Tag: cameroun

  • CAN 2019 : le Cameroun dans l’attente de la décision de la CAF

    CAN 2019 : le Cameroun dans l’attente de la décision de la CAF

    Le Comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF), qui se réunit le vendredi 30 novembre, prendra une décision importante : il décidera si le Cameroun organisera ou non la première CAN à 24 de l’histoire, l’année prochaine (15 juin-13 juillet).

    Les membres du Comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) sont arrivés jeudi 29 novembre en ordre dispersé à Accra, la capitale du Ghana, et pas seulement pour assister à la fin de la Coupe d’Afrique des nations féminine, dont la finale, entre le Nigeria et l’Afrique du Sud, est prévue dimanche 2 décembre. Car le 30 novembre, toute l’Afrique en général et le Cameroun en particulier devraient être suspendus à la décision de l’instance, pour un sujet devenu hautement sensible : celui de la CAN 2019.

    Depuis plusieurs mois, et même un peu plus, une des occupations essentielles de tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin aux affaires du football africain consiste à spéculer sur un éventuel retrait de la compétition au Cameroun, et de la voir confiée à un autre pays, le Maroc par exemple.

    Le 30 novembre, la CAF devrait prendre une décision définitive, mais pourrait ne pas la communiquer dans la foulée. Soit la CAN aura bien lieu au Cameroun, et le débat sera clôt. Soit elle lui retirera l’organisation, avant de lancer un appel à candidatures auquel répondront les pays volontaires. Et parmi eux, on mettrait bien une pièce sur le Maroc…


    >>> À LIRE – Cameroun : « La CAF n’a pas de plan B » pour la CAN 2019, assure Ahmad Ahmad


    L’UNAF met la pression, le Maroc tout en retenue

    Du côté de Rabat, la mesure est de mise. Même si certains marocains rêvent plus ou moins ouvertement de récupérer l’événement le plus couru du sport africain, personne, et surtout pas en haut lieu, n’a eu le mauvais goût d’y faire officiellement allusion. Pas plus tard que le 26 novembre, lors d’une conférence de presse, Fouzi Lekjâa, le président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF) et Hervé Renard, le sélectionneur français des Lions de l’Atlas déjà qualifiés pour la phase finale, ont assuré le Cameroun de tout leur soutien, tout en confirmant que gagner la CAN serait l’objectif du Maroc.

    Une déclaration pleine d’empathie, intervenue juste après la divulgation d’un courrier adressé à la CAF par l’Union nord-africaine de football (UNAF) – et dont le Maroc fait partie – à l’issue de son Assemblée générale organisée à Rabat, et où cette organisation régionale réclamait le strict « respect du cahier des charges pour l’organisation de la CAN 2019. » Un courrier qui a fortement déplu au Cameroun, alors qu’un dirigeant d’une fédération africaine s’est gondolé en lisant les propos du duo Lekjâa-Renard : « Le Maroc, diplomatiquement, ne peut rien faire d’autre que soutenir le Cameroun. La lettre de l’UNAF est forcément un moyen de faire pression sur la CAF. En Afrique, où des gens s’interrogent sur la capacité du Cameroun à respecter les délais, tout le monde sait que le Maroc a tout ce qu’il faut pour accueillir la CAN. Tout est prêt au cas où ! »

    Quatre missions d’inspection

    La CAF, depuis qu’elle a validé la réforme de sa compétition en juillet 2017, a modifié le cahier des charges, exigeant notamment que six stades (Douala, Garoua, Limbé, Bafoussam et deux à Yaoundé), soient retenus, contre quatre pour une édition à 16. Et Ahmad Ahmad, le président malgache de la CAF, a plusieurs fois rappelé le Cameroun à ses obligations, évoquant des retards pris sur certains chantiers, regrettant même, en août 2017, « l’inertie du Cameroun. »

    Quatre missions ont été effectuées sur place pour faire le point sur l’avancée des travaux (stades, terrains d’entraînement, voies d’accès, hôtellerie, communication…) dont la dernière a été réalisée du 10 au 15 novembre dernier. Au mois d’octobre, une délégation conduite par le Djibrilla Hima Hamidou, colonel de l’armée nigérienne et président de la Fédération de football de son pays, avait pour thème principal la situation sécuritaire. Car le Cameroun traverse une période agitée politiquement, avec la crise anglophone et les fréquentes attaques terroristes des islamistes de Boko Haram dans le Nord.

    Ahmad joue l’apaisement

    Lors de sa rencontre avec Paul Biya à Yaoundé le 2 octobre dernier, juste avant l’élection présidentielle camerounaise qui a conduit à la réélection du chef de l’État, Ahmad Ahmad avait tenu des propos un peu plus rassurants, affirmant que « la CAF n’a pas de plan B, et n’avait pas réfléchi à un retrait de la CAN au Cameroun. » Le Malgache avait plusieurs fois répété avant son voyage en Afrique centrale que la CAF ne prendrait aucune décision avant la présidentielle camerounaise, afin de ne pas perturber la campagne électorale. Et Paul Biya avait assuré à son invité que tout serait prêt pour organiser la grande fête du football africain.

    L’origine de l’article >>

  • Mini-sommet à N’Djamena pour coordonner la lutte contre Boko Haram

    Mini-sommet à N’Djamena pour coordonner la lutte contre Boko Haram

    Les présidents du Nigeria, du Niger et du Tchad, ainsi que le Premier ministre camerounais, étaient réunis jeudi 29 novembre à N’Djamena pour un mini-sommet consacré à la lutte contre le groupe jihadiste Boko Haram, dont les attaques se sont récemment intensifiées dans la région du lac Tchad.

    Les présidents du Nigeria, Muhammadu Buhari, et du Niger, Mahamadou Issoufou, ainsi que le Premier ministre camerounais Philémon Yang sont arrivés jeudi 29 novembre pour une réunion à huis clos avec le président tchadien Idriss Déby Itno.

    La rencontre a porté sur « la situation sécuritaire dans le lac Tchad », région touchée par les attaques de Boko Haram, dont le « regain » préoccupe les dirigeants, selon une source diplomatique tchadienne.

    Ces quatre pays sont membres de la Commission du bassin du lac Tchad (CBLT), engagée dans la lutte contre Boko Haram, un groupe né en 2009 au Nigeria et qui s’est scindée en 2015 en deux branches, dont l’une est affiliée à l’organisation de l’Etat islamique (EI).

    Boko Haram a récemment accru ses raids et autres attaques visant notamment l’armée nigériane.

    >>> À LIRE – Lac Tchad : quelle réorganisation de Boko Haram se cache derrière la recrudescence des attaques ?

    Mi-novembre, la branche de Boko Haram qui a prêté allégeance au groupe à l’EI a revendiqué la mort de 118 soldats au cours d’une série d’attaques dans la région du lac Tchad, particulièrement au Nigeria. Jeudi, un officier nigérian a déclaré qu’une autre base proche du lac Tchad avait été attaquée mardi par Boko Haram et que les soldats, qui ont perdu trois des leurs, avaient été « écrasés » par les insurgés.

    Les pays voisins touchés

    Au Cameroun, au moins 29 personnes ont été blessées mercredi dans un attentat-suicide perpétré par une femme à Amchidé (Extrême-nord), ville proche de la frontière nigériane.

    Le président Buhari avait promis lors de la campagne de la présidentielle de 2015 d’éradiquer le groupe jihadiste et avait assuré, quelques mois après son élection, que Boko Haram était « techniquement vaincu ».

    Candidat à sa propre succession pour la présidentielle de février prochain, il doit faire face à un bilan sécuritaire très critiqué.

    Il a déclaré mercredi devant des hauts gradés que Boko Haram devait être « éliminé de la surface de la terre » mais ses soldats déployés dans le Nord-Est se sont plaints à plusieurs reprises de manquer d’armes et de vivres.

    Une Force multinationale mixte appuyée par l’Occident et regroupant des militaires du Tchad, du Cameroun, du Niger et du Nigeria, a été créée en 2015 pour surveiller le lac Tchad, avec l’aide de comités de vigilance composés de citoyens locaux.

    Plus de 27 000 personnes ont perdu la vie depuis le début de l’insurrection jihadiste en 2009 au Nigeria et 1,8 million de personnes ne peuvent toujours pas regagner leurs foyers.

    L’origine de l’article >>

  • Cameroun : Maurice Kamto en froid avec Protais Ayangma, figure du patronat

    Cameroun : Maurice Kamto en froid avec Protais Ayangma, figure du patronat

    Maurice Kamto, le candidat arrivé en deuxième position à la présidentielle du 7 octobre, avait espéré que le quotidien « Mutations », détenu par Protais Ayangma, une figure du patronat, se mettrait au service de sa campagne.

    En 2009, Protais Ayangma avait échoué à prendre la tête de l’organisation patronale Gicam, dont il était le vice-président. Depuis, il n’a pas chômé : il a fondé Entreprises du Cameroun (Ecam), un groupement de PME, et a dirigé l’assureur Saham Cameroun (jusqu’en 2015). Aujourd’hui, il préside le conseil d’administration de Saham Congo et, au sein de son cabinet de conseil Prévoyance-Assurance-Assistance (P2A), il travaille à la création d’une compagnie sous-régionale de réassurance.

    À 67 ans, Ayangma est plus qu’une figure du patronat. Un temps haut placé dans la hiérarchie du Grand Orient et Loges unis du Cameroun (GoLuc), il est aussi propriétaire du quotidien Mutations.

    L’origine de l’article >>

  • Cameroun: un prêtre tué en zone anglophone

    Cameroun: un prêtre tué en zone anglophone


    Par
    RFI

    Publié le 23-11-2018
    Modifié le 23-11-2018 à 08:14

    Au Cameroun, un nouveau prêtre a été tué par des hommes armés en zone anglophone. De nationalité kenyane, le prêtre se trouvait au Cameroun depuis un peu plus d’un an. Il a été tué par balles alors qu’il se trouvait devant son église. L’identité de ses bourreaux demeure confuse mais des témoignages concordants indiquent que les assaillants portaient des tenues militaires.

    Le père Cosmas Omboto Ondari a été tué dans l’après-midi de mercredi autour de 15 heures. Il se trouvait devant la paroisse de Kembong, où il servait comme vicaire, lorsque soudain ont débarqué dans une voiture des hommes armés, habillés en treillis militaire.

    Ils se sont mis à tirer en direction de l’église, faisant fuir les personnes qui se trouvaient là et qui ont couru se réfugier à l’intérieur du bâtiment. Le père Cosmas n’aura pas la même chance: il sera atteint de plusieurs balles, dont certaines mortelles, en plein thorax.

    Le chef de division de la communication de l’armée camerounaise, le colonel Didier Badjeck, a indiqué qu’il s’agissait d’un assassinat ignoble, un acte perfide réalisé par les sécessionnistes qui auraient ainsi voulu faire porter l’accusation sur l’armée.

    La mort de ce jeune prêtre ordonné le 26 mars 2017, porte à au moins 4 le nombre de religieux tués depuis le déclenchement de la crise armée dans les régions anglophones du sud-ouest et du nord-ouest. Avant ce prêtre kenyan, un pasteur américain avait été tué par balle, lui aussi, fin octobre, dans les environs de Bamenda.

    Read More

  • Cameroun: la conférence générale anglophone une nouvelle fois reportée

    Cameroun: la conférence générale anglophone une nouvelle fois reportée

    Avec le compte existant de…

    {* loginWidget *}

    Avec un compte habituel

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Bienvenue !

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Votre compte a été désactivé

    Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. Consultez votre boite mail pour valider votre adresse en cliquant sur le lien figurant dans le mail de confirmation ou entrez à nouveau votre adresse email pour recevoir une nouvelle fois le mail de confirmation.

    {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resendVerificationForm *}

    Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Se connecter

    {* #registrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *} En cliquant sur “Créer un compte”, vous confirmez que vous acceptez nos  

    conditions générales

      et que vous avez lu et approuvé la 

    politique de protection de données personnelles

    .

    {* /registrationForm *}

    Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l’adresse suivante  {* emailAddressData *}.  Merci de consulter votre boîte de réception et de cliquer sur le lien pour activer votre compte..

    Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe

    {* #forgotPasswordForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /forgotPasswordForm *}

    Nous vous avons envoyé un email avec les instructions pour créer un nouveau mot de passe. Votre mot de passe actuel n’a pas été changé

    {* mergeAccounts {“custom”: true} *}

    {| foundExistingAccountText |} {| current_emailAddress |}.

    {| rendered_existing_provider_photo |}

    {| existing_displayName |}
    {| existing_provider_emailAddress |}

    Created {| existing_createdDate |} at {| existing_siteName |}

    Validating

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Merci d’avoir confirmé votre adresse email

    {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resendVerificationForm *}

    Vérifiez vos emails pour récupérer le lien de changement de mot de passe

    Merci d’avoir confirmé votre adresse email

    {* #changePasswordFormNoAuth *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *}

    {* /changePasswordFormNoAuth *}

    Votre mot de passe a été mis à jour avec succès.

    Nous n’avons pas reconnu le code de modification de mot de passe. Entrez à nouveau votre adresse email pour recevoir un nouveau code

    {* #resetPasswordForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resetPasswordForm *}

    Nous vous avons envoyé un email avec les instructions pour créer un nouveau mot de passe. Votre mot de passe actuel n’a pas été changé

    Modifier votre compte

    Photo de profil

    {* photoManager *}

    Comptes liés

    {* linkedAccounts *} {* #linkAccountContainer *}

    Vous pourrez désormais vous connecter à votre compte via ces identifiants

    {* loginWidget *}

    {* /linkAccountContainer *}

    Mot de passe

    Désactiver le compte

    Infos sur le compte

    {* #editProfileModalForm *}

    {* source *}

    {* publicPrivate *} {* journalistContact *} {* addressState *} {* aboutMe *} {* usernameTwPublic *} {* preferedContactLanguages *} {* arabicUsername *} {* persianUsername *} {* skypeId *} {* usernameTw *} {* journalistContact *} {* publicPrivate *} {* profession *}

    Souscrire aux newsletters

    {* newsMenu *} {* optinalert *} {* optinBestofWeek *} {* optinBestofWEnd *} {* optinBestofObs *}

    {* newsMenuEn *} {* optinalertEn *} {* optinBestofWeekEn *} {* optinBestofWEndEn *} {* optinBestofObsEn *}

    {* newsMenuAr *} {* optinalertAr *} {* optinBestofWeekAr *} {* optinBestofWEndAr *} {* optinBestofObsAr *}

    {* optinQuotidienne *} {* optinBreaking *}

    {* optinAutopromo *} {* optinPartenaires *}

    {* optinActuMonde *} {* optinActuAfrique *} {* optinAlert *} {* optinRfiAfriqueFootFr *} {* optinMfi *} {* optinActuMusique *} {* optinOffreRfi *} {* optinOffrePartenaire *}

    {* savedProfileMessage *}

    {* /editProfileModalForm *}

    {* #changePasswordForm *} {* currentPassword *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *}

    {* /changePasswordForm *}

    Etes-vous sûre de vouloir désactiver votre compte ? Vous n’aurez plus accès à votre profil

    {* deactivateAccountForm *}

    {* /deactivateAccountForm *}

    Read More

  • Cameroun: «le président de l’Ambazonie» restera en prison

    Cameroun: «le président de l’Ambazonie» restera en prison

    Avec le compte existant de…

    {* loginWidget *}

    Avec un compte habituel

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Bienvenue !

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Votre compte a été désactivé

    Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. Consultez votre boite mail pour valider votre adresse en cliquant sur le lien figurant dans le mail de confirmation ou entrez à nouveau votre adresse email pour recevoir une nouvelle fois le mail de confirmation.

    {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resendVerificationForm *}

    Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Se connecter

    {* #registrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *} En cliquant sur “Créer un compte”, vous confirmez que vous acceptez nos  

    conditions générales

      et que vous avez lu et approuvé la 

    politique de protection de données personnelles

    .

    {* /registrationForm *}

    Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l’adresse suivante  {* emailAddressData *}.  Merci de consulter votre boîte de réception et de cliquer sur le lien pour activer votre compte..

    Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe

    {* #forgotPasswordForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /forgotPasswordForm *}

    Nous vous avons envoyé un email avec les instructions pour créer un nouveau mot de passe. Votre mot de passe actuel n’a pas été changé

    {* mergeAccounts {“custom”: true} *}

    {| foundExistingAccountText |} {| current_emailAddress |}.

    {| rendered_existing_provider_photo |}

    {| existing_displayName |}
    {| existing_provider_emailAddress |}

    Created {| existing_createdDate |} at {| existing_siteName |}

    Validating

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Merci d’avoir confirmé votre adresse email

    {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resendVerificationForm *}

    Vérifiez vos emails pour récupérer le lien de changement de mot de passe

    Merci d’avoir confirmé votre adresse email

    {* #changePasswordFormNoAuth *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *}

    {* /changePasswordFormNoAuth *}

    Votre mot de passe a été mis à jour avec succès.

    Nous n’avons pas reconnu le code de modification de mot de passe. Entrez à nouveau votre adresse email pour recevoir un nouveau code

    {* #resetPasswordForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resetPasswordForm *}

    Nous vous avons envoyé un email avec les instructions pour créer un nouveau mot de passe. Votre mot de passe actuel n’a pas été changé

    Modifier votre compte

    Photo de profil

    {* photoManager *}

    Comptes liés

    {* linkedAccounts *} {* #linkAccountContainer *}

    Vous pourrez désormais vous connecter à votre compte via ces identifiants

    {* loginWidget *}

    {* /linkAccountContainer *}

    Mot de passe

    Désactiver le compte

    Infos sur le compte

    {* #editProfileModalForm *}

    {* source *}

    {* publicPrivate *} {* journalistContact *} {* addressState *} {* aboutMe *} {* usernameTwPublic *} {* preferedContactLanguages *} {* arabicUsername *} {* persianUsername *} {* skypeId *} {* usernameTw *} {* journalistContact *} {* publicPrivate *} {* profession *}

    Souscrire aux newsletters

    {* newsMenu *} {* optinalert *} {* optinBestofWeek *} {* optinBestofWEnd *} {* optinBestofObs *}

    {* newsMenuEn *} {* optinalertEn *} {* optinBestofWeekEn *} {* optinBestofWEndEn *} {* optinBestofObsEn *}

    {* newsMenuAr *} {* optinalertAr *} {* optinBestofWeekAr *} {* optinBestofWEndAr *} {* optinBestofObsAr *}

    {* optinQuotidienne *} {* optinBreaking *}

    {* optinAutopromo *} {* optinPartenaires *}

    {* optinActuMonde *} {* optinActuAfrique *} {* optinAlert *} {* optinRfiAfriqueFootFr *} {* optinMfi *} {* optinActuMusique *} {* optinOffreRfi *} {* optinOffrePartenaire *}

    {* savedProfileMessage *}

    {* /editProfileModalForm *}

    {* #changePasswordForm *} {* currentPassword *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *}

    {* /changePasswordForm *}

    Etes-vous sûre de vouloir désactiver votre compte ? Vous n’aurez plus accès à votre profil

    {* deactivateAccountForm *}

    {* /deactivateAccountForm *}

    Read More

  • Cameroun anglophone: nouveaux affrontements entre armée et séparatistes

    Cameroun anglophone: nouveaux affrontements entre armée et séparatistes


    Par
    RFI

    Publié le 14-11-2018
    Modifié le 14-11-2018 à 18:00

    Au Cameroun, les violences continuent dans les régions anglophones. Ces 12 et 13 novembre, des affrontements entre forces de l’ordre et séparatistes armés ont fait 53 morts côté sécessionnistes, selon un bilan communiqué par l’armée régulière, l’un des plus lourds de ces dernières semaines.

    Dans la zone anglophone du Cameroun, un premier accrochage entre l’armée et les séparatistes armés a fait 19 morts ce 12 novembre, selon le chef de la division de la communication de l’armée camerounaise, le colonel Didier Badjeck.

    Les faits ont eu lieu à Mbot, une localité proche de la ville de Nkambé, chef-lieu du département du Donga-Mantung, au nord de la région. Suite à un ratissage de la zone, sept corps ont également été retrouvés, ce qui porte à 26 le nombre de sécessionnistes tués ce jour-là.

    « Un enfer »

    Le lendemain, les violences se sont déroulées à trois kilomètres de là, dans la localité de Ndu. Toujours selon l’armée, les séparatistes ont attaqué la brigade de gendarmerie et un bâtiment officiel. La riposte a fait 27 morts parmi les combattants surnommés « Amba boys », de « Ambazonie », nom donné à la zone anglophone du Cameroun.

    Aucune perte n’a été enregistrée du côté des forces de l’ordre. Deux soldats ont été légèrement blessés. « Cette guerre est réelle, a déclaré sur Facebook Mark Bareta, l’un des principaux propagandistes des groupes armés sur les réseaux sociaux. Cela a été un enfer à Donga-Mantung. Nous avons pu voir nos pertes ».

    Depuis plusieurs mois, les combats sont quasi-quotidiens dans la zone. Selon les ONG, plus de 200 membres de forces de sécurité ont perdu la vie et 500 civils sont morts alors que 437 000 personnes ont fui leur domicile, selon les derniers chiffres des Nations unies publiés début octobre.

    Read More

  • Cameroun: arrestation d’une journaliste anglophone

    Cameroun: arrestation d’une journaliste anglophone

    Avec le compte existant de…

    {* loginWidget *}

    Avec un compte habituel

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Bienvenue !

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Votre compte a été désactivé

    Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. Consultez votre boite mail pour valider votre adresse en cliquant sur le lien figurant dans le mail de confirmation ou entrez à nouveau votre adresse email pour recevoir une nouvelle fois le mail de confirmation.

    {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resendVerificationForm *}

    Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Se connecter

    {* #registrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *} En cliquant sur “Créer un compte”, vous confirmez que vous acceptez nos  

    conditions générales

      et que vous avez lu et approuvé la 

    politique de protection de données personnelles

    .

    {* /registrationForm *}

    Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l’adresse suivante  {* emailAddressData *}.  Merci de consulter votre boîte de réception et de cliquer sur le lien pour activer votre compte..

    Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe

    {* #forgotPasswordForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /forgotPasswordForm *}

    Nous vous avons envoyé un email avec les instructions pour créer un nouveau mot de passe. Votre mot de passe actuel n’a pas été changé

    {* mergeAccounts {“custom”: true} *}

    {| foundExistingAccountText |} {| current_emailAddress |}.

    {| rendered_existing_provider_photo |}

    {| existing_displayName |}
    {| existing_provider_emailAddress |}

    Created {| existing_createdDate |} at {| existing_siteName |}

    Validating

    {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *}

    {* /signInForm *}

    Merci d’avoir confirmé votre adresse email

    {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resendVerificationForm *}

    Vérifiez vos emails pour récupérer le lien de changement de mot de passe

    Merci d’avoir confirmé votre adresse email

    {* #changePasswordFormNoAuth *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *}

    {* /changePasswordFormNoAuth *}

    Votre mot de passe a été mis à jour avec succès.

    Nous n’avons pas reconnu le code de modification de mot de passe. Entrez à nouveau votre adresse email pour recevoir un nouveau code

    {* #resetPasswordForm *} {* signInEmailAddress *}

    {* /resetPasswordForm *}

    Nous vous avons envoyé un email avec les instructions pour créer un nouveau mot de passe. Votre mot de passe actuel n’a pas été changé

    Modifier votre compte

    Photo de profil

    {* photoManager *}

    Comptes liés

    {* linkedAccounts *} {* #linkAccountContainer *}

    Vous pourrez désormais vous connecter à votre compte via ces identifiants

    {* loginWidget *}

    {* /linkAccountContainer *}

    Mot de passe

    Désactiver le compte

    Infos sur le compte

    {* #editProfileModalForm *}

    {* source *}

    {* publicPrivate *} {* journalistContact *} {* addressState *} {* aboutMe *} {* usernameTwPublic *} {* preferedContactLanguages *} {* arabicUsername *} {* persianUsername *} {* skypeId *} {* usernameTw *} {* journalistContact *} {* publicPrivate *} {* profession *}

    Souscrire aux newsletters

    {* newsMenu *} {* optinalert *} {* optinBestofWeek *} {* optinBestofWEnd *} {* optinBestofObs *}

    {* newsMenuEn *} {* optinalertEn *} {* optinBestofWeekEn *} {* optinBestofWEndEn *} {* optinBestofObsEn *}

    {* newsMenuAr *} {* optinalertAr *} {* optinBestofWeekAr *} {* optinBestofWEndAr *} {* optinBestofObsAr *}

    {* optinQuotidienne *} {* optinBreaking *}

    {* optinAutopromo *} {* optinPartenaires *}

    {* optinActuMonde *} {* optinActuAfrique *} {* optinAlert *} {* optinRfiAfriqueFootFr *} {* optinMfi *} {* optinActuMusique *} {* optinOffreRfi *} {* optinOffrePartenaire *}

    {* savedProfileMessage *}

    {* /editProfileModalForm *}

    {* #changePasswordForm *} {* currentPassword *} {* newPassword *} {* newPasswordConfirm *}

    {* /changePasswordForm *}

    Etes-vous sûre de vouloir désactiver votre compte ? Vous n’aurez plus accès à votre profil

    {* deactivateAccountForm *}

    {* /deactivateAccountForm *}

    Read More

  • Cameroun : de nombreuses questions sans réponse après la libération des élèves enlevés lundi

    LE DÉBAT
    États-Unis : Trump perd la Chambre des représentants, match nul au Capitole ?

    En savoir plus

    À L’AFFICHE !
    “High Life”, Juliette Binoche la tête dans les étoiles

    En savoir plus

    FOCUS
    PMA pour toutes : l’exemple de la “comaternité” en Belgique

    En savoir plus

    L’invité du jour
    Christian de Portzamparc : “L’art, ça veut dire qu’il n’y a pas qu’une bonne réponse”

    En savoir plus

    L’INFO ÉCO
    Le steak français a de nouveau la cote en Chine

    En savoir plus

    DANS LA PRESSE
    “Limogeage de Jeff Sessions : voici ce que nous savons”

    En savoir plus

    UN ŒIL SUR LES MÉDIAS
    Dennis Hof, un proxénète décédé, est élu dans le Nevada

    En savoir plus

    LE JOURNAL DE L’AFRIQUE
    Cameroun : 78 élèves libérés, 4 otages toujours portés disparus

    En savoir plus

    À L’AFFICHE !
    “Leurs enfants après eux” de Nicolas Mathieu : un roman d’apprentissage remporte le Goncourt

    En savoir plus

    Read More

  • Libération des enfants enlevés dans le nord-ouest anglophone du Cameroun

    Cameroun Séparatisme Enlèvement Afrique Libération des enfants enlevés dans le nord-ouest anglophone du Cameroun Tweeter print © Reinnier Kaze, AFP | Bamenda, capitale anglophone du nord-ouest du Cameroun, le 16 juin 2017. Vidéo par Marcel AMOKO Texte par FRANCE 24 Suivre france24_fr sur twitter Dernière modification : 07/11/2018 Les autorités camerounaises ont annoncé mercredi la libération d’écoliers enlevés à Bamenda, dans le nord-ouest anglophone du pays, où évoluent des mouvements séparatistes. Les écoliers de Bamenda ont été libérés. Un total de 78 élèves de cette ville majeure du Cameroun anglophone, théâtre de troubles indépendantistes, ont été enlevés puis relâchés en cinq jours, ont annoncé mercredi 7 novembre l’Église presbytérienne du Cameroun et les autorités.”Dieu soit loué, 78 enfants et le chauffeur ont été libérés. Le directeur et un enseignant sont toujours avec les ravisseurs. Continuons à prier”, a déclaré Samuel Fonki, membre de l’église presbytérienne du Cameroun et prêtre chargé des négociationsLe groupe d’élèves de la Presbyterian Secondary School de Nkwen avait été enlevé la veille de la prestation de serment du président Paul Biya, 85 ans, qui a inauguré son septième mandat mardi. C’est le premier rapt de cette ampleur après l’élection présidentielle d’octobre 2018 remportée par Paul Biya. Le déroulé des événements, l’identité des ravisseurs et les conditions de libération de ces élèves brièvement kidnappés restaient floues. Kidnapped Schoolchildren seen for the first time by the public. They will reunite with their families soon.#Bamenda #Cameroon pic.twitter.com/p1YDaI75fy  Peter Tah (@TFomonyuy) 7 novembre 2018 Dans les deux régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun, une crise socio-politique sans précédent s’est installée fin 2016. Elle s’est transformée fin 2017 en conflit armé. Des affrontements entre armée et séparatistes, regroupés en groupes épars dans la forêt équatoriale, s’y produisent quasiment tous les jours depuis plusieurs mois.Les séparatistes ont décrété un boycottage des établissements scolaires, estimant que le système scolaire francophone marginalise les étudiants de la minorité anglophone du pays.Les attaques de séparatistes armés contre des écoles sont nombreuses depuis le début du conflit. Le jour de la rentrée scolaire début septembre, un directeur d’école a été assassiné, un professeur mutilé et plusieurs lycées attaqués. Mi-octobre, 6 élèves avaient été enlevés dans une attaque de lycée également à Bamenda, selon des sources concordantes. Les autorités avaient démenti.Enfin, 11 élèves toujours à Bamenda auraient également été enlevés le 31 octobre. Ils sont apparus récemment dans une vidéo de six minutes qu’a pu consulter l’AFP, déclinant un à un, en anglais, leur identité. Ces adolescents indiquaient avoir été enlevés par les “Amba boys”, les séparatistes anglophones.Avec Reuters et AFP Première publication : 07/11/2018 Tweeter print
    Read More