Tag: Sport

  • Football : le long printemps des ultras marocains

    Football : le long printemps des ultras marocains

    Sur les murs de Casablanca, des fresques témoignent de la ferveur que suscitent les deux grandes équipes de football de la métropole marocaine, que sont les verts du Raja et les rouges du Wydad, et de la créativité de leurs supporteurs, les Ultras Eagles, les Green Boys et leurs rivaux des Winners. Cette rivalité n’est toutefois pas uniquement picturale : le 28 septembre, des affrontements ont causé la mort d’un partisan du Wydad, pris à partie par des ultras du Raja.

    Cet homicide confirme que les autorités chérifiennes ont du mal à maîtriser le mal-être de la jeunesse locale. Dans un pays conservateur, avec un contrôle social très fort, une jeunesse désœuvrée, guettée par l’ennui et le manque de perspectives, trouve chez ces ultras une échappatoire à une existence morne.

    C’est à partir de fin 2005 que l’ambiance des stades chérifiens s’est transformée progressivement avec l’émergence, à Casablanca et à Rabat, du supportérisme ultras. Le mouvement s’est diffusé rapidement de Tetouan à Agadir, de Marrakech à Fès, séduisant un large pan de la jeunesse du royaume qui se retrouve dans l’esprit de contestation qui l’anime.

    Difficultés du quotidien, carcan conservateur, domination des aînés… tout cela disparaît le temps d’un match. Les tribunes deviennent un espace de liberté. S’y instaure une espèce de méritocratie, ouverte à tous, sans considération d’origine sociale ou d’opinion politique.

    On retrouve chez les Winners par exemple des jeunes des quartiers populaires de la Médina, comme des adolescents des quartiers aisés du Maarif. Seule obligation : une passion démesurée pour le maillot du Wydad. Ce qui mène, parfois, à la confrontation violente avec les rivaux. Mais pas à la contestation politique.

    Pas de convergence des luttes

    Si, en 2011, au Caire et à Tunis, les ultras locaux ont participé aux manifestations contre les régimes en place, non par conviction politique, mais davantage par aversion du système (le slogan…

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  • Coupe de la Confédération : l’AS Vita Club en finale !

    Coupe de la Confédération : l’AS Vita Club en finale !

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  • Matches truqués en Belgique: le Tunisien Fabien Camus écroué

    Matches truqués en Belgique: le Tunisien Fabien Camus écroué

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  • Maroc: 14 supporters condamnés pour «outrage au drapeau national»

    Maroc: 14 supporters condamnés pour «outrage au drapeau national»

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  • Tunisie: 38 policiers blessés en marge d’Espérance-Primeiro

    Tunisie: 38 policiers blessés en marge d’Espérance-Primeiro




    Trente-huit policiers ont été blessés dans des heurts avec des supporteurs lors du match de qualification pour la finale de la Ligue des champions africaine entre l’Espérance Tunis et Primeiro de Agosto disputé à Tunis, selon le ministère de l’Intérieur mercredi. Douze personnes ont été arrêtées, durant les heurts au stade de Radès dans la banlieue sud de Tunis, a dit mercredi à l’AFP le colonel Sofiene Zaag, porte-parole du ministère de l’Intérieur.

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  • Ligue des Champions : revivez le live PSG – Naples

    Ligue des Champions : revivez le live PSG – Naples

    Malmenés une grande partie de la partie, les joueurs de Thomas Tuchel empochent un point heureux face à un Napoli déterminé. Menés à deux reprises par les hommes d’Ancelotti – Insigne en première période, Mertens en seconde -, les coéquipiers de Neymar ont réagi par deux fois. Après un but contre son camp du Napolitain Mario Rui sur un centre de Meunier, Angel Di Maria a délivré le Parc des princes dans le temps additionnel. 

    “On n’a joué qu’une période, a dénoncé Thomas Meunier au micro de RMC Sport. On a vu un PSG à deux visages”. Troisième de leur groupe du fait de la victoire de Liverpool face à l’Etoile rouge (4-0), les Parisiens devront offrir un meilleur visage dans deux semaines, sur la pelouse du Napoli pour espérer se qualifier en huitièmes de finale.

    Face à des Napolitains motivés et déterminés à s’imposer, les Parisiens ont montré de nombreuses lacunes, notamment au milieu de terrain, où Verratti et Rabiot ont peiné à contrer les joueurs de Naples, et perdu nombre de ballons. Quant à son trident offensif, Neymar, Mbappé et Cavani, il a peiné à reproduire au plus haut niveau ses exploits hebdomadaires en Ligue 1.

    “Nous avons joué de façon individuelle en première période, et à ce niveau ce n’est pas possible”, a tancé Thomas Tuchel sur RMC Sports. “Mais nous devons nous améliorer, évidemment”. Sous peine de déchanter grandement. 

    Voilà tous les résultats de la soirée. Après le match nul de Monaco à Bruges (1-1), et après celui de Lyon à Hoffenheim (3-3) hier, le PSG a suivi ses camarades français en concédant un match nul heureux contre le Napoli (2-2).

    Merci à toutes et à tous d’avoir suivi cette rencontre à nos côtés. On se retrouve bientôt pour de nouvelles aventures footbalistiques et autres.  

    C’est MI-NE-TER !!! Au terme d’une rencontre animée et où les Parisiens n’ont pas montré leur meilleur côté, le PSG et Naples terminent la rencontre à égalité, 2-2. Paris sauve les meubles, mais devra régler bien des détails pour espérer poursuivre son parcours dans la compétition européenne. 

    Cet Angel ignore tout de la Loi de Murphy de son homonyme 

     

    2-2 désormais dans cette rencontre. Pour le moment, les Parisiens sauvent les meubles grâce à leur Argentin (pas lutin, lui).

    EGALISATION DE DI MARIA !!! 

    Je retire ce que je viens de dire, le milieu argentin décoche une frappe de l’extérieur de la surface, enroule son tir, et trompe tout le monde. Quel but ! 

    Moins de dix minutes (moins de deux minutes, aussi), donc ce n’est pas gagné. 

    Un carton jaune pour Ospina, qui a tenté de gagner du temps. C’est le jeu. 

    Sachez que nos correcteurs nous mettent au bûcher si d’aventures l’on se hasarde à parler de “poules”. On doit parler de “phase de groupes”, aussi bien chez les femmes que chez les hommes. 

    Nous aurons cinq minutes de temps additionnel. Ce qui est beaucoup

    Dans la mesure où le marché des transferts est fermé en ce moment, je puis vous assurer que non !

     Pour le moment, ce n’est pas à l’étude du tout. Mais qui sait ce que l’avenir nous réserve ? 

    Il reste une minute de jeu dans le temps réglementaire, et pour le moment, les Parisiens ne semblent pas en mesure d’égaliser. Il va y avoir bien des choses à régler pour Thomas Tuchel.

    Il restera trois matchs pour inverser la tendance, hein. Dont un à Naples, et la réception de Liverpool. Bref, ce n’est pas gagné, mais rien n’est perdu pour le moment.  

    Vous êtes volcaniques, ce soir !  

    Si je dois être complètement honnête, je vais vous avouer que je suis fan d’un club bien plus au Nord, dont les joueurs sont surnommés les Dogues. Mais ceci ne vous regarde pas (vraiment) et je vous avoue que sur cette rencontre, je n’ai pas de préférence. Mais si le PSG poursuit son aventure, on aura plus de rencontres à liver !  

    Merci ! On doit rater quelques choses malgré tout. Comme Mertens à l’instant, qui aurait pu aggraver la marque pour le Napoli. Et sort à l’instant, remplacé par Arkadiusz Milik. 

    A noter que Cavani a laissé sa place à Julian Draxler, et à l’instant, Moussa Diaby prend la place de Marco Verratti.  

    C’est arrêté par Ospina, qui claque une claquette. 

    Coup franc intéressant pour Neymar.

    On confirme.  

    Il n’a pas pris une ride ! D’ailleurs, en parlant du vélo, on vous suggère de lire l’édition de demain (daté de vendredi donc) de notre vénérable journal, vous devriez y trouver des choses intéressantes.  

    Veuillez nous excuser pour le retard à l’allumage, nos amis de RMC Sport ont semble-t-il choisi d’avoir une minute de retard dans leur retransmission. 

    Avec ce nouveau but napolitain, les Parisiens voient à nouveau la qualification pour les huitièmes de finale assez compromise.  

    Et le second but pour Naples !!! Par Mertens

    Depuis quelques minutes, les Parisiens étaient un peu moins bien, mais la défense parisienne a laissé un peu d’espace au second lutin napolitain, qui profite d’un contre raté de Marquinhos pour contrôler et tromper Areola. 2-1 en faveur du Napoli. 

    Vous avez le droit. En ce qui me concerne, je préfère largement la version détournée par la chanteuse M.I.A. dans son clip “Borders”. pas vous ?

     

    Merci à vous, et à tous les autres pour votre fidélité. 

    Echappée belle de Neymar qui dribble une partie conséquente de la défense napolitaine. mais Mertens stoppe à la régulière l’homme le plus cher du monde. 

    Vous le savez aussi bien que moi, il y a quarante-deux raisons de vous répondre. Mais pour le moment, le jeu fait que je ne puis donner ma réponse officielle.  

    Alors que Zielinski tente de déborder Meunier (indice, il n’y parvient pas), vous êtes autant à suivre ce direct qu’il y a d’habitants à Caussade (c’est dans le Tarn-et-Garonne, mais vous le saviez).  

    Nous transmettrons le message à notre envoyé spécial à Napoli.  

    Le PSG est vraiment mieux en cette seconde période, et l’ajustement tactique de Tuchel se voit. 

    Nous sommes bien d’accord. D’ailleurs, le quotidien sportif national (qui commence par un L’E et termine par un -quipe) a écrit hier un papier intéressant sur la stratégie de RMC Sport concernant ces images non-montrées. Apparemment, c’est pour vous convaincre de vous abonner. 

    Quand nous serons plus d’un à liver, nous reprendrons les dessins des buts popularisés lors du Mondial, promis. 

    Tout à fait. Et si l’on est complètement honnêtes, nous nous devons d’avouer que le centre de Meunier allait vraisemblablement trouver le cinquième poteau. 

    Mario Rui est le buteur contre son camp côté Napolitain. 

     

    De mon côté, vu que je viens d’annoncer que les Parisiens devaient égaliser, je crois que je vais également ajouter qu’il serait bon que la faim dans le monde disparaisse. On peut toujours essayer !

    Et voilà le travail !!!  Egalisation du PSG !!! Sur une belle ouverture de Mbappé vers l’avant, Thomas Meunier tente de centrer. Et son centre, contré, trompe Ospina. 1-1 ! 

    N’étant point fan des spoilers, je ne puis vous dire mon rôle dans l’ultime saison de Game of Thrones. mais oui, vous m’avez démasqué.  

    Les Parisiens sont vraiment mieux, mais il serait bon pour eux qu’ils égalisent.  

    Contact sur Cavani dans la surface de réparation napolitaine. Rien, dit l’arbitre, ce qui n’est pas au goût du Matador. Qui s’est un peu fait pousser en effet. 

    N’ayez crainte, on va batailler Hernani !  

    Neymar s’effondre dans la surface adverse. Mais l’arbitre, bien placé, ne siffle pas. On remercie l’artiste brésilien de nous permettre de ressortir ce magnifique Gif !  

     Corner pour le PSG, après une nouvelle offensive parisienne. 

    On gage que sa famille est assez fan. Pour le reste, c’est à vous de nous répondre.  

     Cher ami, vous avez la palme du commentaire le plus original de la soirée. Pour le moment. 

    En attendant, le buteur Insigne sort est est remplacé par Zielinski. Vous n’aurez plus driot ce soir au “lutin napolitain”. 

    En ce moment, et dans la mesure où Liverpool mène face à l’Etoile rouge, Naples est en tête, et Liverpool à la seconde place. Donc Paris est virtuellement en Ligue Europa. 

    A la conclusion d’une jolie offensive parisienne, la tête de Meunier trouve les gants d’Ospina. Les Parisiens sont bien mieux en cette reprise post-pause.  

    Nom : Martel

    Pedigree : poil soyeux et ne montrant que rarement les dents

    Pour le moment, les Parisiens ont repris la seconde période avec plus d’envie. D’ailleurs, Mbappé, Neymar et Cavani viennent de joliment combiner, mais le Matador est signalé hors jeu. heureusement, car il avait raté son tir.  

    Depuis quand le PSG peut participer à Real Madrid – Barça ? Si vous faites mention de l’OM – PSG de ce dimanche (que vous pourrez suivre en direct ici), nous ne sommes pas fans du terme “classique” que le diffuseur de la Ligue 1 tente à tout prix d’inscrire au panthéon du football.  

    On note la suggestion, que l’on va transmettre à nos développeurs. En attendant, voilà une nouvelle actualité. 

    A noter que le latéral-gauche parisien Juan Bernat, guère en vue (voire pire) a été remplacé à la pause par Thilo Kehrer. Ce qui signifie sans doute que les Parisiens vont passer à trois derrière, avec Meunier qui monte d’un cran, et Di Maria qui descend d’un autre, à l’autre bout du terrain. Ce qui devrait renforcer un tantinet le milieu parisien. 

    Il reste 45 minutes (et un peu plus si affinités) dans cette partie. A quoi va ressembler la seconde période ? Découvrons le ensemble ! 

    Alors là chapeau ! 

    Bien entendu. Les Parisiens ont entamé la rencontre par une échappée belle de Mbappé. mais servis en retrait, Cavani et Neymar se sont gênés. Et si c’est bien Naples et pas Gènes qui affronte le PSG, “gênant” est le terme le plus approprié pour définir la suite de la partie pour le PSG. Les Napolitains ont mis le pied sur le ballon, dominant le milieu avec de grandes largeurs (bon, le fait d’avoir un quatuor de solistes en attaque n’aide pas les pauvres Verratti et Rabiot). Et l’ouverture est venue d’Insigne à la demi-heure de jeu, qui a repris une splendide ouverture de Callejon, semé Marquinhos et Kimpembé à la course, et effacé Areola d’un tir piqué. 

    Au final, les Parisiens peuvent s’estimer heureux de n’avoir encaissé qu’un but en cette première période. Il leur faudra se reprendre. 

    1,63 m.

    On en convient, ce n’est pas un lutin dans l’acception présentée dans l’oeuvre d’Eoin Colfer (la série Artemis Fowl, quoi), mais vu les golgoth qu’il affronte, on se permet le terme. D’autant que ça rime. 

    STAT QUI TIQUE – Il suffira d’Insigne, on vous a dit 

    Et voilà tous les scores à la pause

    Première période pour le moins ardue pour les Parisiens, qui ne parviennent pas à reproduire les performances qu’ils offrent en championnat. Car Naples n’est pas Caen ou Guingamp. Face à des protégés d’Ancelotti sûrs de leur jeu, les Parisiens sont menés 1-0 après un but d’Insigne à la 29e minute. 

    On se quitte quelques instants, et nous reviendrons pour la suite et la fin de cette rencontre. 

    Les Parisiens ont poussé dans les dernière secondes la première période, mais poussé en vain. Bien regroupés, les Napolitains conservent leur avantage (1-0) à la pause.

    Ce Lorenzo a vraiment inspiré des grands noms de la chanson. Il reste un peu moins d’une minute dans le temps additionnel de la première période, et le lutin napolitain s’offre une nouvelle occasion, laissé seul par Meunier (oui, Meunier, sur ce coup, il dormait). mais ça loupe le cadre. 

    Tuchel s’agite sur la Tuchel touche. Ses joueurs sont à la traîne en cette fin de première période, et le technicien allemand n’a pas l’air réjoui. Ce qui augure d’une éruption probable dans le vestiaire.  

    Les joueurs du Napoli sont efficaces en défense, et jouent remarquablement pour le moment. Rappelons qu’ils ont battu Liverpool lors de la journée précédente. Et leurs contres sont incisifs.

    Je vous propose celle-ci plutôt, car il a suffit d’Insigne. 

     

    Les ressources, ils les ont. Mais pour le moment, l’opération montée par Don Carlo de Napoli est parfaite.  

    Et un Lizarazu ! Car Bernat ne convaint guère à l’arrière-gauche. 

    Mbappé, qui récupère une offrande de Neymar, perd son duel face à l’ancien portier de l’OGC Nice. 

    Très clairement. Un signe, c’est Insigne qui a ouvert la marque. Et pour le moment, les Parisiens ne font pas mine de se rebeller.  

     J’ai envie de répondre comme Gérard Collomb lorsqu’on l’avait interrogé sur la nouvelle interdiction de dépasser les 80 km/h sur les routes nationales (et comme le sponsor maillot des Bleus du basket il fut un temps). “Joker”

    BE KIND REWIND (la célébration). Voilà ce que le diffuseur officiel de la compétition en France vous propose pour revoir le but. 

    Et l’ouverture de la marque de Lorenzo Insigne !

    D’une superbe ouverture sur le côté droit, Callejon trouve le lutin napolitain, qui efface Areola d’un joli tir piqué. 1-0 pour Naples, à la demi-heure de jeu 

    Si l’on a le temps, je vous proposerai de disserter des bienfaits du basket sur la vie du monde. En attendant, les Parisiens ont mené une contre attaque tambour battant. Mais arrivés dans la surface, le centre de Di Maria n’a trouvé personne. Enfin si, les gants du gardien.  

    Je vais essayer de faire du mieux possible. Vous, en revanche, c’est droit au but, hein. 

    Pour le moment, les Partenopei ont le pied sur le ballon, et Hamsik fait une entame de jeu fort accorte.  

    On est même sur un déséquilibre en faveur du Napoli désormais. Un arrêt d’Areola met le hola à une offensive napolitaine. 

    La barre sauve Areola sur un tir de Mertens. On n’est pas passé loin de l’ouverture de la marque. Les milieux napolitains règnent sur le coeur du jeu, et les Parisiens doivent se reprendre s’ils ne veulent pas déchanter.  

    Le jeu s’équilibre quelque peu depuis plusieurs minutes. Naples parvient à développer un peu mieux son jeu, et les Parisiens sont obligés à défendre. Mais toujours 0-0 après 22 minutes de jeu.

    Ma foi, il ne me semble pas dormir, mais je vais tâcher de multiplier les réponses. 

    On vous sent taquin, cher Zlatan.  

    En allant au Camp Nou, déjà. Sinon, c’est sur RMC Sport 2. 

    Et nouvelle occasion de Cavani, qui récupère une balle dans la profondeur échappée par Mbappé. Sa frappe contrée, est arrêtée par Ospina. 

    Grosse occasion pour les Napolitains. Callejon trouve Mertens, qui rate son tir (“immanquable” dit pourtant Jérôme Rothen dans notre téléviseur). Et est signalé hors-jeu, mais la défense parisienne a failli sentir la lave.  

    Disons que dans la triplette Mbappé-Neymar-Cavani,  les deux premiers se trouvent largement bien plus. Et se cherchent largement plus aussi. Une question de caractère, de tempérament, et qui sait, de jeu aussi. 

    Sur ce, Mbappé rate sa reprise sur un corner de Neymar. 

    On joue depuis près d’un quart d’heure, et pour le moment le PSG est bien entré dans son match. Les Napolitains sont eux agressifs (Mertens vient d’ailleurs d’écoper de son petit jaune personnel, après avoir fait faute sur Neymar), mais n’inquiètent pas les Parisiens.

    Rien n’est interdit. En revanche, le chat répond un peu moins, car il a décidé de déployer ses ailes (oui, c’est un matou zélé et ailé). Heureux de vous retrouver.

    En attendant, Verratti vient de remettre en place sa chaussure droite.  Et toujours 0-0.

    SUR RMC SPORT 1 ! Qui fonctionne ce soir, en tout cas au Chaudron de Blanqui.  

    Non, en effet, comme je l’expliquais lors de notre prise d’antenne, nous n’avons pu commenter cette rencontre, et les six buts qu’elle a offert. Avec nos excuses. 

    Neymar va mieux. Il zigzague dans la défense napolitaine, et sert d’une cloche au second poteau son Matador Cavani (ce qui est rare), qui reprend à la volée. Et décroche les étoiles, ne cadrant pas sa frappe.

     Nous n’irons pas jusque là, mais pour le moment, Marquinhos vient de voir jaune pour une faute sur Mertens. 

    A noter que Neymar est soigné sur le bord du terrain. On ne l’a pas vu se rouler, mais on a mal pour lui. 

    Il vient de faire son retour sur la pelouse. Et le PSG obtient son premier corner (sans qu’il n’y soit pour rien). 

    Première occasion pour le PSG, avec un déboulé de Mbappé, qui efface Koulibaly (celui que Deschamps pensait pouvoir sélectionner, ce qui aurait été envisageable s’il avait été Français et non Sénégalais) et sert dans la surface Cavani et Neymar. Et le premier dégomme la cheville du second, si je ne m’abuse. Et son tir est contré. 

    Et c’est le Matador Cavani qui donne le coup d’envoi !

    Les deux équipes sont entrées sur la pelouse du Parc des princes. En noir, équipés par le Jumpman de l’ancien numéro 23 (pas la chaîne de télévision, le joueur de basket), les Parisiens écoutent l’hymne de la compétition. En bleu et blanc, les Partenopei font de même. 

    Je n’aurais pas dit mieux.  

    Allons, allons, cher ami. N’accusez pas notre ami De Laurentis d’avoir fait ce que l’on soupçonne un dirigeant serbe. Ce n’est pas parce que Naples est connue pour sa mafia qu’il n’y a que des mafieux. D’autant qu’on ne vous cache pas que cette rencontre et les paris associés sera scrutée avec le plus grand soin par les autorités compétentes.

    C’est noté. Nous avons un amateur de tennis ici. 

    Comme nombre d’entraîneurs, il a opté pour le costume en Ligue des champions (et au bon vieux survet en Ligue 1)

    Sinon, Thierry Henry vient d’empocher (dans un pantalon de costume donc) son premier point en Ligue des champions. Son équipe de Monaco a terminé la rencontre à Bruges sur un score nul : 1-1. 

    Et mon camarade Anthony Hernandez, qui se trouve présentement et opportunément dans l’enceinte brugeoise, devrait vous en dire plus d’ici quelques temps. 

    Vous avez un bon dix minutes pour tout comprendre à votre sujet. Facile. Sinon, on peut demander à nos lectrices et lecteurs de vous donner un coup de main ce soir. 

    Ce soir, sur le banc du Napoli, les supporteurs parisiens verront une tête qu’ils connaissent, et que certains regrettent. Après avoir quitté le club parisien pour aller offrir la “Decima” au Real Madrid, Carlo Ancelotti a entraîné le Bayern, et désormais le voilà à Naples. De quoi suggérer cet article à mon camarade Rémi Dupré. Bonne lecture !

    Toujours en vadrouilles, notre félin fétiche aurait récemment été entr’aperçu au fin fond des Yvelines. Si vous le voyez, n’ayez craintes, notre Shanouar (chat noir) est affectueux. Mais il est pour le moment incapable de nous proposer des pronostics. Du coup voilà les miens : 

    PSG : 3

    Naples : 1

    Et vous ?

    Une pique salutaire autant que bienvenue ! Bonsoir.

    Figurez-vous que pour le moment, tout fonctionne comme sur des roulettes (non, en dépit de son nouveau statut de sport olympique, nous n’avons pas juché notre téléviseur sur un skateboard). Nous sommes branchés sur RMC Sports 1 et pouvons confirmer que pour le moment, l’AS Monaco et le FC Bruges sont à égalité 1-1. Et que c’est une belle opération pour les Monégasques vu qu’ils sont recroquevillés sur leurs cages.  

    C’est un plaisir de vous retrouver également. En ce qui concerne Marseille, il se peut que je partage un tantinet votre opinion, mais cela ne m’empêchera guère de commenter ce dimanche la rencontre entre l’OM et le PSG sur ce même site ! 

    Les compositions des équipes sont tombées

    Voilà celle des All Black du PSG, comme prévu

    Et celle du Napoli.

    A la mi-temps à Bruges, Monaco et le club local sont à égalité 1-1. Et Moussa Sylla emprunte les pas d’un certain Kylian M. Peut-être en avez-vous déjà entendu parler. 

     Bien sûr que non. Des membres importants de notre rédaction sont même fans de cette équipe (on ne donnera pas de noms). Mais en raison d’effectifs assez réduits en cette période, nous avons dû sélectionner les lives. Et Paris a gagné cet arbitrage (ce qui les oblige contractuellement à gagner leur rencontre ce soir, pour nous remercier). 

    En tout cas, Lyon n’est pas passé loin de l’exploit à Hoffenheim (enfin, non loin d’Hoffenheim, car la Rhein-Neckar Arena est sise à Sinsheim et non dans la petite bourgade qui donne son nom au club). En dépit d’une défense pour le moins douteuse, les Lyonnais ont pensé l’emporter jusqu’à la 92e minute. Mais rejoints sur le fil, ils concèdent un match nul qui les fait retomber à la seconde place de leur groupe. 

    Les Monégasques vont vraiment de Charybde en Sylla. Une minute après que le jeune buteur a raté la balle de break, les Belges égalisent par l’entremise du sniper Wesley.

    En guise de mise en bouche de la soirée, j’entends vous tenir au courant de la rencontre en cours entre le FC Bruges et Monaco. Et les joueurs du Rocher (non, ce n’est pas le nouveau surnom de Thierry Henry) viennent d’ouvrir la marque, par le jeune Moussa Sylla. 

    Ci-dessous, la célébration du joueur offerte par le diffuseur officiel de la Ligue des champions (oui, hélas, ledit diffuseur a adopté la politique de ne pas diffuser plus sur les réseaux sociaux).

    Ciao tutti ! 

    Heureux de vous retrouver pour une nouvelle belle soirée de Ligue des champions. Ce soir, on vous propose une touche de football, quelques pincées d’histoires entre les coachs et joueurs, et surtout une note de Naples. 

    A compter de 21 heures pétantes, le PSG reçoit le Napoli de Carlo Ancelotti, qui était sur le banc du club parisien entre 2012 et 2013. Et face meilleur club italien de ces dernières années – après l’inébranlable Juve -, les coéquipiers de Neymar n’ont pas le droit à l’erreur. Enfin, ils ont le droit à l’erreur, mais si d’aventures ils envisagent de s’aventurer plus loin dans la compétition européenne, ce n’est pas conseillé. 

    Comme à l’accoutumée, j’attends vos messages, commentaires, saillies verbales et autres jeux de mots. Et en attendant le coup d’envoi, voilà les quelques notes napolitaines auxquelles je faisais allusion plus tôt.

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  • Scandale dans le football belge : « Tout le monde est un peu coupable »

    Scandale dans le football belge : « Tout le monde est un peu coupable »

    Thierry Henry a quitté le football belge par la cour d’honneur et son escalier en marbre, la sélection des Diables rouges, en tête du classement FIFA ; il revient par l’entrée de service et sa porte vermoulue : mercredi, le nouvel entraîneur de l’AS Monaco se déplace en Ligue des champions sur le terrain du FC Bruges (18 h 55), concerné par l’affaire de corruption qui secoue le championnat local.

    Depuis que 180 policiers ont déboulé dans neuf clubs du royaume, mercredi 10 octobre, la « Jupiler Pro League » est sous pression et dégaze en tous sens. On sonne l’hallali de Mogi Bayat, agent à tout faire et homme le plus puissant du championnat, riche de son art de s’immiscer dans nombre de transferts, de faire et défaire les effectifs de plusieurs grands clubs du championnat, et du FC Nantes, aussi.

    Le football belge serait heureux que l’homme d’affaires franco-iranien, inculpé d’organisation criminelle et de blanchiment d’argent, se trouve seul derrière les barreaux. Mais l’enquête, commencée il y a près d’un an, a révélé un problème plus large : parmi les 21 personnes inculpées, l’on trouve d’autres agents, des arbitres, des dirigeants de club, deux entraîneurs, un joueur (Olivier Myny, laissé libre) et des journalistes. Tout l’écosystème d’un football dont la dégringolade a commencé en 1995, lorsque l’un des siens, Jean-Marc Bosman, a provoqué la libre circulation des joueurs européens.

    Mercredi, un premier joueur a été écroué et inculpé. Il s’agit du Franco-Tunisien, Fabien Camus, passé par le FC Malines entre janvier et juillet 2018 et aujourd’hui sans club. Selon le parquet fédéral, « le juge d’instruction a inculpé ce (mercredi) matin M. F. C. de participation à une organisation criminelle et de blanchiment d’argent ».

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    En régression sportive pendant que ses rejetons brillent à la Coupe du monde et dans les grandes équipes d’Europe, en difficulté économique avec trois faillites de clubs de première division en dix ans, voilà le football belge pris en défaut sur son éthique. Si les soupçons des enquêteurs sont avérés, le « Footbelgate » réunit sur un petit territoire les déviances actuelles de l’économie du football : commissions gonflées pour les intermédiaires des transferts, agents prenant les rênes de la politique sportive d’un club, blanchiment d’argent et matchs truqués.

    « Trafic d’êtres humains »

    La police belge n’a pas frappé dans les divisions inférieures mais au sommet du championnat. C’est l’entraîneur de Bruges, le Croate Ivan Leko, qui est inculpé pour blanchiment. Ce sont les deux meilleurs arbitres belges qui seraient mêlés à des matchs truqués. C’est Dejan Veljkovic, agent serbe très introduit dans les grands clubs flamands, qui est soupçonné d’avoir manipulé deux matchs et échafaudé un système de blanchiment de l’argent des commissions.

    Le scandale a mis en évidence la dérégulation des pratiques et la consanguinité d’un milieu où les conflits d’intérêts sont à chaque coin de rue, et pas uniquement chez les agents : « Pro League », la ligue professionnelle de football belge, est présidée par Marc Coucke, propriétaire d’Anderlecht, le grand club bruxellois. « Ce n’est pas normal », a d’ailleurs fait remarquer l’intéressé, qui quittera le poste à moyen terme.

    Figure tutélaire des Diables rouges, l’ex-capitaine Vincent Kompany a rapidement appelé à rendre le marché des transferts transparent et s’est dit, avec son franc parler coutumier, pas surpris du scandale compte tenu « du milieu du foot » : « Le lien est étroit avec les pratiques en vigueur dans les milieux du trafic d’êtres humains, de drogue ou dans la prostitution. »

    Pour répondre à cette affaire qui monopolise la presse belge, le gouvernement a été forcé de réagir. La profession d’agent devrait enfin être réglementée avec l’obtention d’une licence : une proposition de loi en ce sens patientait depuis sept ans. La ministre des affaires sociales, Maggie de Block, a menacé de revoir le système de réduction des cotisations sociales dont bénéficient les clubs pour rester compétitifs, si ceux-ci ne mettaient pas leurs affaires en ordre.

    « On savait, oui. Mais où, et comment ? »

    « C’est une période difficile mais opportune, veut croire Pierre François, directeur général de la “Pro League”. Sur les pratiques des agents, les événements récents ont eu le mérite de mettre sur la table des choses que tout le monde soupçonnait. On savait, oui. Mais la question était : où, et comment ? Dès lors, nous prenons l’initiative de ne pas attendre, de bousculer la table et d’aller au fond des choses le plus rapidement possible. »

    Un groupe d’experts nommés par la Ligue est chargé de faire des recommandations sur lesquelles Pierre François a déjà son idée : limitation des commissions, du nombre de joueurs associés à un agent au sein d’une même équipe, impossibilité de représenter un club et un joueur dans un même transfert, ou d’être rémunéré d’une autre manière par un club… La Belgique s’interroge même sur l’opportunité d’obliger les joueurs à rémunérer eux-mêmes les agents. « Nous allons avoir des moments compliqués, peut-être perdre quelques joueurs pour notre championnat en raison de ces nouvelles contraintes, mais nous sommes persuadés que c’est le moment d’avancer, beaucoup plus vite que nous ne l’aurions fait sans cette piqûre », estime l’ancien dirigeant du Standard de Liège.

    La « piqûre » a-t-elle été téléguidée ? Une partie du football belge soupçonne Marc Coucke, milliardaire de l’industrie pharmaceutique et nouveau propriétaire d’Anderlecht, d’avoir favorisé le déclenchement d’une enquête, fin 2017. Chronologiquement, le début de l’enquête par l’unité des fraudes sportives de la police fédérale belge correspond à la période du rachat du club par l’homme d’affaires, notoirement opposé à l’emprise de Mogi Bayat sur le football local et Anderlecht en premier lieu. De là à prendre le risque de provoquer ce tsunami…

    « Tout seul, Bayat n’aurait rien pu faire »

    Certains avaient senti monter la vague. Nenad Petrovic, agent important du football belge il y a quelques années, prédisait en avril dans le magazine Sport : « On voit des transferts complètement improbables et des montants que personne ne comprend. Dans ces clubs [il cite Charleroi, Anderlecht et Gand], le nom de l’agent est plus important que la qualité du joueur. (…) Heureusement, l’arrivée de Marc Coucke devrait tout changer. Ça va être une révolution pour le foot belge parce que tout cet équilibre précaire, avec Anderlecht dans le rôle principal, va être rééquilibré. Je pense qu’un séisme est en préparation. »

    Le même Petrovic, au surlendemain des perquisitions, dans le journal L’Avenir : « Mogi Bayat n’est qu’une créature qui a été autorisée à agir par toutes les hautes instances du foot belge, à commencer par les dirigeants des clubs. Il a été malin, a utilisé toutes les ficelles et
    a profité du système. (…) Mais, tout seul, il n’aurait rien pu faire. Lorsqu’on laisse les clés d’un club à un agent, c’est la fin de ce club. Si on lui offre les clés d’une compétition, c’est pareil. »

    Un autre agent, Eric Depireux, confirme dans les colonnes du Soir : « Pour que ces individus puissent imposer ce système, c’est que cela arrangeait tout le monde. Personne ne peut tomber des nues. Ce serait dommage que Bayat soit le seul à payer la note parce que tout le monde est un peu coupable. »

    Les victimes, elles, sont connues et très discrètes pour le moment : les joueurs sont en position d’attente et les supporteurs ont été sommés par la fédération de ne pas faire référence aux affaires pour la reprise du championnat, le week-end dernier.

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  • Mikel Obi soutient l’équipe pour amputés du Nigeria

    Mikel Obi soutient l’équipe pour amputés du Nigeria

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    Le capitaine des Super Eagles souhaite accompagner l’équipe de football pour amputés du Nigeria.

    Le capitaine nigérian John Mikel Obi a promis un soutien financier et moral à l’équipe nationale de football pour amputés qui fait face à des difficultés financières.

    Les Special Eagles livrent une course contre la montre pour atteindre la Coupe du monde de leur catégorie au Mexique.

    L’équipe, qui a manqué les trois dernières Coupes du Monde faute de moyens financiers, a décidé de faire un appel de fonds au début du mois pour se déplacer afin de participer au tournoi de 2018.

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    Le président de la Fédération nigériane de football (NFF), Amaju Pinnick, et l’équipe des Super Eagles ont tous deux apporté d’importantes contributions financières.

    Cependant, le capitaine John Mikel Obi a décidé d’aller encore plus loin.

    “Nous avons parlé à un représentant de John Mikel Obi qui a proposé d’aider l’équipe”, a déclaré Fred Edoreh, coordinateur de la collecte de fonds, à BBC Sport.

    “Son soutien sera d’un grand secours, mais pour l’instant, le dilemme est de trouver les moyens de faire venir l’équipe au Mexique”.

    “Le temps presse et le coût des billets augmentant de jour en jour à l’approche de notre match d’ouverture ce qui risque de peser sur notre budget”.

    “C’est pour éviter des coûts plus élevés et aussi pour que les garçons s’installent avant le match contre le Brésil, dimanche”.

    “Le premier groupe (huit joueurs et l’entraîneur) aurait dû partir aujourd’hui (mardi), mais il n’y avait pas assez de places sur le vol de l’étape Mexico-Guadalajara.

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    “Nos agents de voyage travaillent dur pour leur réserver un espace d’ici demain, mercredi. Ils devraient donc partir de Lagos à midi avec Ethiopia Airlines.”

    “Cela nous aidera à assurer notre présence et à éviter une sanction. En espérant disposer de fonds supplémentaires, l’équipe de réserve peut partir jeudi ou vendredi”, a déclaré M. Edoreh.

    L’ancien milieu de Chelsea, Mikel Obi, serait sur le point d’accompagner l’équipe de football pour amputés avec de l’argent et des kits.

    L’Angola, le Kenya et le Ghana ont représenté l’Afrique à la Coupe du monde 2014 à Culiacán, au Mexique.

    Les Angolais ont terminé deuxièmes après s’être inclinés 1 : 3 face à la Russie en finale.

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  • PSG-Naples : Le règne contrasté de Carlo Ancelotti à Paris, entre nostalgie et amertume

    PSG-Naples : Le règne contrasté de Carlo Ancelotti à Paris, entre nostalgie et amertume

    Quand il quitte un club, Carlo Ancelotti laisse le plus souvent des titres et une belle cote d’amour. Le Paris-Saint-Germain n’échappe pas à la règle et ses supporteurs devraient réserver une belle ovation à celui qui a ramené leur club sur le devant de la scène, aussi bien en France qu’en Europe. Ce mercredi 24 octobre, l’Italien Carlo Ancelotti, 59 ans, retrouve le Parc des Princes, à l’occasion de la réception de Naples, lors de la troisième journée de Ligue des champions. Aux commandes du Napoli depuis cet été, l’ex-entraîneur du PSG (janvier 2012-mai 2013) avait été déjà très applaudi par le public parisien, en septembre 2017, lorsque « son » Bayern Munich avait été corrigé (3-0). Un revers qui avait entraîné son éviction du banc bavarois.

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    La venue dans la capitale de l’entraîneur napolitain, actuel deuxième de Serie A et premier de son groupe en Ligue des champions, renvoie à son règne contrasté au club parisien. Un passage de dix-huit mois qui a permis de structurer le PSG version Qatar Sports Investments (QSI), mais l’intéressé en garde encore une certaine amertume en bouche. « Quelque chose s’était cassé et ne fonctionnait plus entre le club et moi. Je n’avais pas d’autre choix que de quitter le PSG », a raconté Ancelotti dans son ouvrage intitulé Mes secrets d’entraîneur (Solar, 2015).

    En novembre 2011, Carlo Ancelotti (limogé six mois plus tôt de Chelsea) se laisse pourtant séduire par le discours tenu par le Brésilien Leonardo, alors directeur sportif du PSG et architecte du projet mis en place par les nouveaux propriétaires qataris. Les deux hommes se connaissent bien depuis leur collaboration au Milan AC. Double vainqueur de la Ligue des champions avec les Rossoneri (2003 et 2007), entraîneur de réputation mondiale, Ancelotti accepte de prendre les commandes de l’équipe parisienne à partir de la saison 2012-2013. Mais le limogeage d’Antoine Kombouaré, au début de la trêve hivernale, change la donne et précipite son arrivée.

    « Carlo Ancelotti était cohérent avec l’ambition sportive de Leonardo, qui devait bosser avec un coach familier pour lui, et l’ambition d’image de l’actionnaire, souhaitant envoyer un message immédiat », se souvient un ex-cadre du club.

    Un entraîneur qui a professionnalisé le PSG

    Avec six mois d’avance, Ancelotti débarque au PSG et le fait basculer dans une autre dimension. Reflet des visées continentales du club, il obtient des recrues à sa main (Maxwell, Thiago Motta, Alex) et célèbre son pot d’arrivée, paradoxe suprême, au Stade Moustoir de Lorient contre les amateurs du Saint-Colomban Locminé, pensionnaire de CFA 2 (cinquième division), en 32e de finale de Coupe de France. Contraint de redescendre de ses coutumières hauteurs pour cette première, le natif de Reggiolo (Emilie-Romagne) s’en sort de justesse (victoire 2-1 dans les arrêts de jeu) face au « petit poucet ». Le ton est donné : rien ne sera facile.

    « Il avait une grande proximité avec ses joueurs, à qui il ramenait d’Italie de la mozzarella. »

    Au-delà des moyens financiers mis à sa disposition, Ancelotti apporte avec lui les méthodes de travail appliquées à Chelsea. GPS pour mesurer les données des joueurs, analystes de performances, nutritionnistes, création d’un restaurant au centre d’entraînement du club, nouvelles habitudes alimentaires : l’Italien et ses deux adjoints, son compatriote Giovanni Mauri et l’Anglais Paul Clement, bousculent les habitudes et contribuent à professionnaliser un club pas réputé pour être le plus structuré de Ligue 1 avant l’arrivée de QSI.

    « Le programme d’entraînement était établi un mois à l’avance. Ancelotti, c’est le premier étage de la fusée QSI. Il a étoffé le secteur médical, recruté des kinés, préparateurs physiques. Il déléguait aussi beaucoup, développe Ronan Le Crom, à l’époque quatrième gardien du PSG. C’est un grand homme, d’une grande classe. Il avait une grande proximité avec ses joueurs, à qui il ramenait d’Italie de la mozzarella. Il était très à l’écoute. Il aime ses joueurs, ses collaborateurs, organise des barbecues en famille. Chacun a droit à un traitement particulier. Il voyait tout tactiquement. Quand il rentre dans une pièce, il inspire le respect. Il ne hausse jamais la voix. Sauf quand un short traîne dans les douches. »

    Malgré son sens du détail et des relations humaines, la saison se solde par un semi-échec, aux allures de déception pour Ancelotti, avec le sacre improbable de Montpellier devant le PSG. A l’été 2012, le Transalpin modifie son équipe de fond en comble avec le recrutement de Zlatan Ibrahimovic, Thiago Silva, Ezequiel Lavezzi, et son jeune (20 ans) compatriote Marco Verratti, déniché à Pescara. Son PSG se mue alors en rouleau compresseur sur la scène domestique et remporte aisément la Ligue 1, en mai 2013, après dix-neuf ans de disette. Surtout, les Parisiens signent leur grand retour en Ligue des champions et manquent de faire tomber (2-2, 1-1) le FC Barcelone de Lionel Messi en quarts de finale.

    Au fil de cette saison aboutie, marquée par le recrutement à visées commerciales de la « pop star » David Beckham, Ancelotti traverse pourtant une zone de turbulences. En décembre 2012, les propriétaires qataris du PSG s’inquiètent des inconstances et sautes de concentration de la formation avant sa victoire à l’arraché (2-1) contre Porto, en phase de poules. « Le manque de sérénité commença à peser, surtout dans la gestion des petits accrocs, toujours inévitables même dans les meilleurs parcours d’une équipe, a expliqué l’entraîneur dans son ouvrage. On commença à perdre la ligne que l’on avait tracée initialement avec les propriétaires et les dirigeants du club. »

    « Une erreur que QSI regrette encore »

    En janvier 2013, Ancelotti est endeuillé par la disparition, dans un accident de voiture, de son ami Nicholas Broad, chef du projet performance du PSG. Deux mois plus tard, la défaite (1-0) de l’équipe à Reims irrite les dignitaires de QSI, de plus en plus impatients. Désireux de bénéficier de « beaucoup de temps » pour bâtir sur la durée, l’ancien milieu de terrain décide alors de ne pas prolonger l’aventure dans la capitale et s’en ouvre à Leonardo. « Chaque match était devenu un motif de tension. On voulait tout et tout de suite », confessa-t-il.

    « L’histoire s’est arrêtée en raison de l’impatience de l’actionnaire après quelques contre-performances. »

    Une fois le titre de champion acquis, l’entraîneur claque la porte et cède aux sirènes du Real Madrid. « Déçu », le président Nasser Al-Khelaïfi ne parvient alors guère à le faire changer d’avis et se tourne vers Laurent Blanc pour lui succéder. « Le PSG avait des attentes et le coach a aussi été sollicité par le Real. Le train n’allait passer qu’une fois. Il y a aussi eu une dimension humaine dans cette décision », analyse Ronan Le Crom.

    « L’histoire s’est arrêtée en raison de l’impatience de l’actionnaire après quelques contre-performances. Carlo Ancelotti a vécu comme un affront le fait que des nouveaux arrivants aient à son égard des exigences révélant leur incompétence sportive, détaille un ancien membre de l’état-major parisien. Un an plus tard, il remportait la Ligue des champions avec le Real Madrid. QSI ne commettra plus cette erreur, qu’il regrette encore. »

    Depuis le départ fracassant de l’Italien, le PSG n’a d’ailleurs jamais fait mieux qu’un quart de finale en Ligue des champions.

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  • Ligue des champions : Lyon rate le coche pour une minute à Hoffenheim

    Ligue des champions : Lyon rate le coche pour une minute à Hoffenheim

    Contre le cours du jeu, Lyon a longtemps cru à la victoire mais a dû se contenter d’un nul sur le terrain d’Hoffenheim (3-3), mardi 23 octobre, dans le cadre de la 3e journée de la Ligue des champions, au cours de laquelle le Real et Benzema se sont péniblement défaits de Plzen (2-1).

    • Dans le groupe E : Mazraoui soulage l’Ajax

    Le Bayern Munich a longtemps buté sur l’AEK Athènes avant de faire sauter le verrou grec en deux minutes, après l’heure de jeu, par Javi Martinez (61e) puis Robert Lewandowski (63e). Arrivé malade en Grèce, après un mois tumultueux, le géant bavarois, aussi dominateur que maladroit, ne s’est pas vraiment rassuré. Mais, au moins, il a enchaîné une deuxième victoire de rang et maintenu la pression sur les Néerlandais.

    Dans l’autre rencontre de la soirée, l’Ajax a dominé Benfica (1-0), grâce à un but de Mazraoui dans les arrêts de jeu (90e + 2), qui offre aux Lanciers la tête de la poule, à égalité avec les Allemands.

    • Dans le groupe F : Joelinton gâche la fête lyonnaise

    Lyon pensait avoir fait le plus dur. Mais c’était sans compter sur Joelinton qui a jailli à la 92e minute et égalisé pour Hoffenheim (3-3), privant ainsi l’OL d’un deuxième succès en Ligue des champions, synonyme de première place dans la poule.

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    Résultat, c’est Manchester City, qui n’a fait qu’une bouchée du Chakhtar Donetsk (3-0), qui reste leader, avec un point d’avance sur les Français.

    • Dans le groupe G : merci Benzema !

    Le Real s’en contentera. En crise, les Merengues ont décroché leur premier succès depuis un mois. Mais que ce fut compliqué face aux modestes Tchèques de Plzen (2-1). Karim Benzema (11e) et Marcelo (55e) ont un peu soulagé leur entraîneur, Julen Lopetegui, et les Madrilènes conservent la tête de leur poule, devançant à la différence de buts l’AS Rome.

    Les Giallorossi, eux, n’ont pas fait de détails et dominé le CSKA Moscou (3-0) grâce notamment à un doublé d’Edin Dzeko (30e, 43e).

    • Dans le groupe H : Dybala efface Cristiano Ronaldo

    On attendait Cristiano Ronaldo ou José Mourinho, on a eu Paulo Dybala. Le duel entre le Portugais de la Juventus et celui de Manchester United (1-0) a tourné à l’avantage du premier, qui poursuit son sans-faute grâce au but de Dybala.

    Les Young Boys, eux, peuvent remercier Guillaume Hoarau. L’ancien Parisien, sur penalty, a répondu à l’ex-Marseillais Michy Batshuayi pour permettre au club bernois de décrocher le nul à domicile face à Valence (1-1).

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