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  • Le 24 juillet Vital Kamerhe de nouveau devant les juges

    Le 24 juillet Vital Kamerhe de nouveau devant les juges

    Vital Kamerhe de nouveau devant les juges. Le procès en appel de l’ancien directeur de la Presidence  Vital Kamerhe, a ete condamné à 20 ans de prison pour malversation financiere dans la gestion de 100 jours du project du President Felix Tshisekedi.  Ce nouveau proces  s’ouvrira le 24 juillet selon son avocat.

    L’ancien directeur de Felix Tshisekedi et ancien président de l’Assemblée nationale a été reconnu le 20 juin coupable du détournement de deniers publics de plus de 50 millions de dollars ensemble avec l’entrepreneur libanais Jammal Samih.

    L’argent detourne était destiné à la construction de 1.500 logements sociaux, de policiers et des militaires  dans le cadre du programme  des « 100 jours » du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo après son investiture en Janvier 2019.
    « Le procès en appel dans l’affaire de mon client Vital Kamerhe est fixé au 24 juillet 2020 devant la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe », a déclaré son avocat, Me Jean-Marie Kabengela, à l’AFP.
    « C’est nous de la défense qui avions interjeté appel après la condamnation de notre client Vital Kamerhe. Vous découvrirez notre stratégie devant la cour », a-t-il ajouté.
    Avec son homologue congolais Jean-Marie Kabengela, ils avaient annoncé dans un communiqué le 11 juin, la saisine d’un « groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire ».
    M. Kamerhe a été le principal allié de Félix Tshisekedi lors de l’élection présidentielle du 30 décembre 2018, lors de laquelle il s’était désisté en sa faveur.
  • Felix Tshisekedi prend acte de la demission de Benoit Lwamba mais son avocat dit qu’il n’a jamais ecrit cette lettre

    Felix Tshisekedi prend acte de la demission de Benoit Lwamba mais son avocat dit qu’il n’a jamais ecrit cette lettre

    Le Presedent de la RDC Felix Antoine Tshesekedi dit avoir pris acte de la démission du président de la Cour constitutionnelle, Benoît Lwamba qui est en ce moment en Europe pour rason de sante. Sept de ses collègues avaient déjà pris acte de sa décision le 10 juillet dernier.A travers une lettre d’exlaircissement Mr Lwamba dit n’avoir pas ecrit une telle lettre.

    Une confusion totale à la Cour constitutionnelle se fait observer. C’est par une lettre adressée au président a.i de la cour constitutionnelle de l’institution que le President Félix Tshisekedi a pris acte de la démission de M. Benoît Lwamba.

    Ceci prouve donc definiive que l’actuel chef de l’État a cloture cette page. Benoît Lwamba avait été nommé par Joseph Kabila sur le quota constitutionnel de trois juges dont la désignation fait partie des prérogatives du président et donc dans la cour deu President Félix Tshisekedi, dit qu’il  devrait même nommer son remplacant.

    Pour Me Théodore Ngoy, l’avocat de Benoît Lwamba, sa lettre de démission est un faux et rien ne justifierait son remplacement : « Pourquoi ne pas attendre le président de la cour qui est en soin ? S’il démissionne bien, c’est une démission volontaire. Dans le cas présent, il n’y a pas de démission puisqu’il a démenti sa démission. »

    Alors que les résultats des élections avaient été contestés, Benoît Lwamba avait proclamé la victoire de Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2018. Il avait été mis sous sanctions des États-Unis pour corruption et entrave à la démocratie. Lui comme la plupart des autres juges de la cour, étaient jusqu’ici considérés comme pro-Kabila, même si la cour avait récemment tranché une fois en faveur du nouveau chef de l’État.

    Pour l’entourage du juge, Benoît Lwamba est victime d’un « coup de force » d’un président qui veut instrumentaliser la Cour constitutionnelle pour prendre le dessus sur le Parlement dominé par le camp Kabila.

  • Un discours plutot politique qu’une predication de Mgr Fridolin Ambongo

    Un discours plutot politique qu’une predication de Mgr Fridolin Ambongo

    rdc-nouvel-archeveque-mgr-ambongo-prend-la-releve-du-souci-pastoral-Depuis quelque temps en RDC les voix s’elevent contre les dirigenats du pays entre les deux forces CASH et FCC  autour de la réforme judiciaire et de la désignation du président de la CENI.

    Dernierement c’etait le tour du Cardinal de Kinshasa Fridolin  Ambongo est monte au crenau lors de son homélie prononcée ce  à l’occasion de la celebration des 60 ans de l’indépendance du pays. Ce haut personnage de l’Église catholique a appele a la fin de la coalition au pouvoir CASH-FCC. Il a fait remarqué un désamour entre les deux, un problème de confiance entre les coalisés, l’impunité pour les grands et la pauvreté de la population.

    « Ils ont développé un rapport dangereux de rivalité qui pourrait entraîner le pays dans le chaos définitif », a ainsi déclaré Fridolin Ambongo. Le cardinal accuse ouvertement la majorité parlementaire de Joseph Kabila de faire preuve d’un « acharnement à faire main basse sur la magistrature et la Céni, deux institutions dont dépendent l’indépendance du peuple ». L’homélie s’est terminée sur cet appel aux fidèles : « Lorsque le moment viendra, il faudra qu’ils nous trouvent sur leur chemin. »

    Au même moment, plusieurs mouvements citoyens et le Comité laïc de coordination, à l’origine des manifestations des chrétiens en 2017, appellent déjà à la mobilisation et promettent un calendrier d’actions dans les prochains jours.

    Ici il fait faire remarquer que ce sont des pressions sur le premier gouvernement Tshisekedi, qui a a epine un an de pouvoir. Mais comme le soulignent certains membres de la société civile, cette crise entre les deux partenaires à la tête du pays intervient alors que des efforts sont exigés pour améliorer la gestion et réduire le train de vie des institutions. Le tout, pour éviter au pays la cessation de paiement.

  • La société civile crie au bradage: la Sokimo d’une valuer de 9 milliards de dollars sera intégree dans le capital de la Societe canadienne ” Junior”

    La société civile crie au bradage: la Sokimo d’une valuer de 9 milliards de dollars sera intégree dans le capital de la Societe canadienne ” Junior”

  • Un milliard de dollars pour l’éducation et la santé aide de la Banque Mondiale a la RDC

    Un milliard de dollars pour l’éducation et la santé aide de la Banque Mondiale a la RDC

    -La Banque mondiale vient de débloquer un milliard de dollars au profit de la scolarisation des enfants en République démocratique du Congo et de la santé. Ces deux chantiers, mis à mal par la pandémie de Covid-19, avaient été lancés par le président Félix Tshisekedi dès son élection il y a un an et demi. Les fonds seront étalés sur trois ans et assortis de conditions.

    Gratuité de l’école primaire et amélioration de la santé publique font partie des priorités du chef de l’État congolais. Mais une partie du financement du programme de ses premiers 100 jours à la tête du pays a été détournée, ce qui a conduit son chef de cabinet et d’autres personnes devant les tribunaux.

    L’ambition de scolariser tous les enfants du pays et de remettre debout un système de santé défaillant a un coût, pouvant aller jusqu’à 2,6 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros). Kinshasa s’est tourné vers la Banque mondiale, qui vient donc d’approuver 800 millions de dollars (710 millions d’euros environ) pour l’éducation et 200 millions (177 millions d’euros) « pour améliorer la santé maternelle et infantile ».

    Le rythme de décaissement de ces fonds est étalé sur trois ans, avec des conditionnalités. La Banque mondiale exigerait notamment des autorités congolaises d’assainir le système de gestion des enseignants, dont les salaires sont souvent assurés par les parents. Plus de la moitié de ce financement va augmenter le taux d’endettement de la RDC, le reste est constitué de dons.

    Avec cet argent, plus de 9 millions d’enfants devraient pouvoir être inscrits ou réinscrits gratuitement à l’école primaire et retourner en classe après le confinement. Les écoles sont fermées depuis le 24 mars pour freiner la propagation du coronavirus dans le pays. Le gouvernement congolais compte les rouvrir dans les tout prochains jours.

    Le projet cible l’enseignement primaire dans 10 des 26 provinces, dont trois zones de conflits dans l’Est (Nord-Kivu, Sud-Kivu, Ituri), quatre provinces du Kasaï et la ville-province de Kinshasa. Le financement de la santé publique cible aussi certaines provinces dont Kinshasa et les deux Kivu.

  • La mort du juge Raphael Yanyi: La thèse avancée par le gouvernement Congolais fait douter.

    La mort du juge Raphael Yanyi: La thèse avancée par le gouvernement Congolais fait douter.

    -La famille du juge Raphael Yanyi a rejeté les résultats des examens réalisés sur la dépouille du défunt. Pour elle, les conclusions rendues contredisent les deux rapports préliminaires dont la teneur leur avait été révélée.

    Le vice-Premier ministre et ministre de la Justice Tunda Ya Kasende a parlé de meurtre, de coups portés à la tête du magistrat principal en charge du procès Kamerhe et décédé le 26 mai dernier. Une annonce des autorités congolaises qui a jeté un peu plus le trouble sur cette affaire.

    Cette thèse avancée par les autorités congolaises fait douter. Cela a commencé dès la publication du communiqué du vice-Premier ministre et ministre de la Justice. D’abord sur les réseaux sociaux et dans les médias locaux, la thèse de l’agression du juge Yanyi n’a visiblement pas convaincu. Qui l’aurait agressé ? Quand cela s’est-il déroulé ? Pourquoi attendre plus de deux semaines pour avoir les résultats des autopsies ? Beaucoup de questions restent en suspens alors que jusqu’à présent aucun proche de la victime n’avait fait état d’une quelconque agression.

    La famille du juge fait part également de ses doutes, car jusqu’à présent, on parlait plutôt d’empoisonnement. La famille du défunt se dit surprise d’apprendre les résultats à partir d’un communiqué par voie de presse. Elle regrette que la primeur ne lui soit pas réservée. Elle évoque même « un flou artificiel » qui serait entretenu autour de la cause du décès du juge et par conséquent elle rejette les conclusions de deux autopsies effectuées.

    La famille, qui dit être restée en contact permanent avec le parquet de grande instance de Kinshasa-Gombe, affirme que ces résultats sont différents de ceux qui étaient révélés dans les rapports préliminaires. Et ces premiers rapports, d’après elle, avaient évoqué la présence suspecte d’une substance non autrement identifiée dans le corps du juge Yanyi. La famille attendait donc d’autres examens pour préciser la nature de ladite substance.

    Elle rejette ainsi la thèse d’une agression parce qu’ajoute-t-elle, le juge ne conduisait pas seul. Il était toujours accompagné d’un garde du corps et d’un chauffeur depuis le début du procès Vital Kamerhe. À ce stade, difficile de dire si la rencontre prévue cet après-midi avec le vice-ministre et ministre de la Justice aura lieu. La famille se concerte encore.

  • Parlementaires: Les 2 000 dollars a ajouter à un salaire de 4 600 dollars hors primes

    Parlementaires: Les 2 000 dollars a ajouter à un salaire de 4 600 dollars hors primes

    Parlementaires sortants

    -L’Assemblée nationale a sollicité la révision à la hausse des émoluments des députés nationaux et de l’enveloppe consacrée mensuellement au fonctionnement de son administration. Une demande formelle a été adressée au Premier ministre dans ce sens par Jeanine Mabunda, présidente de l’Assemblée nationale. Les députés souhaitent un complément de 2 000 dollars chacun par mois. La nouvelle a fait grand bruit au moment où le pays traverse une crise économique accentuée par les effets de la pandémie du coronavirus.

    La lettre de Jeanine Mabunda, présidente de l’Assemblée nationale, date du 21 mai 2020, mais la chambre basse explique que les discussions autour de cette demande d’augmentation des salaires avaient commencé déjà à la session ordinaire de septembre 2019.

    Les 2 000 dollars demandés devraient s’ajouter à un salaire d’environ 4 600 dollars hors primes que les élus reçoivent. D’autres députés, dont les membres des commissions permanentes, touchent déjà un peu plus pendant les sessions parlementaires.

    Plusieurs activistes ont dénoncé cette démarche, une campagne a même été lancée sur les réseaux sociaux pour demander aux députés de se prononcer publiquement contre cette augmentation. Du côté de l’opposition, la même demande a été faite.

    « Avec plus d’un million de dollar que Mabunda veut avoir, on peut construire chaque mois 50 centres santé équipés, chaque mois 50 salles de classe équipée », souligne Joseph Mabanga, cadre de la plateforme de la société civile Lamuka.

    Du côté de la primature, certaines sources indiquent que rien n’est fait à ce stade. Et qu’en dépit du fait qu’il a transmis le dossier au ministre du budget la semaine dernière, le Premier ministre s’en tiendrait à la réduction du train de vie des institutions.

    C’est donc l’Assemblée nationale, à qui un collectif budgétaire quasiment réduit de moitié doit être soumis bientôt, qui prendra seule la responsabilité d’augmenter ou pas les émoluments des députés.

  • Les rumeurs persistantes d’incursions de militaires etrangers  sur le sol congolais: Silence radio des autorités de Kinshasa.

    Les rumeurs persistantes d’incursions de militaires etrangers sur le sol congolais: Silence radio des autorités de Kinshasa.

    -Des soldats du Soudan du Sud, du Rwanda et du Burundi font des incursions récurrentes dans les régions instables de l’est et du nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), ont affirmé vendredi des sources locales et un groupe d’experts. Depuis avril, « nous venons d’enregistrer huit incursions de militaires sud-soudanais » dans le territoire d’Aru, dans la province de l’Ituri (nord-est), a déclaré un responsable de la société civile locale, Innocent Magudhe, à l’AFP.

    La dernière incursion a eu lieu mercredi dans la chefferie de Kakwa, située à la frontière avec le Soudan du Soudan, dans la province de l’Ituri, a-t-il précisé.

    Les soldats de l’armée régulière sud-soudanaise « brûlent des maisons, pillent les biens de la population (vaches, motos…) » dans une zone où les militaires congolais ne sont présents qu’en nombre réduit, selon lui.

    Plus au sud, dans la région voisine des deux Kivu, la présence des armées rwandaise et burundaise « a été constatée » au courant du mois d’avril, a écrit le Baromètre sécuritaire du Kivu (KST) dans son rapport mensuel publié vendredi.

    Dans le Nord-Kivu, l’armée rwandaise « a participé à la traque des rebelles hutu rwandais des Forces démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR-Foca), conjointement avec l’armée congolaise ».

    L’armée du Burundi est quant à elle intervenue au Sud-Kivu, « pour traquer les rébellions burundaises, notamment la Résistance pour un État de droit (RED-Tabara) avec l’appui d’autres groupes locaux », selon le KST.

    « Il semble que l’objectif était de se prémunir contre les rébellions burundaises présentes au Sud-Kivu, notamment avant la présidentielle du 20 mai », au Burundi.

    Le KST affirme s’appuyer sur « un réseau de chercheurs » et vérifier ces informations « avec de multiples sources fiables ».

    Les rumeurs persistantes d’incursions de militaires rwandais sur le sol congolais n’ont jamais été confirmées par les autorités de Kinshasa.

    Fin avril, le président rwandais Paul Kagame les avait démenties lors d’une conférence de presse à Kigali.

    Le rapport du KST fait aussi état de « 85 meurtres de civils par des acteurs armés » en avril, dans les Kivu.

     

  • V. Kamerhe: le ministère public a sollicité 20 ans de travaux forcés pour détournement des deniers publics et 15 ans pour corruption.

    V. Kamerhe: le ministère public a sollicité 20 ans de travaux forcés pour détournement des deniers publics et 15 ans pour corruption.

    -En RDC l’on s’achemine vers la fin du procès impliquant Vital Kamerhe et deux autres prévenus sur la gestion de plus de 57 millions de dollars destinés aux projets de maisons préfabriquées dans le cadre du programme d’urgence de Félix Tshisekedi. Les plaidoiries sont terminées. Le tribunal va maintenant délibérer et sa décision est attendue pour le 20 juin.

    Lors des plaidoiries, le ministère public a sollicité la condamnation de Vital Kamerhe à 20 ans de travaux forcés pour détournement des deniers publics et 15 ans pour corruption.

    À la barre, Vital Kamerhe a expliqué n’avoir jamais négocié un contrat dans le cadre du programme des 100 jours. Le directeur de cabinet du président se pose toujours la question de savoir comment il se trouve dans le box des accusés, et clame son innocence. Pour lui, « ce procès est politique », et ce n’est pas lui qui est visé directement mais le chef de l’État.

    Pour sa dernière prise de parole, Vital Kamerhe s’est cependant montré résigné. « J’ai dit à ma femme que la messe est dite. Je lui ai également demandé de préparer psychologiquement les enfants ». Il a également allégué que son cousin Daniel Shangalume Nkingi, dit Massaro, également incarcéré dans le cadre du dossier des « 100 jours », a été torturé pour qu’il témoigne contre lui.

    Pour sa part, le Libanais Samih Jammal, patron de la société Samibo SARL, autre prévenu dans ce procès, a aussi clamé son innocence et a demandé à être acquitté. De même que le troisième prévenu, Jeannot Muhima, le responsable du service import-export à la présidence.

  • Une forte présence policière a empêche les députés d’accéder à la plénière pour élire le successeur de Kabund

    Une forte présence policière a empêche les députés d’accéder à la plénière pour élire le successeur de Kabund

    -Le Conseil d’Etat a demandé vendredi à la libre police de Kinshasa d’empêcher la séance que devaient consacrer les députés nationaux à élire un successeur à Jean-Marc Kabund a Kabund, destitué en mai dernier de son poste de vice-président, jusqu’à l’examen par la Cour constitutionnelle d’une requête de M. Kabund, qui conteste son éviction. Colère des députés.

    Alors que seuls une vingtaine de députés avaient réussi à pénétrer dans leur enceinte, le bureau de l’Assemblée nationale a estimé illégale la décision du Conseil d’Etat et annoncé son intention de la faire annuler. L’article 7 du règlement d’ordre intérieur de l’Assemblée indique que son siège est « une zone neutre et inviolable » où « aucune autorité administrative, judiciaire ou militaire n’est autorisée à exercer ses prérogatives (…) sans l’autorisation ou l’accord de son président ». Or, une forte présence policière empêchait les députés d’accéder à la plénière programmée .

    Alors que l’UDPS est divisée – notamment – entre légalistes et partisans de Jean-Marc Kabund – nommé unilatéralement à la tête du parti par Félix Tshisekedi en janvier 2019, en contravention avec les statuts légaux de la formation – la branche Kabund avait promis, le 28 mai, l’éjection de tout membre qui porterait sa candidature à la succession. Cela n’avait pas empêché des candidats de se présenter, que les députés devaient départager ce vendredi, selon le calendrier annoncé par le bureau de l’Assemblée.

    Le barrage de la police a provoqué l’indignation de nombreux députes.