Category: Afrique

  • L’écrivain franco-sénégalais David Diop remporte le Prix Goncourt des lycéens

    L’écrivain franco-sénégalais David Diop remporte le Prix Goncourt des lycéens

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    Il était en lice pour tous les grands prix littéraires en France. Aujourd’hui, il a finalement décroché le prix de la jeunesse et le plus prescripteur en langue française, le prix Goncourt des lycéens. Le jury, réuni à Rennes, a félicité « Frère d’âme » de David Diop pour « sa vision terrible de la Grande Guerre, entre Afrique et Europe, sagesse et folie ».

    C’est l’histoire de deux jeunes hommes, Alfa Ndyaye et Mademba Dip, deux tirailleurs sénégalais, lors de la Grande Guerre, la grande boucherie entre 1914 et 1918. Deux parmi les 200 000 combattants africains envoyés au nom de la France au front de la Première Guerre mondiale où environ 30 000 tirailleurs sénégalais ont laissé leur vie dans les tranchées.

    Né à Paris, aujourd’hui âgé de 52 ans, David Diop a passé son enfance au Sénégal. Adepte d’Apollinaire et actuellement maître de conférences en littérature du XVIIIe siècle, à l’université de Pau, il a essayé de transposer dans Frère d’âme la sonorité et le rythmé de la langue wolof, parlée par les protagonistes du livre, au français.

    Donner une existence aux destins et aux douleurs des tirailleurs sénégalais

    Raconté d’une manière très directe et parfois même dans un style naïf, David Diop a cherché à donner une existence aux destins et aux douleurs de ces jeunes longtemps oubliés dans les manuels d’histoire.

    L’idée de ce roman incisif et décapant lui est venue quand il avait lu des lettres très émouvantes de poilus ayant couché sur papier leurs derniers moments avant de mourir dans la folie de la guerre. Il s’est mis alors à la recherche de lettres des tirailleurs sénégalais avant de se rendre compte qu’il n’y en avait pas. Venant d’un continent où la tradition orale prime sur l’écriture, ils n’ont pas laissé des traces dans les livres. D’où aussi l’urgence ressentie par l’écrivain de reconstruire cette histoire. Une urgence omniprésente et palpable dans Frère d’âme.

    Le bonheur du prix Goncourt des lycéens

    Recevoir le prix Goncourt des lycéens s’apparente être souvent le plus beau moment dans la vie d’un écrivain couronné. D’autant plus que, ces derniers cinq ans, un lauréat du prix Goncourt des lycéens vend, en moyenne, 443 100 exemplaires de son livre. Sans parler de l’émotion d’être élu par la jeune génération, en l’occurrence d’un panel de 2 000 jurés, venus de 58 classes en France et à l’étranger… Pour les 30 ans du prix, les organisateurs ont même fait la démarche de faire voter aussi douze détenus âgés de 20 à 50 ans, de la prison de Salon-de-Provence. Croire dans la force émancipatrice de la littérature est le cœur même de ce prix pas comme les autres.

    ► Ecouter notre émission avec David Diop sur Frère d’âme dans l’émission Vous m’en direz des nouvelles, RFI, 10/9/2018

    Chronologie et chiffres clés

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  • La condamnation de Karim Wade doit être «réexaminée» selon le HCDH

    La condamnation de Karim Wade doit être «réexaminée» selon le HCDH


    Par
    RFI

    Publié le 15-11-2018
    Modifié le 15-11-2018 à 17:07

    Au Sénégal, nouveau rebondissement dans l’affaire Karim Wade. Le Haut commissariat aux droits de l’homme des Nations unies, saisi par les avocats du candidat à la présidentielle, estime que la CREI, la cour qui l’a condamné à six ans de prison et plus de 200 millions d’euros d’amende ne respecte pas le droit, car elle n’offre pas de recours juridique. Pour le camp de Karim Wade, la condamnation doit donc être annulée. Pour l’Etat du Sénégal, le HCDH n’a pas le pouvoir d’annuler la décision de la CREI.

    C’est en mai 2016 que le Haut commissariat aux droits de l’homme des Nations unies a été saisi par les avocats de Karim Wade. Quinze experts ont donc étudié ce dossier et rendu leur décision le 22 octobre dernier. Dans ce document de 14 pages, le HCDH fait des constatations. Et note que le Sénégal « est tenu d’assurer à l’auteur un recours utile » ce que ne permet par la Cour de répression de l’enrichissement illicite qui a jugé et condamné Karim Wade. L’instance onusienne estime donc que « la déclaration de culpabilité et de condamnation contre l’auteur doit être réexaminée ».

    Pour le ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall, « le Comité [ le HCDH, ndlr] n’a pas annulé la décision de la CREI », car « ce n’est pas une instance juridictionnelle, ses décisions sont dénuées de toute force obligatoire ». Pour les avocats de Karim Wade, le comité impose, au contraire, un « réexamen des faits ».

    Le camp du fils de l’ex-président s’appuie aussi sur ces constatations pour exiger l’annulation de sa radiation des listes électorales qui bloque sa candidature à la présidentielle. Le bras de fer politique est donc à nouveau relancé. Le Haut commissariat aux droits de l’homme souhaite, d’ici mai 2019, après l’élection qui se tiendra fin février, recevoir de l’Etat du Sénégal des renseignements sur ses constatations.

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  • Devant le Parlement européen, le président sud-africain rend hommage à Mandela

    Devant le Parlement européen, le président sud-africain rend hommage à Mandela

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  • [Reportage] RDC: les expulsés d’Angola ne sont pas tous des illégaux

    [Reportage] RDC: les expulsés d’Angola ne sont pas tous des illégaux


    Par
    RFI

    Publié le 15-11-2018
    Modifié le 15-11-2018 à 13:25

    En quelques semaines, ce sont des centaines de milliers de personnes qui ont franchi la frontière entre l’Angola et la RDC après une opération de police. Luanda a toujours assuré que les personnes refoulées étaient en situation illégales, mais les témoignages montrent l’inverse. Le Haut-Commissariat aux réfugiés a déjà recensé plus de 1 900 personnes munies de papiers de réfugiés parmi ces expulsés. Un chiffre qui a considérablement augmenté ces dernières semaines, et qui témoigne, selon le HCR, du « manque de discernement » dont font preuve les autorités angolaises dans leur opération d’expulsions forcées.

    Lynn Ngugi, chef de la sous-délégation du HCR dans le Kasaï Central

    15-11-2018
    – Par
    Florence Morice

    Un homme en colère brandit sa carte d’identité angolaise. Un document, obtenu légalement dit-il, après cinq ans de vie en Angola, mais qui n’a pas suffi à l’épargner des expulsions forcées : « Regardez, c’est ma carte. Elle me donne le droit de vivre en Angola et de circuler librement. Pourtant, j’ai été chassé ».

    Au moment de son arrestation, il raconte qu’il n’a même pas osé présenter ce document aux autorités : « J’ai préféré la cacher. Car j’ai vu comment la police déchirait faisaient avec les autres. Ils les battaient et déchiraient leurs papiers. J’avais peur qu’on me fasse la même chose ».

    C’est ce qui est arrivé à ce commerçant : « En fuyant l’Angola lorsque nous sommes arrivés au premier barrage de police ils nous ont demandé de montrer nos papiers. Et dès qu’on les a sortis. Ils nous les ont pris ». Il a vécu deux ans en Angola et dit ne pas comprendre les autorités, qui l’avaient pourtant incité à se faire régulariser avant les dernières élections : « Je suis arrivé pendant la période d’enrôlement et l’on nous encourageait à nous inscrire pour aller voter. C’est grâce à ma carte d’électeur que j’ai obtenu une carte d’identité. Et maintenant, on nous chasse comme des animaux ».

    D’autres témoignent avoir subi le même sort après avoir passé 10, 15, 20 ans en Angola. Sans papiers, et contraints de rentrer dans un pays où parfois ils n’ont plus d’attache. Ils courent le risque de se retrouver apatrides. C’est pour cette raison que le HCR travaille actuellement avec la commission nationale pour les réfugiés et les services de migrations de RDC à dresser la liste des personnes dans cette situation. Il reviendra ensuite aux autorités congolaises de les enregistrer.

    Au moins 1 900 réfugiés

    Pasteur Georges a fui les violences au Kasaï, en mai 2017, après l’incendie de son village. En Angola, il avait obtenu le statut de réfugié et n’avait pas – malgré une immense précarité – l’intention de rentrer en RDC. Mais l’armée angolaise en a décidé autrement : « Il nous a arrêtés, il nous a demandé les documents. On a donné les documents, ils ont dit : les réfugiés n’ont pas le droit ici. On nous a ravi ça. On nous a ligotés, on nous a scotchés comme des cartons, des colis. Et l’on nous a amenés jusqu’au niveau de la frontière ».

    A ses côtés, Mbomba Ntomba garde précieusement dans un sachet plastique la photocopie de sa carte de réfugié, qu’il a pu sauver. Après 21 ans passés en Angola. Il avait fui en 1997, lors de la première guerre du Congo. « Les militaires m’ont confisqué l’original de mes papiers avant de m’arrêter. J’ai protesté. Ils m’ont dit : le gouvernement nous a demandé de faire partir tous les Congolais même les réfugiés. Tout ce que je possédais est resté là-bas, je me retrouve ici les mains vides. Sans famille. Je dors dans des églises et parfois même dehors ».

    « Quinze jours sans pouvoir manger »

    Dans la confusion qui a présidé à l’opération d’expulsions, des familles de réfugiés ont été séparées. Philomène a mis deux semaines à retrouver ses enfants : « J’ai été arrêtée avec les documents qui leur permettaient d’accéder aux distributions de nourriture. Ils sont restés 15 jours sans pouvoir manger… Jusqu’à ce que ma famille ici envoie de l’argent en Angola pour payer leur transport et qu’ils me rejoignent ». En septembre dernier déjà Philomène dit avoir fait plusieurs courts séjours en prison côté angolais, secourue chaque fois par le HCR. Comme la majorité de ces réfugiés expulsés, elle n’envisage plus de rentrer en Angola, de peur, dit-elle de ce qui pourrait lui arriver.

    Le HCR poursuit actuellement le travail de recensement de ces réfugiés expulsés, promet de transporter dans leurs familles restées au Congo ceux qui le souhaitent. Et négocie actuellement avec les Angolais la réadmission de ceux qui souhaiteraient retourner en Angola. Le HCR qui appelle par ailleurs les Angolais à respecter les droits et la sécurité de ces réfugiés conformément au droit international.

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  • Mali: sans nouvelle du journaliste Birama Touré disparu depuis près de deux ans

    Mali: sans nouvelle du journaliste Birama Touré disparu depuis près de deux ans

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  • Sénégal: le gouvernement reconnaît des difficultés budgétaires

    Sénégal: le gouvernement reconnaît des difficultés budgétaires


    Par
    RFI

    Publié le 15-11-2018
    Modifié le 15-11-2018 à 11:52

    Au Sénégal, le gouvernement a reconnu qu’il fait face à des difficultés budgétaires. Malgré une croissance supérieure à 6% depuis 2014, la hausse des prix des produits pétroliers à plombé le budget. Ces difficultés budgétaires, à l’origine de problèmes, par exemple, pour payer les fournisseurs ou pour faire avancer les projets, difficultés qui étaient pointées du doigt par l’opposition depuis des mois, étaient niées par les autorités qui les ont, donc, finalement reconnues.

    C’est visiblement sous l’impulsion de Louise Cord que l’Etat a décidé d’admettre ces difficultés budgétaires. Lors d’une réunion publique mardi, la directrice des opérations de la Banque mondiale a parlé « d’une situation particulièrement tendue ». Une alerte évoquée récemment aussi par le Fonds mondial international.

    « Le Sénégal ne peut absolument rien »

    Après avoir nié ces difficultés depuis des mois, le ministre des finances Amadou Ba les a donc finalement expliquées : « L’environnement international change. Si le prix du pétrole est aujourd’hui à prêt de 80 dollars, le Sénégal ne peut absolument rien. Si le dollar s’est apprécié, le Sénégal n’y peut absolument rien ».

    A cette hausse des cours mondiaux des produits pétroliers, se greffe la volonté politique du président Macky Sall de ne pas affecter les foyers les plus défavorisés a expliqué le ministre Amadou Ba : « Répercuter les éléments sur le prix, c’est augmenter au moins le prix du carburant de 110 à 125 francs CFA dans les conditions actuelles. Ou bien l’on décide de répercuter tout sur le prix ou l’on bloque les prix comme l’a souhaité et comme l’a voulu le président de la République. Cela entraine des tensions qui vont être corrigées au fur et à mesure que nous avancerons dans l’année 2019 ».

    Au plus serré

    Malgré une croissance constante à plus de 6% depuis 2014, l’Etat doit donc gérer au plus serré. Une situation complexe que l’opposition va sans aucun doute exploiter à trois mois de l’élection présidentielle.

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  • Guinée: le ministre de la Citoyenneté et de l’unité nationale démissionne

    Guinée: le ministre de la Citoyenneté et de l’unité nationale démissionne

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  • Cameroun anglophone: nouveaux affrontements entre armée et séparatistes

    Cameroun anglophone: nouveaux affrontements entre armée et séparatistes


    Par
    RFI

    Publié le 14-11-2018
    Modifié le 14-11-2018 à 18:00

    Au Cameroun, les violences continuent dans les régions anglophones. Ces 12 et 13 novembre, des affrontements entre forces de l’ordre et séparatistes armés ont fait 53 morts côté sécessionnistes, selon un bilan communiqué par l’armée régulière, l’un des plus lourds de ces dernières semaines.

    Dans la zone anglophone du Cameroun, un premier accrochage entre l’armée et les séparatistes armés a fait 19 morts ce 12 novembre, selon le chef de la division de la communication de l’armée camerounaise, le colonel Didier Badjeck.

    Les faits ont eu lieu à Mbot, une localité proche de la ville de Nkambé, chef-lieu du département du Donga-Mantung, au nord de la région. Suite à un ratissage de la zone, sept corps ont également été retrouvés, ce qui porte à 26 le nombre de sécessionnistes tués ce jour-là.

    « Un enfer »

    Le lendemain, les violences se sont déroulées à trois kilomètres de là, dans la localité de Ndu. Toujours selon l’armée, les séparatistes ont attaqué la brigade de gendarmerie et un bâtiment officiel. La riposte a fait 27 morts parmi les combattants surnommés « Amba boys », de « Ambazonie », nom donné à la zone anglophone du Cameroun.

    Aucune perte n’a été enregistrée du côté des forces de l’ordre. Deux soldats ont été légèrement blessés. « Cette guerre est réelle, a déclaré sur Facebook Mark Bareta, l’un des principaux propagandistes des groupes armés sur les réseaux sociaux. Cela a été un enfer à Donga-Mantung. Nous avons pu voir nos pertes ».

    Depuis plusieurs mois, les combats sont quasi-quotidiens dans la zone. Selon les ONG, plus de 200 membres de forces de sécurité ont perdu la vie et 500 civils sont morts alors que 437 000 personnes ont fui leur domicile, selon les derniers chiffres des Nations unies publiés début octobre.

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  • Maroc: début du procès en appel de 52 activistes du mouvement Hirak

    Maroc: début du procès en appel de 52 activistes du mouvement Hirak


    Par
    RFI

    Publié le 14-11-2018
    Modifié le 14-11-2018 à 17:19

    Au Maroc, cinq mois après leur condamnation, le procès en appel de 52 activistes du mouvement Hirak dans la région du Rif, a débuté le 12 novembre devant la cour d’appel de Casablanca. Certains de ces détenus, arrêtés après la vague de protestations de l’été 2017, ont écopé de condamnations de 20 ans de prison, comme le leader du mouvement Nasser Zefzafi et trois de ces compagnons. Ils étaient alors accusés de menacer la sécurité de l’Etat. Nasser Zefzafi comparaissait lui-même devant la cour d’appel ce 14 novembre.

    Le procès en appel des activistes de Hirak a débuté ce 12 novembre. L’audience d’appel a commencé ce 14 novembre au matin mais l’avocat, Mohammed Zayan, vu le déroulement du plaidoyer, ne cache pas son impression que le jugement ne sera pas rendu dès aujourd’hui. Aux côtés de Nasser Zefzafi, trois de ses compagnons comparaissent eux aussi devant la cour d’appel de Casablanca, au Maroc.

    Le jeune homme a été le symbole de la protestation de la ville d’Al-Hoceïma, dans le Rif, déclenchée par la mort d’un vendeur de poissons broyé dans une benne à ordures en octobre 2016.

    Très actif sur les réseaux sociaux, il est accusé de réclamer l’indépendance pour la région du Rif, d’avoir reçu des financements de l’étranger pour mener le mouvement et d’avoir menacé la sécurité de l’Etat. Il a écopé il y a cinq mois de 20 ans de prison ferme en juin dernier. Nasser Zefzafi était l’un des trois finalistes en lice pour le prix Sakharov en octobre dernier, mais le prix a finalement été attribué au cinéaste ukrainien Oleg Sentsov.

    Grève de la faim

    Fin octobre, vingt personnes parmi les détenus de Hirak avaient annoncé la suspension de leur grève de la faim lancée quelques jours auparavant pour protester contre les conditions de leur détention.

    Le 12 novembre, le cas du journaliste et blogueur Hamid El Mahdaoui a aussi été examiné. Ce journaliste qui avait couvert les manifestations dans le Rif a été condamné à trois ans de prison ferme.

    Les deux avocats du Syndicat national des journalistes qui se sont portés volontaires pour le défendre ont demandé sa libération sans conditions au regard des garanties qu’il pourrait fournir et parce qu’il a déjà passé cinq mois en prison. Mais le procureur général a refusé cette demande. Le procès en appel de Hamid El Mahdaoui a été renvoyé au 3 décembre prochain.

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  • De Bukavu au Forum de Paris sur la paix, l’expérience d’un jeune Congolais

    De Bukavu au Forum de Paris sur la paix, l’expérience d’un jeune Congolais


    Par
    François-Damien Bourgery

    Publié le 14-11-2018
    Modifié le 14-11-2018 à 17:19

    Grâce à son idée de charbon fabriqué à partir de déchets, Murhula Zigabe, un jeune éco-entrepreneur congolais du Sud-Kivu, a participé à la première édition du Forum de Paris sur la paix.

    Devant une petite assemblée de costumes sombres, Murhula Zigabe peaufine mentalement son discours. Il n’a que quelques minutes pour convaincre ses auditeurs de la pertinence de son projet. Cet étudiant en philosophie de Bukavu, dans l’est de la République démocratique du Congo, a lancé en début d’année 2018 La Briquette du Kivu, une micro-entreprise qui fabrique du charbon à partir de déchets organiques. Chaque matin, lui et son équipe sillonnent les rues de la ville pour ramasser feuilles mortes, peaux de bananes, de maïs ou de cannes à sucre qui, une fois séchées, sont transformées en charbon destiné à la cuisson des aliments.

    Le jeune entrepreneur aimerait pouvoir exporter son idée dans d’autres régions de la RDC, et notamment à Kinshasa pour la défaire de sa réputation de « poubelle ». Mais un an après sa création, son entreprise fonctionne toujours à perte. Même si son charbon écolo est vendu deux fois moins cher que le charbon de bois traditionnel, pas facile de faire changer les mentalités. Alors quand il a appris qu’un Forum sur la paix allait se tenir à Paris, Murhula Zigabe y a vu une double opportunité : celle de se faire connaître et de défendre une cause qui lui tient à cœur. « Quand on parle de paix, il ne s’agit pas seulement de fusils, mais aussi du changement climatique qui est une arme de destruction massive parce que la terre ne donne plus de quoi manger », estime le jeune entrepreneur.

    Donner de la valeur aux déchets

    Il a donc monté un dossier de candidature pour participer à cet événement inédit réunissant chefs d’Etat et de gouvernement, organisations internationales et société civile sur les thèmes de la paix et de la sécurité, du développement, de l’environnement, des nouvelles technologies et de l’économie inclusive. Et comme 120 autres projets, il a été retenu.

    Car il ne manque pas d’arguments. « Lorsqu’une famille utilise nos briquettes pendant une semaine, un arbre de 25-30 mètres est épargné », affirme Murhula Zigabe de sa voix douce. Dans un pays dont la forêt, deuxième poumon du monde après l’Amazonie, perd chaque année environ 1 % de sa surface à cause de l’activité humaine, l’initiative est salutaire. D’autant que la raréfaction du bois se ressent jusque dans le porte-monnaie. « Une famille congolaise consacre 30 % de ses revenus journaliers à l’achat de braise de bois. L’éducation et la santé sont sacrifiées », fait encore valoir le jeune entrepreneur. Enfin, en réutilisant les déchets qui jonchent le sol, son charbon écolo permet de lutter contre la pollution et les épidémies. « On ajoute de la valeur à des déchets qui sont un poids. »


    Sous la Grande Halle de La Villette, une foule compacte se promène au milieu des stands. L’anglais est de mise. Il est question de sauvegarde des océans et de protection des migrants. Une organisation appelle à l’abolition de l’arme nucléaire, une autre veut apporter l’eau au Sahel. Facebook est là, Google aussi. Les cartes de visite s’échangent, les journalistes sont assaillis. La veille, un porteur de projet centrafricain a reçu la visite d’un représentant du président de la Banque mondiale, d’autres celle de chefs d’Etat présents pour la cérémonie d’ouverture. Murhula Zigabe, lui, n’a vu personne. Alors il redouble d’efforts. Un paquet de prospectus à la main, il fait le tour des stands et cible quelques tables rondes pour récupérer les contacts des experts présents. Il leur enverra un mail explicatif à son retour au pays.

    Lutter contre la fatalité

    Le Forum de Paris touche maintenant à sa fin. Au milieu des quelques centaines de participants réunis dans l’agora, un vaste espace circulaire pensé sur le modèle des assemblées citoyennes antiques, son président Justin Vaïsse parle d’un « événement historique ». Il égrène les chiffres marquants de cette première édition : 75 chefs d’Etat, de gouvernement et d’organisation internationale ; 40 pays représentés ; 12 000 visiteurs… Et présente les dix projets sélectionnés pour bénéficier pendant un an du soutien du Forum et de ses partenaires.

    Celui de Murhula Zigabe n’en fait pas partie. Qu’à cela ne tienne, l’expérience aura été fructueuse et les échanges riches en enseignements. « Ils m’ont permis d’appréhender différemment mon projet pour le rendre plus efficace et plus rentable », indique-t-il. L’entrepreneur congolais entend maintenant pousser ses jeunes compatriotes à suivre sa voie. « Je viens d’un pays où les histoires n’ont pas de fin heureuse, si bien que la population verse dans la fatalité. Mais cette fatalité empêche la RDC de se développer, de se démocratiser », poursuit Murhula Zigabe. Et de rappeler :  « Rien ne me prédisposait à être ici. »

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