une interdiction de mercato jusqu’à janvier 2016 pour des infractions dans le recrutement de joueurs mineurs, Anderlecht pourrait aussi se voir interdire l’accès au marché des transferts, voire pire. En effet, la FIFA pourrait décider d’exclure le club bruxellois de toutes compétitions européennes.
Interrogé samedi 4 avril sur Radio Okapi, Max Mokey estime qu’il ne doit pas être impliqué dans le dossier de transfert de Junior Kabananga qui date d’environ cinq ans.
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Caf-C2: MK qualifié en 8è de finale
La formation kinoise de MK a atomisé, vendredi 3 avril, El Ahly Shendi de Juba (Soudan du Sud) sur la marque de cinq buts à un, en match-retour de la Coupe de la Confédération, joué au stade Tata Raphaël de Kinshasa. Les poulains de l’entraîneur ivoirien Bruno Bla ont entamé la rencontre sur les chapeaux de roues, en marquant dès la troisième minute par le capitaine Dark Kabangu.
Les Rouges et or de Lemba n’ont pas cessé d’appuyer sur l’accélérateur et réussissent à alourdir la marque à la 13è minute grâce à Mombo Lusala. A deux zéro, les joueurs de MK ont pris possession du terrain et dominent leurs adversaires sur le plan tactique et physique.
A la 28è minute, le capitaine de MK, Dark Kabangu va permettre à son club de marquer le troisième but avant d’être copié deux minutes après par son coéquipier Losiyo Bofumbo.
Le Club soudanais d’El Ahly Shendi a réussi à réduire le score à la 39è minute grâce à son attaquant Saeed Moustafa.
C’est sur le score de quatre buts à un que les deux équipes ont terminé la première mi-temps.
Au retour des vestiaires, les joueurs de MK n’ont pas permis à leurs adversaires de développer leur jeu. A la 49è minute, Ngoma Lwamba va alourdir la marque et ce score de 5 buts à un est resté inchangé jusqu’au coup de sifflet final de l’arbitre.
Cette victoire a permis à l’équipe chère à Max Mokey de se qualifier, pour la première fois de son histoire, en huitièmes de finale de la Coupe de la Confédération de la Caf.
MK a ainsi réalisé son premier succès à domicile en campagne africaine.
En match-aller, disputé à Juba (Soudan du Sud), MK s’était incliné sur le score d’un but contre deux.
